Syrius Vancamp ll New beginning for the vampyre order {U.C.
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Sujet: Syrius Vancamp ll New beginning for the vampyre order {U.C. Jeu 13 Aoû - 0:30
les Papiers d'Identité
« Vos papiers s'il vous plaît. Simple contrôle de routine avant de prendre la mer! »
prénom(s). Syrius Angelo nom(s). Vancamp Zuliani âge. 873 longues années / 32 ans date et lieu de naissance. l'an de grâce 1146, 5 septembre, à la capitale luxuriante : Venise race. Vampires ; sang humain, quelle question... métier. Avocat au sein de l'American Vampyre League
Dernière édition par Syrius A. Vancamp le Jeu 13 Aoû - 12:37, édité 4 fois
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Sujet: Re: Syrius Vancamp ll New beginning for the vampyre order {U.C. Jeu 13 Aoû - 0:31
l'Existence est fragile
« Le voyage est court, alors essayons de le faire en première classe. Que dites vous d'un petit cocktail? »
11 juillet 1178 Le renouveau de la vie…
Cette nuit d’été s’avérait être plus majestueuse que jamais. Une vision resplendissante de cette nuit radieuse laissant ressortir toute la beauté éclatante et la magnificence de la charmante Venise. Venise qui, en cette époque, n’était autre que la capitale de l’empire Italien qui s’arrêtait aux bordures de la méditerranée pour se prolonger jusqu’au cœur de ce qui deviendrait l’Europe bien des siècles plus tard.
Une capitale d’où j’étais fier de vivre et d’habiter. Elle représentait à mes yeux toutes les aspirations grandioses et luxuriantes qui pouvaient se façonner au cœur de mon esprit. Un esprit noble et vertueux, cela n’était d’autant plus que légitime lorsque vous n’êtes autre que le fils d’un des nobles Doges de l’histoire. Mon père, Paolo Zuliani, fut l’un des chefs de cette cité et y régna en tant que tel durant une bonne trentaine d’années. Son investiture avait commencé au mois de mai 1144. A cette époque, l’Italie et les autres royaumes catholiques se remettaient du tonnerre récalcitrant qu’avait pu représenter les deux premières croisades. Face à ce trouble, mon père usa de sa force de persuasion et de son charisme pour acquérir les clés de la capitale au cœur de ses mains. C’est ainsi que, dés mon tout premier battement de cœur, je fus destiné à être élevé dignement, comme le fils du noble que j’étais, et à grandir dans un univers fait de bals, de réceptions diverses, d’argenterie et de richesses.
Je pense, à juste titre, que c’est depuis ma prime enfance que je me suis voué à la recherche de cette existence noble et luxuriante. C’était l’univers qui m’avait créé en tant qu’homme, le monde qui m’avait accueilli et cette délicieuse ambiance qui m’avait vu grandir. Comment aurais-je pu alors renier tout cela en devenant un être vagabond, de bas étages, se moquant éperdument de la vie et de ses trésors ? Cela m’était tout bonnement impossible et inimaginable. Agir de la sorte n’aurait pas été respectueux face à cette destiné qui m’était offerte, sans oublier la honte et l’affront qui auraient été miens si j’avais renié un tant soit peu ces humains auxquels j’appartenais en tant que fils. Oui, je leur appartenais, j’étais leur propriété, leur héritier, leur destinée à tous deux, mon père et ma douce mère. Je ne considérais pas cela comme une injustice, ni un esclavage. C’était quelque chose de logique et de naturel dans mon esprit. De part mon nom de baptême, j’acceptais d’être le dernier trésor de toute ma famille, de tous mes ancêtres.
Être le fils du chef de la cité n’avait pas que ses avantages malheureusement, je le compris en cette nuit, à mon plus grand dam. Je revenais d’une soirée dés plus appréciable auprès de mes deux compagnes de l’époque : Lucinda et Mariëlla. Elles étaient mes deux muses, mes deux amours, des créatures de perfection qui n’étaient guère digne d’être considérées comme les filles de l’Homme. Nous nous retrouvions régulièrement tous les trois dans une maisonnée située à quelques rues du palais du Doge. Comme à l’accoutumée, je repartais au milieu de la nuit pour regagner ma demeure en empruntant quelques petits passages sombres et que j’avais toujours estimé comme sûr.
« C’est lui ! »
Siffla une voix nasillarde derrière moi, m’interpellant aussitôt. Je n’eus que le temps de tourner mon visage en direction de la provenance de ce bruit que je fus alors brusquement mis à terre par un violent coup de buche qui me frappa en plein centre du crâne. Sans comprendre ce que me voulaient ces brigands, je tombai à genoux tout en venant poser ma main sur l’endroit frappé.
« Qu’est-ce… que vous me voulez ? »
Je secouai légèrement la tête avant de redresser mon regard vers les trois ombres qui se matérialisèrent devant moi. Celui qui me paru être le chef et qui était au centre de ce trio était un homme relativement âgé et dépourvu de tout raffinement que ce soit. Je décelai sans aucun mal les trous garnissant sa longue tunique ainsi que les diverses traces d’humidités qui ne le rendait que plus crasseux.
« Vengeance ! »
Brailla-t-il en riant grassement suite à la prononciation de ce mot.
« Vengeance ? »
« Oui, la vengeance de la mort de mon fils que ton padre a orchestré avec sa ‘noble’ politique. »
A cette réponse, je compris alors, pour toujours, que tout ceux qui possédait un tant soit peu de pouvoirs avait forcément des ennemis et des opposants tapis dans l’ombre. C’est à partir de cette nuit-là que la méfiance et la prudence se sont emparées de mon être pour faire de moi l’homme que je deviendrais plus tard.
« Ecoutez, je suis navré pour vot… »
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’un nouveau coup de buche s’abattu sur mon crâne. Face à la puissance et la violence du choc, je ne pu m’empêcher de tomber allonger au sol avant d’entendre leurs rires à tous les quatre. Des rires suivis d’une multitude de coups de pieds qui vinrent me frapper tantôt dans les jambes, tantôt dans le ventre pour, finalement, me retrouver sur le dos suite à un coup s’étant volontairement perdu sur mon nez.
« Il suffit ! »
Alors qu’un filet de sang s’échappait de mes narines, noyant mes lèvres sous le contact chaudement délicieux de ce précieux liquide… Alors que mes côtes me firent atrocement souffrir, que j’en avais mal à respirer… Alors que le bas de mon corps se retrouvait tout endolori… Mon salut fut apporté par une voix beaucoup plus majestueuse et posée que celles de mes agresseurs. Une voix résonnant dans mon cœur et dans mon âme comme une lueur sombre et envoutante. Une voix qui me charmait et m’envoutait bien à mon insu.
Pris de panique à l’image d’un noble ayant pu les surprendre dans leurs noirs desseins, mes agresseurs se retournèrent à peine vers ce mystérieux personnage pour s’enfuir dans la direction opposée, hurlant ma personne en me jurant de venir terminer la fin de ce qu’ils osaient appeler leur chef d’œuvre. J’étais bien évidemment trop mal en point pour me permettre de répondre à cette attaque directe. Une simple respiration me faisait ressentir une douleur incommensurable. Une douleur qui me sembla toutefois bien superflue lorsque je l’observai s’approcher de moi dans une grande magnitude. De par son simple regard, je me sentais plus léger… Toute sensation, tant désagréable que délicieuse, m’abandonnait. Je n’étais qu’un simple et fragile pantin brisé qui ne pouvait qu’attendre la patience et la gratitude de son maître pour être remis sur pieds.
« Ne vous inquiétez pas, je ne vous veux aucun mal… »
Etrangement, bien qu’il voulu me rassurer, il n’avait nullement besoin de le faire. Dés la première syllabe qu’il avait pu prononcer, je me sentais dans cette sécurité que l’on peut ressentir au cœur de son lit, alors âgé de six ou sept ans, entouré par vos parents vous bordant tendrement. J’avais ce sentiment d’être protégé, d’être préservé du moindre mal pouvant arriver en cet instant.
« Permettez-moi de me présenter, Messire Bartholoméo di Aganzia. »
C’est en joignant ses mains l’une à l’autre de manière gracieuse et en se courbant légèrement vers l’avant qu’il se présenta à moi avec cette noblesse mêlée à un naturel et une simplicité dés plus singulières.
« Je ne suis point un guérisseur ou tout autre personnage fantasque de ce genre de confrérie mais, je peux dire que vu votre état, je suis le seul qui pourra vous apporter un renouveau bénéfique. »
Quel était ce langage, cette manière de parler ? Moi qui côtoyait sans cesse les nobles depuis mon plus jeune âge, je me fit surprendre par des propos plus éloquents et magnifiques que jamais qui contrastait avec ce sentiment de simplicité que je venais d’évoquer. Cette étrangéité bouleversante qui ne pouvait me contraindre qu’au silence et qu’à la fascination.
« Cela va sans dire qu’il appartient à vous seul la décision de me laisser pratiquer mes quelques facultés régénératrices sur votre personne. Néanmoins, je ne peux cacher que cela nécessitera un prix que vous devrez payer de toute votre âme et pour l’éternité des siècles. »
Au fur et à mesure que ses propos continuèrent, que ses mots me conduisaient face à un être qui me voulait quelque chose de particulier aux aspirations loin d’être catholiques, ma fascination ne faisait que grandir d’avantage, encore et encore. J’aurais pu le repousser de moult manières mais je n’en n’avais guère le cœur, ni l’envie. Non, je voulais continuer à l’entendre parler, à l’entendre m’amener sur ce terrain dangereux d’une révélation sournoise et morbide. Je voulais le découvrir, qu’il se dévoile et en savoir toujours plus d’avantage sur son ‘offre’. Et, paradoxalement à cela, je restais silencieux face à toutes ses mystérieuses répliques.
« Sachez mon très cher que le silence demeure à jamais la plus éloquente des réponses. C’est pourquoi j’agirais en grande clémence en mettant à jour le fond de mes pensées. Des pensées qui peuvent vous sembler mal avisées vis-à-vis de cette attirance que j’ai pour vous depuis cette première nuit où je vous ai aperçu retourner à votre demeure. Des pensées loin d’être chastes puisque je vous désire comme compagnon depuis ce premier regard. Doublé à cela des pensées sulfureuses et moribondes qui m’amène à vouloir vous offrir ce plaisir intense du renouveau face à un lourd tribut de votre part. »
Dernière édition par Syrius A. Vancamp le Jeu 13 Aoû - 15:27, édité 9 fois
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Sujet: Re: Syrius Vancamp ll New beginning for the vampyre order {U.C. Jeu 13 Aoû - 0:31
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Sujet: Re: Syrius Vancamp ll New beginning for the vampyre order {U.C. Jeu 13 Aoû - 0:32
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Sujet: Re: Syrius Vancamp ll New beginning for the vampyre order {U.C. Jeu 13 Aoû - 0:33
la Fin du Voyage
« Nous sommes bientôt arrivés. Quel dommage, j'aurais aimé encore longtemps vous parler. Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin... »
prénom ou pseudo. JF pays et région. Belgique / Hainaut âge. 22 ans célébrité sur l'avatar. Zachary Quinto poste vacant. Non fréquence de passage. ( 5/7 ) commentaire personnel. je voudrais un verre de sang A-
You want some more ? Gouttes de: V-blood Poche de ce sang: (100/100) Topics : ON
Sujet: Re: Syrius Vancamp ll New beginning for the vampyre order {U.C. Sam 29 Aoû - 19:11
Bonjour!
Plus de deux semaines se sont écoulées sans aucune avancée dans ta fiche de présentation. Pourrions nous avoir des nouvelles?
Si rien n'a changé d'ici une semaine, ta fiche sera déplacée. Mais tu pourras quand même la récupérer si tu en fais la demande, dans un délai d'une semaine au delà duquel ton compte sera supprimé.
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Sujet: Re: Syrius Vancamp ll New beginning for the vampyre order {U.C.
Syrius Vancamp ll New beginning for the vampyre order {U.C.
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