Mary Westbury

Prénom(s). Mary, Rose. Nom(s). Westbury. Âge. Dix-neuf/Deux cent vingt et un ans. Date et lieu de naissance. 2 mai 1788 à Paris, France. race. Vampire, consommatrice de Tru:Blood de type A. Métier. Violoniste concertiste.

Le roleplay.
« Débutons par la ou tout à commencé, voulez-vous ? Il est important de connaître le passé d'une personne quand on veux en comprendre le présent. Marie est née il y a maintenant deux siècles - deux cent vingt et une années pour ceux qui rêvent d'une plus grande exactitude - dans la charmante ville de Paris. Chose bannale et futile me direz-vous, tant de monde ont habités Paris à cette période. Grand bien leur fasse, elle n'est pas tout le monde. La jeune fille est la petite dernière de la grande maison d'Orveuil. Après la naissance de trois fils, la famille fût heureuse d'acceuillir un petit bout féminin. Elle devint immédiatement la petite favorie de ses deux parents qui imaginaient déjà de grands desseins pour son avenir. Née dans le faste de l'aristocratie, elle n'eût guère le temps de profiter de cette situation. Comme tout un chacun le sait, l'ordre social et politique en France au dix-huitième siècle est tout sauf apaisé. Ainsi, un an après sa naissance, le peuple se révolte et court sur Paris et ses alentours. La Duchesse d'Orveuil, sa mère, désireuse de sauvegarder sa petite dernière, chargea une de ses suivante d'enmener sa fille au delà de cette révolte, chez sa tante, en Angleterre. A peine venait-elle d'arriver à Paris que la petite se devait de filer chez ses cousins britanniques. »

La Duchesse passa un regard au dehors quand elle aperçu ce qu'elle creignait le plus. Le tout Paris était déjà en train de battre le pavé, à la recherche de quelques bonnes familles à détrousser. Ils avaient enfoncé les grilles qui fermaient les beaux jardins d'Orveuil au yeux du monde et accouraient en direction de la demeure principale. Ils écraisaient tout sur leur passage. Les parterres de Lys qu'elle venait de faire planter, les diverses fontaines et les roses porcelaines qui les agrémentaient, et même tulipes bleues qui étaient pourtant bien cachées. Déjà, elle remarquait la tête du Marquis de Longardi sur une fourche, en compagnie de celle de sa femme et de leur charmant fils. A celles-ci vinrent s'ajouter celles d'autre personnalités qu'elle avait croisée régulièrement cette semaine, lors de dîner mondains. Elle se recula de la fenêtre, appeurée et se jeta sur le berceau qui se trouvait à ses côtés. Comment, la révolution était-elle bien réelle ? Qu'allaient-ils tous devennir ?

A peine eût-elle prise son enfant dans ses bras que la porte s'ouvrit avec fracas. Elle hurla de terreur, mais se rendit bien vite compte qu'il ne s'agissait la que d'un valet. Il fallait à tout prix évacuer les lieux et au plus vite. La Duchesse suivit le jeune homme jusque dans la cour arrière de la maison, éclairée par un seul candelabre d'argent. Tandis qu'elle avançait dans les couloirs du chateau, elle se rendait compte qu'elle croisait sans aucun doute tout ceci pour la dernière fois. Ses tableaux de maître, ses secrétaires en bois précieux et ses tapisseries ne seraient bientôt plus que cendres et décombres. Et dire que toutes ces années elle avait amassée chacun de ces objets en compagnie de son mari. Désormais, ils n'étaient plus rien, ou tout du moins, rien qui ne puisse la sauver véritablement. Le valet entra dans une porte dérobée et elle le suivit. Autours d'eux, des suivantes et autres domestiques s'affairaient à cacher quelques objets de valeurs ou à pleurer sur leur sort. Rien de tout ceci n'était utile, ils devraient tous fuir. Comme elle. Comme sa fille. Et comme son mari qu'elle apercevait aux abords de leur carosse. Il l'attendait en compagnie de leurs fils et d'un cocher dans lequel il avait une confiance absolue. La Duchesse regarda au loin et comprit qu'il était trop tard. Ils ne réussiraient jamais à traverser entièrement le domaine sans se faire prendre. C'est à contre-coeur qu'elle appela sa plus fidèle servante et lui confia son enfant entre les mains. Elle lui indiqua un chemin plus restreint qui ne pouvait être utilisé qu'a dos de cheval, et par lequel elle serait cachée. Quand elle lui dit qu'elles se retrouveraient dans quelques jours aux portes de Westbury, en Angleterre, elle savait déjà qu'elle voyait sa fille pour la dernière fois. La servante accepta sans broncher et fila à toute allure. La Duchesse prit ensuite le carosse, les larmes aux yeux et quitta le château qui s'embrasait déjà sous le joug du peuple. Elle venait de dire aurevoir à son enfant. En effet, quelques kilomètres plus tard, ils furent arrêtés puis déposés un à un sous la lame de la guillotine.

« Il fallut quelques semaines à la suivante pour atteindre les domaine de Westbury, ou la petite était déjà attendue depuis plusieurs jours. Ce prélude néfaste passé - jamais on ne retrouva une trace vivante de la famille d'Orveuil dans les mois qui suivirent - la petite changea même de nom pour symboliser sa seconde naissance, au sein de la bonne société anglaise. Marie d'Orveuil devint donc Mary Westbury. Bien qu'elle ne se souvienne evidemment pas de cet evênement, Mary en voulait déjà au autres pour ce qu'ils avaient fait aux siens. Durant cette période plus que pendant toutes autres, elle était hautaine et sans pitié vis à vis des roturiers, et se complaisait dans l'art de se distinguer du bas peuple. Elle vécue une enfance relativement exemplaire, suivant tantôt des leçons de musique, tantôt apprenant le latin, la littérature et d'autres disciplines reservées à une certaine élite. On lui découvrit un caractère poétique et curieux mais aussi édoniste et doux. C'est également lors de son enfance qu'elle se découvrit une passion sans équivoque pour son instrument de prédilection : le violon. Plus tard, elle se fera même offrir un luxueux Stradivarius - le Des Rosiers - par un des princes de couronne britannique, tombé amoureux de son talent. »

La petite Mary venait d'arriver devant la porte du grand salon. Elle savait que son professeur l'y attendait et rechignait d'ailleurs à entrer. Depuis quelques semaines déjà, il venait tout les quatre jours pour lui dispenser un horrible cours de piano. Cet instrument - aussi gracieux soit-il - ne lui plaisait pas. Elle ne savait comment l'expliquer mais était persuadée qu'elle n'était pas faite pour cela. La jeune fille ouvrit tout de même la porte et entra dans la salle. Comme dans le reste de la demeure, le plafond était d'une hauteur incroyable et les murs, aussi blancs qu'immaculés. Ils se trouvaient ornés de dorures propres à l'époque. Derrière les grandes fenêtres blanches, on devinait le domaine de Westbury qui s'étendait sur plusieurs hectars. Elle aurait aimé se retrouver dans ces vertes prairies, à jouer en compagnie de ses cousines et à flâner dans le jardins aromatique de son 'père'. Mais elle devait se retrouver ici, dans cette salle richement décorée, en compagnie d'un viel homme qui la traitait comme une enfant. Elle allait pourtant avoir bientôt six ans, il lui devait plus de respect. Mr. Belcourt comme il se faisait appeler n'était pas très aimable. Il s'agissait d'un ancien musicien qui avait décidé de relancer sa carrière en se lançant dans l'enseignement. Il avait toujours chercher à trouver un élève prodige pour l'élever au rang de virtuose et retrouver sa splendeur d'antant. Malheureusement, il n'en était rien jusqu'à présent, et Mary ne fesait pas exception. Quand la fillette posa son regard sur son professeur, elle fut surprise de voir qu'il s'était éloigné du long piano à queue de la pièce - celui-ci n'avait d'ailleurs pas été ouvert - et se tenait debout devant un étrange étuis de cuir. Intriguée par cela, elle s'avança vers lui et ne le salua que très vivement. Son professeur remarqua son attitude et ne pût s'empêcher de lui envoyer une précieux sourire. Sa piètre pianiste avait l'air d'être charmée par l'instrument qu'il tenait dans les mains. Il s'agissait d'un magnifique violon - recemment créé chez le luthier le plus doué de la région - destiné à la petite noble.

Il lui expliqua très birevement la manière de le tenir et de s'en servir, avant de le déposer au creux des bras de l'enfant. Elle n'avait rien dit pour le moment et écoutait paisiblement son professeur, buvant et savourant ses paroles comme jamais auparavant. Pour un peu plus, il en aurait été complètement déboussolé. Il éxécutait des mouvements prodigieux et avec une précision remarquable, posant un à un ses doigts sur les cordes, les saisissant tantôt entre ses doigts, tantôt avec le dos de l'ongle et maniait l'archet avec une dextérité étonnante. Lorsqu'il demanda à Mary si elle souhaitait essayer ses première notes, la petite se contenta de déposer l'instrument sur son épaule et de saisir l'archet de la main droite. Elle ferma paisiblement les yeux. Dès lors que l'archet avait été déposé sur la première corde, une musique affreuse s'échappa du violon. Sans se lasser d'une approche plutôt ratée, elle essaya de nouveau et bien que le résultat soit tout aussi mauvais, elle continua son geste. Après quelques minutes, elles avait déjà reproduit des enchainements assez succints. Son professeur, qui était resté bouche bée, tomba rapidement sur une chaise. Sans être une virtuose accomplie - la musique qu'elle venait de jouer était plus qualifiée de vacarme absurde - Mary avait evidemment un potentiel très important. Il venait enfin de trouver la clef de son succès.

« Ce jour boulversa complètement la vie de la charmante enfant qui – encouragée par ses parents adoptifs – continua à travailler son violon pendant des années. Son professeur lui assura une place dans le Grand Conservatoire de Londres ou elle continua son chemin jusqu'au jour ou elle joua pour la famille royale. Elle reçu ce jour là un précieux présent de la part du Prince. Suis-je redondant ?Mais plus les années passaient, plus Mary se languissait d'une vie moins stricte. Elle rêvait encore du jardin aromatique, de flâner le long des fleuves et d'écouter le bruissement des feuilles. Elle rêvait de Paris et de romantisme, de devennir femme. Elle se rendit compte que, finalement, sa situation n'avait pas changée depuis dix ans. Au lieu d'être la petite fille qui abhorrait ses cours de piano, elle était la violoniste qui abhorrait sa prison dorée. Pourtant - don du ciel - lors d'une soirée mondaine en son honneur, Mary rencontra celui qui deviendrait plus tard son époux deux siècle durant. Ils se revirent des mois durant et tombèrent éperduement l'un amoureux de l'autre. Tant que la jeune femme accepta de partager son existence pour l'éternité. Il la transforma, un soir de demi-lune, au bord d'un des lac de Londres. »

Mary se trouvait là. Elle était assise à ses côtés, et rien d'autre. Jamais elle n'aurait imaginé un jour le lui dire, et pourtant elle venait de le faire. Cet homme, ce Dieu de beauté qui lui faisait face souriait de plus belle. Elle venait de lui offrir sa vie, la seule chose qu'il ne détenait pas encore et qu'il allait maintenant s'empresser de prendre. La jeune femme regarda une dernière fois le paysage qui l'entourait et se demandait si elle pourrait de nouveau contempler l'eau baignée de lune ou les bleutets nocturnes après cette nuit. La jeune noble sentait les odeurs nocturnes parfumées de lavance et rafraichie de la rosée. Elle avait confiance en lui et savait qu'il ne la tuerait pas. Ils s'aimaient bien trop. Elle était d'ailleurs prête à tout abandonner pour lui, et savait les conséquence que cet acte impliquait. Elle devrait saluer sa carrière, puis disparaître du monde réel pour s'éffacer avec lui sans laisser de trace. La perspective de quitter sa famille la laissait un peu triste mais cela n'était rien face à la joie de rester pour l'éternité à ses côtés. Relevant les yeux vers son aimé, elle le contempla une dernière fois de ses faibles yeux d'humaine. Il n'existait de plus être au monde. Sa tête était entourrée de longs cheveux bruns, coiffés et bouclés artistiquement autours de son visage. Et quel visage ! De grands yeux clairs, une bouche soulignée par un sourire mystèrieux. Elle devinait les canines sortir de sa gencives et - collée contre lui - son corps frémir. Le coeur d'un vampire ne bat plus, et elle avait l'impression que le sien battait pour eux deux. Il était la seule attache humaine qui l'empêchait d'être totalement à lui. Inspirant de nouveau et fermant ses yeux, Mary sentit son aimé s'approcher petit à petit de sa gorge puis planter ses crocs dans sa jugulaire.

Ce fut une sensation indescriptible. Elle se sentait vider de tout. Comme si ses peurs, son apréhension, mais également ses désirs et son âme elle-même était aspirée. Tout tournait autours d'elle, devenait outremer, bleu et enfin noir. Elle se sentait partir et son coeur en faisait de même. Puis, une atmosphère tout autre se dégagea des lieux aux alentours. Le sol semblait fait de coton, et elle avait l'impression d'y penetrer. La lumière de la lune était plus tamisée, et les gestes de son amant à son égard s'en trouvait magnifiés. Elle recevait petit à petit le sang de son vampire. Une sensation plus forte qu'aucune autre et qui la menait petit à petit vers l'extase. Une intense gerbe de plaisir à l'état le plus pur. Les yeux de Mary - entrouverts pendant l'opération - se fermèrent petit à petit. Quand soudain, ils se rouvrirent avec une force soudaine. D'ailleurs, ils avaient l'air de vouloir sortir de leur orbite. Mary posa sa main brutalement sur le bras de son aimé et le lui aurait arraché si elle en avait eût la force. Elle le regardait, le tuait, le fusillait du regard. Jamais auparavant elle n'avait éprouvée une telle douleur. Son corps fut prit de spasmes et de nausées. Elle commença à ne pouvoir retenir ses pleurs et ses cris. Le vampire qui l'aimait ne pouvait s'empêcher de se sentir coupable face à cette réaction. Il la serrait dans ses bras et la cajolait, tandis qu'elle souffrait le martyr. Cette étape se continua jusqu'au petit matin ...

« Lorsque Mary se réveilla, elle était tout autre. Et pendant deux siècles encore elle fut tout autre. Elle était devennue la parfaite incarnation d'une vampire. Belle, sublime, enchanteresse, froide, distinguée et précieuse. Ils quittèrent tout deux l'Angleterre pour s'installer en Italie, puis en Grêce, et en Espagne. Ce fut ensuite le tour de la Russie. Ils prirent exactement deux cent ans pour visiter l'Europe entière. Mais les passions les plus fortes, sont aussi les plus courtes. Bien qu'ils s'aiment plus que tout lors de leur rencontre, quand ils revinrent en Angleterre, leur amour s'était épuisé. Le couple finit par se déchirer et Mary quitta son pays natal pour les Etats Unis. Elle qui avait toujours cru à l'amour éternel venait de tout perdre. Elle se retrouvait morte et seule, pour toujours. Passant le plus clair de son temps dans les années qui suivirent à essayer de penser ses plaies, celles-ci se rouvrirent quand elle rencontra un jeune homme du nom de Jonothan Holligan. Il ressemblait tant à son ancien amant qu'elle crut le reconnaître. Aujourd'hui, elle singe son ancienne idylle à ses côtés. Pourtant, son caractère faible dû à son humanité l'exaspère de jour en jour. Naïve mais loin d'être stupide, Mary sait que cette relation est vouée à l'échec. Plus que tout, elle se sent seule et rêve de retrouver un semblant de normalité dans sa vie. Peut être est-ce le temps de reprendre sa passion ? »

Prénom ou pseudo. Louise.
Pays et région. Paris, France.
Âge. Dix-neuf ans.
Célébrité sur l'avatar. Kristen Dunst
Poste vacant. Oui
Fréquence de passage. ( 5/7 )
Commentaire personnel.Serait-il possible de prendre un verre de Tru:Blodd de type A ?

Bienvenue! =)

Merci à vous deux.

Pour commencer, laisses moi te souhaiter – de ma part ainsi que de celle des autres admins – la bienvenue sur True Blood !

Ta fiche est maintenant terminée so let's go pour la modération! Et ne t'inquiètes pas, malgré ma tendance à sortir les crocs et les griffes, je ne mords pas... enfin pas toujours!

Tout d'abord. Quelle sublime fiche! J'ai beaucoup aimé ton style et l'histoire qui m'a vraiment passionnée d'un bout à l'autre. Je trouve que tu as extrèmement bien brodé autour des informations données dans les PV. Il y a quelques fautes d'ortographe et de frappe par-ci par-là mais la qualité de tes écrits rattrape tout ça et n'entâche en rien la lecture.

Cependant. Un seul petit détail m'a réellement gêné pendant ma lecture... Le fait qu'elle sache jouer du violon aussi bien, aussi jeune et pour la première fois. Je ne suis pas très calée en violonnistes mais cela me parait tout de même gros et invraisemblable, il faudrait donc éditer cette partie.

Je te laisse donc rectifier ces quelques petits détails afin de procéder à la validation tant convoitée.
N'hésites pas à me poser des questions si besoin est!

Bonjour London,

Merci pour ce compliment, je m'empresse d'éditer ma fiche. Je remarque en effet que mes mots ont été un peu audacieux quant à sa manière de jouer. Par soucis de vraisemblance romanesque, je comprend parfaitement que cela ne convienne pas.

Aussi, j'ai rectifié le tout en soulignant la dextérité etonnante dont elle à fait preuve malgré la fausseté des notes. Il est bien connu que le violon est un instruments des plus ingrats qui demande une rigueur incroyable pour arriver à sortir des notes justes. Aussi, je pense que cela sera mieux ainsi. Qu'en penses-tu ?

Hum c'est encore trop invraisemblable pour ma part, elle n'a que cinq ans et c'est la première fois qu'elle touche un violon... elle pourrait juste réussir à enchainer deux ou trois notes que lui aurait montré son professeur.

Et de rien pour les compliments, ils étaient sincères

Très bien.

Voila qui est modifié. Est-ce assez ainsi ? Dans le pire des cas, cela ne change pas tellement de choses. Son niveau actuel est assez élevé et bien qu'elle n'ait pas jouée depuis des années, ses facultés vampiriques vont sans doute lui permettre de retrouver ses marques en un rien de temps ! A ce propos, j'ai remarqué que quelques vampires avaient des compétences propre à eux. Auquel cas, serait-il possible que la faculté de mon personnage soit relative à son instrument ?

Citation :

Auquel cas, serait-il possible que la faculté de mon personnage soit relative à son instrument ?

Rien de bien compliqué, rassures-toi.
Soit, je pensais simplement à une dextérité hors de commun, ou une audition plus fine que la moyenne des vampires. Ce genre de choses.

Ou alors, un genre de charme musical. On sait que les vampires sont des séducteurs hors paire et qu'ils savent user de leurs charmes pour attirer leurs victimes. Les musiques que jouerait Mary pourraient être si belles et si entrainantes que tout un chacun en serait envouté.

Très bien.

Dans ce cas, je me contenterais des aptitudes déjà très utiles qui sont propres a chaque vampires. Excuse moi de pinailler sur ce genre de détail, je sais que je suis assez usante à force. Si tout est parfait de ton côté, je pense ne plus rien avoir à ajouter du miens.

C'est rien du tout miss, je suis là pour ça! Et bien de mon côté je n'ai rien à ajouter non plus so...

Bravo! Ta fiche est maintenant validée! You Rock !

Avant de te lâcher dans la fosse aux lycans, je vais d'abord te donner quelques conseils qui pourraient t'être utiles. Maintenant que tu es validé, tu peux accéder librement à toutes les parties du forum et tu peux donc, par conséquent, gérer toutes les facettes de ton personnage. Pour cela, fais chauffer ton clavier et crée une fiche de relations, qui te permettra de créer des affinités avec certains personnages, ainsi qu'une feuille de roleplay qui t'aidera à te lancer dans le jeu.

Afin de t'intégrer parfaitement au jeu sans encombre, penses à faire un petit tour du côté des informations complémentaires qui t'aideront à comprendre et à connaitre l'univers dans lequel tu évolues désormais. Pour terminer, si tu aimes True Blood autant que nous, n'hésites pas à en parler autour de toi et à faire circuler le lien. Plus on est de fous plus on rit!

Merci à toi !