Dylan McClair - [Complete]

prénom(s). Dylan, un prénom masculin la plupart du temps, mais allez savoir mes parents étaient des originaux d'après ce que je sais d'eux donc rien d'étonnant. Ne vous méprenez pas, j'adore mon prénom et je le porte fièrement, j'ai horreur de faire comme tout le monde de toute façon. nom(s). McClair, je ne saurais vous dire de quelle origine il est. Ecosse, c'est de là que viennent les noms en "Mac", non? Si je sais que j'ai du sang irlandais et bien d'autres dans les veines je ne me souviens d'aucun ancêtre écossais. En même temps, "souvenir" n'est pas le terme exact tout ce que je sais de ma famille je l'ai "piqué" dans la tête de ceux qui m'ont élevé. âge. 19 ans, dans quelques semaines. Je n'aime vraiment pas prendre de l'âge ça me déprime. Je sais, je me plains déjà à 19 ans qu'est-ce que ce sera à 30? Ce serait tellement mieux si je m'arrêtais tout simplement de vieillir. . . date et lieu de naissance. Le 15 août 1990 à Dallas. C'est ici que j'ai vu le jour selon les registres, mais je ne me souviens pas avoir vécu au Texas, pour ma part mes premiers souvenirs d'enfance sont en Louisiane. race. Humaine, télépathe (si on peut appeler ça une race, je suis loin d'être experte, je sais juste que c'est pas tout à fait humain comme habilité. . .) métier. Je n'ai pas trop d'ambition au niveau carrière, je compte tenter de faire mon beurre en étant simple serveuse, ça doit pas être si compliqué.

le roleplay.

"Hum, il y a quelqu'un?"
Je m'approchai du bar derrière lequel il n'y avait pour l'instant personne, ce que je pouvais comprendre étant donné que la seule autre personne présente dans le débit de boisson, était un homme sans visage - celui-ci était enfoui entre ses bras qui le maintenaient au comptoir. Il dégageait une forte odeur d'alcool et ne devait pas être pleinement conscient puisque ses pensées étaient incohérentes et limite compréhensibles. Un poivrot à 10h30 du matin, je suppose que c'est une chose à laquelle j'allais devoir tout simplement m'habituer si je voulais travailler ici.
Enfin, ne nous avançons pas, rien n'était fait encore.

J'en avais mis du temps à me décider à pousser la porte du Merlotte. Vu mes deux derniers entretiens catastrophiques j'étais plutôt anxieuse. Ma manie de répondre aux pensées et non aux paroles des gens avait valu à mon premier interviewer de se recevoir mon verre d'eau en pleine figure après que j'ai surpris une pensée déplacée à mon égard, et la deuxième avait carrément eu peur de moi, mais avait prétexté avoir besoin de quelqu'un de plus expérimenté. Cette femme qui tenait un espèce de relais routier à une dizaine de km d'ici, avait des pensées incroyablement précises et malgré ma concentration, il était difficile d'en faire abstraction. Au début, elle avait semblé séduite par mon apparence et mes manières, mais très vite était devenue méfiante. Son fils unique avait ramener une jeune vampire à la maison une fois, et il faut dire qu'avec ma peau si pâle, mes cheveux roux luisants et mes yeux bleus incandescents, j'éveillais des fois des soupçons qui n'avaient pas lieu d'être chez les autres êtres humains. Après un temps de réflexion et la réalisation que nous étions en plein milieu de la matinée, elle avait renoncée à l'idée du vampire mais me trouver toujours un air étrange. En effet, j'avais du mal à écouter ce qui sortait de sa bouche et avait presque une conversation avec son esprit. Bref, deux premiers entretiens qui furent loin d'être couronnés de succès.
Le Merlotte était troisième sur ma liste, et pour tout vous dire j'envisageais même d'aller poser ma candidature à Fangtasia. Je ne craignais pas vraiment les vampires, et je supportais leur droits, je suppose que me sentant moi même à part de la race humaine je n'aurais pas apprécier d'être mise au banc de la société, ou rejeté à cause d'un handicap que je n'avais pas choisi. Je ne prenais pas les vampires en pitié mais dans mon idée ils avaient une certaine puissance, donc la cohabitation pacifique me paraissat la plus sage solution, non? Je peux vous dire que les membres de The Fellowship of The Sun, me filait bien plus la chair de poule que ceux qu'ils appellaient "suceurs de sang".

En même temps, je crois que tout ça vient de bien plus loin, si on remonte dans l'arbre généalogique de ma famille. Petite fille, je me rappelle avoir entendu des choses très bizarre dans la tête de ma marraine qui m'avait élevée. Mon parrain, lui était bien plus complexe à lire et la plupart du temps je m'abstenais de m'aventurer dans sa tête. Les habitants de notre petite ville traitait le couple, et moi par la même occasion, un peu comme des parias. En vérité, ce que j'entendais surtout dans la tête des voisins c'était surtout de la peur. Mon parrain, Mark Harris, était un homme qui apparemment imposait la crainte chez ses concitoyens bien qu'il n'eut jamais qu'une attitude discrète et pacifique avec ceux qu'il aimait. Enfant déjà, je savais qu'il était spécial, mais depuis que les vampires avaient fait leur coming out j'étais presque sure qu'il était un être immortel. En effet si ma marraine Susie, semblait changer et prendre de l'âge, Mark avait une apparence figée. Mes soupçons ne furent jamais confirmés par lui ou sa femme cependant. Ce que je sais c'est que ma marraine et mon parrain n'ont jamais pu avoir d'enfant à eux, et que c'est une des raisons pour lesquelles mes parents les avaient choisis pour s'occuper de moi. Et des étrangers me prenait souvent pour la fille biologique de Mr Harris, et il est vrai qu'à la réflexion il y avait un bel air de famille. Oh et non, je ne me souviens pas l'avoir vu une fois en plein jour, Susie me disait qu'il travaillait de nuit. Une jeune adolescente peut être crédule, l'adulte que je suis ne peut croire à toutes ces coïncidences.

En ce qui concerne mes parents biologiques avec lesquels j'ai vécu jusqu'à mes 6 ans, je ne pourrais peut être pas vous donner l'authentique et véritable histoire. Les éléments en lesquels j'ai le plus confiance, sont les souvenirs d'eux qui habitaient l'esprit de ma tutrice. Tout ceci est lointain et flou, mais je chéris tous les petits morceaux de puzzle que j'ai à propos d'eux. Dean McClair et Marie Harris ne s'étaient jamais mariés. Tout comme mes tuteurs, ils n'avaient jamais été réellement apprécié par le reste de la communauté et plutôt mis à l'écart à cause de leur mode de vie peu orthodoxe. Beaucoup de rumeurs couraient sur eux dans l'esprit des gens, je me souviendrais toujours du flot de pensées cacophoniques que généraient cette bande d'hypocrites à leur enterrement. Ma mère était affreusement jalousée par les femmes, parce qu'elle était belle, mais plus le temps passé plus sa beauté devenait presque surnaturelle. Je me souviens que mon parrain et ma mère était très proche, je me souviens à quel point il était effondré quand on nous a appris le décès de mes parents. Ma mère et mon père avait un voyage à faire et je devais rester chez Mark et Susie en attendant leur retour; ils ne sont jamais rentrés. Mark était à la foix furieux et effondré, l'avion de mes parents s'étaient écrasé en plein océanet on aurait presque dit qu'il s'en voulait de n'avoir rien put faire. . .
Ma version à moi : 1) Mark Harris était un vampire, 2) le fait que le nom de ma mère soit aussi Harris n'était pas une énième coïncidence, 3) J'ai sans doute du sang de vampire qui coule dans mes veines, puisqu'il coulait dans celles de ma génitrice. Je ne veux pas savoir comment ce sang s'est retrouvé là mais supposons que ma mère soit une descendante de Mark, et qu'il est voulu prendre soin d'elle, on dit que le sang de vampire à des propriétés exceptionnelles . . . Et je pense que c'est le cas. Ainsi, je me vois mal aujourd'hui avoir la moindre aversion envers les vampires, vu l'environnement dans lequel j'ai grandi.

Repenser à mes parents, mes quatre parents, dans cet endroit inconnu me donna un sentiment étrange de tristesse et de mélancolie et me rappela aussi comment j'en étais arrivé là. Mon parrain et ma marraine m'avait toujours poussée à l'indépendance, même s'ils m'aimaient comme leur propre fille. Je savais parfaitement qu'ils me cachaient des choses, ma tutrice parvenait même à me dissimuler certaines de ses pensées, pleinement consciente de mon "don" ou de ma malédiction à vous de voir. C'est ainsi qu'à 18 ans tout rond j'étais prête à déménager et à commencer ma vie, bien que j'eus toujours droit au soutien financier de mes parents de substition. Je pus m'installer tranquillement dans la vieille maison de mes parents biologiques dont j'avais hérité et je gardais un contact avec les Harris mais à distance. Peut-être savaient-ils qu'ils étaient en danger? Mes yeux s'embuèrent de larmes.
Si aujourd'hui j'avais besoin de ce travail, c'était parce qu'il y a un mois de ça on m'avait à nouveau pris mes parents. Un incendie avait ravagé la maison de ceux qui m'ont élevés. Ils avaient périt tous les deux. Et j'étais seule, maintenant.

Les larmes ne coulèrent pas, une petite gène dans ma gorge se fit ressentir, mais j'avais l'habitude de contenir mes émotions. Je n'aimais pas pleurer à tout va, et encore moins pleurer devant assistance. Je suis bien consciente, que l'ivrogne maintenant endormi sur le bar n'était pas une réelle assistance mais j'étais quand même dans un lieu public et il valait mieux ne pas oublier, pourquoi j'étais là. Pour faire bonne impression, avoir l'air d'une jeune fille souriante, naïve et dynamique. Trois qualités que je m'étais souvent entraînée à feindre. Petite fille, les autres enfants déjà me trouvait trop étrange à leur goût, et du coup je n'ai jamais était quelqu'un de très sociable. J'étais même très renfermée pendant mon adolescence, ma timidité n'étant pas aidé par mes camarades pour qui je n'étais rien d'autre que la "bizarre". Et puis j'ai grandi et je me suis retrouvée seule, j'ai bougé, était dans de nouveaux endroits où on ne me connaissait pas, où on connaissait pas ma famille. J'ai appris à contrôler au maximum de mes possibilités ma télépathie et même si les relations avec les autres sont toujours difficiles, je sais me forcer quand j'en ai besoin. Celà va sans dire pour devenir serveuse, j'en aurais besoin.

Il fallait avouer que je commençais à m'impatienter, à l'évidence ou on ne m'avait pas entendu rentrer, ou on s'en fichait royalement. Je fermais alors les yeux et tachait d'ouvrir mon esprit aux environs histoire de capter les pensées de quelqu'un. Rien. Le vide. Néant. Il était déjà 12:00. Finalement, je tournais les talons, et poussait à nouveau la porte du bar en sens inverse, en me demandant un instant si mon compagnon éméché sur le bar n'était pas à tout hasard le propriétaire, mais sans demander mon reste je regagnais ma voiture et pris place derrière le volant. Adieu le Merlotte.

Bienvenue!
Si tu veux ne plus vieillir, j'ai une solution si tu veux

...

Le soir même, je tentais donc ma dernière chance et me rendais à Fangtasia. J'attendis que la nuit soit tombé, mais une fois qu'il fit sombre je me dépêchai de me rendre au nightclub avant que la clientèle normale n'arrive, pour pouvoir postuler en bonne éduforme. Inutile de préciser, que le trajet jusqu'à Shreveport fit grimper mon niveau de nervosité. Ce n'était pas le côté vampirique du bar qui me préoccupait. Je savais qu'ils embauchaient des humains, et je tachais de ne pas me dire qu'ils en employaient juste pour avoir un distributeur de sang en chair et en os permanent, car il était hors de question que je devienne une de ces "mordues" pleine de trous et anémique. Je voulais travailler, pas être payée pour servir de casse-croûte. L'idée me colla tout de même un frisson. N'étais-je pas imprudente de me rendre dans un bar à vampires, volontairement au moment où il y aurait le moins de monde? Ne te laisse pas impressionner. Je tachais de me convaincre qu'un air assuré me protègerait de tout.
Finalement, j'arrivai enfin sur le parking de la boîte de nuit, et j'étais honnêtement à deux doigts de faire demi-tour. Quelle idée j'avais eu. Le pire étant que ce dont j'avais le plus peur -mis à part me faire saigner et mourir- c'était qu'ils me rient au nez. Après tout j'avais vraiment besoin d'un travail, même si j'étais incapable de renier ma dignité pour en avoir un.
L'enseigne rouge lumineuse, le nom Fangtasia, tout donnait à ce lieu un air presque ridiculement cliché du repère à vampire. Longtemps j'avais cru que ce n'était qu'une attraction pour touriste où les vampires réels se faisaient rare. Mais en me renseignant, je savais de source sure que les propriétaires étaient bien des vampires, et qu'ils n'avaient rien de ridicule. C'est à 21h30 que je trouvai enfin le courage de faire mon entrée. Je n'eus pas le temps de chercher qui que ce soit des yeux, une femme blonde et magnifique se retrouva devant moi à peine eus-je fait deux pas à l'intérieur.
Elle semblait m'examiner quelques instants s'arrêtant longuement sur mes yeux. Ses pensées n'était pas si nettes que celle d'un être humain mais son esprit était moins complexe que celui de mon parrain. De ce que je captais, mon apparence l'intriguait, il y avait quelque chose chez moi qui n'était pas naturel mais elle ne semblait pas savoir quoi.

_"Il est très tot ma jolie, tu as une pièce d'identité?" Sa voix était basse et profonde, mais féminine quand même. Aussitôt je fouillais mon sac à main et sortit mon permis de conduire que je lui tendis, après avoir posé les yeux quelques secondes dessus, elle revint soutenir mon regard.
Différente. C'était la pensée qui dominait son esprit quand elle me regardait. Finalement, je trouvais ma voix et parvins à m'exprimer avec plus d'assurance que je ne m'en serais cru capable.
_"Je sais que ce n'est pas l'heure pour venir s'amuser, mais je ne viens pas pour ça." Je marquais une pause, tandis que seuls ses sourcils révélaient qu'elle était intriguée par ma réponse. "Je me demandais juste si vous auriez une place de serveuse pour moi, je n'ai pas beaucoup d'expérience mais je suis très débrouillarde." Expliquai-je un peu moins assurée que la première fois que j'avais parlé.
Un sourire se dessina au coin de ses lèvres.
_"Suis-moi James va te faire passer un entretien, il jugera si tu es suffisament . . . débrouillarde. . ." me répondit-elle en hésitant sur le dernier mot mais visiblement amusée.

Etait-ce un piège? Question stupide. Je ne lisais pas de menaces dans les pensées de la vampire qui m'entrainait à présent dans un bureau attenant à la salle principale et pourtant mon bon sens me criait que quelque chose n'était pas net. Je me concentrais sur l'esprit un peu supérieur à l'ordinaire de la blonde qui m'accompagnait. "Il faut qu'il la voit" fut la phrase que je réussis à capter. La porte du bureau s'ouvrit et la vampire me laissa entrer avant de passer devant moi. Le vampire que je reconnus comme James et qui était apparemment le propriétaire se retourna, ses yeux m'accordèrent une fraction de seconde avant de vriller vers sa condisciple.
_ "C'est Dylan McClair" me présenta-t'elle sans m'accorder d'attention. "Elle cherche du travail". Elle échangea un long regard avec l'homme derrière le bureau puis sortit de la pièce.
James était l'archétype d'un homme de l'Europe de l'Est, du Nord Est même. D'ailleurs avec ces cheveux longs, on aurait presque dit un Viking. Ma jeunesse me frappa soudain quand je réalisai qu'il en avait sans doute était un. Au début, le vampire agit comme si je n'étais pas dans la pièce et curieuse, je sondais son esprit. Infiniment plus compliqué que celui de la femme qui m'avait accueuilli. J'eus du mal à percevoir quelque chose sans toucher, ni même contact visuel. Puis enfin, il m'examina à son tour, et je perçus plusieurs choses. Une pointe de désir, mêlé à de la gourmandise (cette pensée là me crispa légèrement), puis de la même façon qu'avec la femelle, il était intrigué. Il percevait une différence.
_"Tu es encore une enfant, qu'est-ce qui te branche: pulsions morbides ou est-ce que tu fantasmes tout simplement sur les vampires?" Il parla de l'air le plus froid que j'ai jamais vu mais je ne me démontai pas.
_"Ni l'un ni l'autre, je veux travailler c'est tout, ici ou ailleurs c'est pareil." J'avoue que je bluffais légèrement en disant ça.
_"Et la carrière de casse-croûte te parait une bonne idée?" Il rit presque. "Que pense tes parents de ton orientation professionnelle?" demanda t-il d'un ton qui se voulait sans doute léger.
_"Mes parents sont morts, et je n'ai nullement l'intention de me faire mordre par qui que ce soit." répondis-je d'un ton ferme qui aurait pu passer pour insolent. James se rapprocha à une vitesse inhumaine tout crocs dehors. Je tachais de rester impassible.
_"Comment tes parents sont-ils morts?" reprit-il. Je dois avouer que malgré mes talents de télépathe je n'avais pas vu cette question venir.
_"Un incendie, le mois dernier, les journaux en ont parlés" expliquais-je d'un ton vide d'émotion en me référant à mes parents d'adoption. Ma réponse parut surprendre le vampire qui me faisait face, je perçus dans ses pensées le nom de mon parrain ce qui à mon tour me fit réagir.
_"Harris?" Je perçus ses soupçons dans ses pensées. Il me prenait pour une menteuse, Mark Harris ne pouvait pas avoir d'enfant.
_"J'étais leur pupille." Eclaircis-je simplement. Les traits James se relaxèrent. "La pupille de Mark Harris, pas étonnant qu'elle est quelque chose de pas ordinaire" fut la première phrase entière que je captais venant de son esprit. Le fait qu'il semble connaître mes tuteurs, m'intriguait mais ne me surprenais pas vraiment, j'aurais voulu lui poser des tas de questions mais je doutais que la curiosité soit la bienvenue dans cette conversation. Après m'avoir contemplé encore quelques instants, le Viking reprit ses distances et passa derrière son bureau.
_"Tu es plus solide que tu en as l'air, surprenante même." Déclara t-il enfin. "Reviens demain soir, pour faire un essai" Poursuivit-il. Avec tout ça j'en avais presque oublié le but de cet entretien. "Tu peux partir maintenant."

Et c'est ainsi que je trouvais mon premier emploi, dans un des endroits les plus inattendus qui soit.

prénom ou pseudo. Silken Floss
pays et région. France, Midy-Pyrénées
âge. 19 ans
célébrité sur l'avatar. Deborah Ann Woll (après de loooongues hésitations)
poste vacant. Nope
fréquence de passage. ( 7/7 ) sauf cas d'exception
commentaire personnel. Je prendrais bien une bouteille de B Positif

PS : Pfiou, fini! Merci à ceux qui m'ont souhaité la bienvenue
Faut que j'apprenne à anticiper mes posts, heureusement qu'il y a une coupure dans mon RP ^^

Et zut, le "été", ça c'est parce que j'ai été trop pressé. XD
Même en relisant, j'ai pas assez fait attention. Ca fait un moment que j'ai pas RP/écrit, donc oui beaucoup d'inattentions sur le coup, j'en suis désolée.

J'ai modifié le nom du propriétaire de Fangtasia, je n'étais pas sure pour Erik, mais bon j'en avais besoin pour mon histoire donc je l'ai nommé en espérant ne pas faire de bourde.... C'est réussi *grin*

Willkommen, Bienvenue, Welcome de la part de toute l'équipe administrative de True Blood!

Ne t'en fais pas, c'était pour toi! ( :
&Pour le Fangtasia ce n'était pas ta faute, on ne t'a pas dit non plus d'aller lire chacun des PVs crées... ^^'

après la petite édition. Voilà qui est parfait, Girl! Tu es la toute première demoiselle dotée de dons validée, toutes mes félicitations, je suis heureux de ton arrivée dans la famille!

oh, au fait! Avant de te quitter, je vais te donner quelques tuyaux. Des conseils, entre nous! D'abord, pour te faire des amis, tu devrais créer ta feuille relationnelle. Puis, pour jouer, répertorier ton roleplay. Si tu te poses des questions, tu peux visiter la partie info& more, ou t'adresser directement à moi. Je me ferais une joie de répondre à tes interrogations. ^^

pour finir. Un ultime détail avant que tu prennes ton envol. Pour vivre, le forum a besoin de monde. Aussi, si tu pouvais faire tourner le lien, créer des partenariats, nous tous t'en serions extrêmement redevables.

Surtout éclate-toi -j'aurais droit à du Tru:Blood gratuit, dis ? xD-.
À très bientôt sur True Blood !