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| Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} | |
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+2Eden J. Hermangarde Halian N. Skah Cheveyo 6 participants | Auteur | Message |
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Halian N. Skah Cheveyo Humain
Messages : 90 Date d'inscription : 08/01/2010 © Credits : © Lonely Angel Emploi : Garde Forestier - Tueur à Gage
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| Sujet: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Sam 9 Jan - 17:55 | |
| les Papiers d'Identité
« Vos papiers s'il vous plaît. Simple contrôle de routine avant de prendre la mer! »
Il fut un temps où un homme, vaillant et respectable, fut de ce monde. Il est d'utilité pour la suite du récit de présenter ce valeureux Homme d'Howahkan. Il est aussi nécessaire, pour votre compréhension, ainsi que celle de vos peuples, qu'une traduction soit faite en votre langue. Vous et les siens êtes comme deux êtres dont les entités ne font parti d'un monde commun ... Mais cela, nous allons l'expliquer tout à l'heure.
| Halian Nashoba Skah - 'Alejandro' Littéralement - Jeune Loup Blanc - en votre langue.
Vous devez savoir que si dans votre culture il est dérisoire de porter un prénom comme celui-ci, pour le Peuple d'Howahkan il est significatif, et très important. Je vous prie et je vous en conjure - et les Esprits vous pardonnent si ce n'est pas le cas - de respecter et d'honorer cette façon d'être. Halian. - Le jeune. C'est la première partie de son prénom, et celle qu'utilise les Sages et les Aînés de son Peuple. Le nommer par cette unique appellation alors que vous seriez le Cadet de la conversation, ou encore alors que vous ne seriez plus haut dans la hiérarchie apparente constituerait une offense en sa personne. A vous d'espérer, alors, qu'il n'en tienne pas rigueur. Nashoba. - Le loup. On le nomma ainsi pour diverse raison que l'on exposera plus amplement dans le récit que je vous conterais prochainement. Pour l'heure, tout ce qu'on peut savoir à ce sujet, c'est que cette nomination lui confère un respect considérable au sein de Son Peuple. Il en a hérité après que les Esprits du bien lui ait permit de communiquer avec eux. Skah - Le blanc. C'est ainsi qu'on le nomme le plus souvent. S'il est vrai qu'il ne constitue qu'une partie de son prénom, et qu'en période d'évènement important on l'appelle de façon entière, il est usuel au sein de Son Peuple de le reconnaître par cette dénomination, qui, de façon incontestable, est hérité de sa couleur de peau, si inhabituelle au sein des siens. Mais il exprime, aussi, une autre signification.
Alejandro. C'est le nom que l'Homme Blanc lui a donné. Il ne compte pas, et n'a aucune signification pour lui. La vérité, c'est qu'il veut dire - Défenseur - en langue hispanique. On ne saura jamais si ce fut un coïncidence de le nommer pour ce qu'il serait, plus tard, dans son Peuple ou si c'était volontiers de la part du salaud qui le prit pour héritier. Qu'importe. Tout ce qu'il y a à savoir, c'est qu'il utilise ce dénominatif de temps en temps, quand il se trouve sur le territoire de l'Homme Blanc.
Cheveyo Littéralement - L'Esprit du Guerrier - en votre langue
Les ancêtres de sa mère étaient les défenseurs de Son Peuple. Les Esprits des guerriers du Peuple d'Howahkan le protègent et lui confèrent la force, la puissance, l'intelligence et le sixième sens de toute sa ligné, et dont un bon chasseur, et protecteur d'une communauté à besoin. En cela, son nom inspire le respect et l'admiration de la part des autres individus.
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Né il y a 230 lunes et 3 cycles, à Genesee
Il est difficile de connaître les âges et les dates chez le Peuple d'Howahkan. Ils ont un calendrier bien différent du notre. Tout ce qu'on sait, c'est qu'ils se réfèrent à la Lune et à l'astrologie. Rien de plus. Dans votre culture, Skah doit avoir ... 32 ans. Ou bien 40. Peut être 28. C'est dur de savoir. Disons qu'il a dans la trentaine. Genesee. signifie - Belle Vallée. On ne sait où il est né. Ni même la région. Tout ce que l'on sait, c'est que Son Peuple a appelé l'endroit où ils étaient alors installé : La Belle Vallée.
He Lush Ka Achak Littéralement - Combattant Esprit - en votre langue
Il est difficile d'expliquer ce qu'est Skah. En plus d'être le porte parole de son peuple auprès des Hommes blancs, ainsi que leur emissaire dans vos contrées, pour les Hommes d'Howahkan, c'est un combattant, un guerrier. C'est pour ça que l'on dit que c'est un He Lush Ka. Le terme d'Achak peut se comprendre de bien des façon. Certains dise que c'est parce qu'il doit combattre pour les esprits. D'autre disent qu'il est en réalité un esprit. Certains, même, vont jusqu'à interpréter le mot "Esprit" en lui même de bien des façon. Ce n'est pas la traduction de ce qu'il est qui compte réellement, mais plutôt la signification qu'il a au sein de Son Peuple. Si on devait donner un mot plus concret à ce qu'il est capable de faire, nous dirions qu'il est un Changeur Il a la capacité de communiquer avec La Mère Nature, et est l'un des seuls, avec les Homme-Esprit - les sages - , à pouvoir entrer en communication avec l'esprit des ancêtres. Mais c'est avant tout un Homme d'Howahkan, ce qui signifie littéralement - Homme de la Voix Mystérieuse. Et rien que cela, ça lui confère bien des capacités ...
Garde Forrestier et Tueur à Gage
Si pour vous, il est dur d'expliquer ce qu'est Skah chez les siens, il en est tout autrement, chez vous. Depuis qu'il est arrivé dans vos contrés, ce vaillant homme d'Howahkan exerce le métier de Garde Forestier. La nature, c'est ce qu'il aime, et heureusement, il a trouver un poste qui consiste à surveiller les forêts alentours de la Grande Ville, ainsi que veiller à toute ces choses que l'on appelle la bio diversitées. En claire, le genre de métier qui le rapproche le plus de sa vision de la vie. Il tiens à la Nature et se sent chez lui uniquement en son sein - contrairement à la ville. Mais Skah n'est pas seulement un Garde Forrestier. Si son cercle social est très limité, il exerce néanmoins le boulot de Tueur à Gage pour certains hommes. Au sein de son peuple, son rang d'He Lush Ka Achak lui confère le droit d'ôter la vie - cela même si c'est plus un fardeau qu'autre chose. En cela, il accepte de prendre leur dernier soupire aux genre de personnes qu'il juge mauvaises - parce qu'il n'accepte pas de mission qu'il considèrerait comme injustes. Triste héritage d'une partie de sa vie chez l'Homme Blanc, c'est l'une des seules choses - en plus de s'occuper de la nature - qu'il soit capable de faire dans cette société qui lui semblera toujours étrange. En soit, c'est aussi surement - et ce de façon inconsciente - un moyen de satisfaire son aversion pour l'Homme Blanc.
Quoi qu'il en soit, Garde Forestier, et Tueur à Gage au compte de certains badauds ou messires, le tout dans une discrétion interminable, voilà ce qu'est Skah dans vos Contrées.
l'Existence est fragile
« Le voyage est court, alors essayons de le faire en première classe. Que dites vous d'un petit cocktail? »
le roleplay. Voir plus bas -->[]
la Fin du Voyage
« Nous sommes bientôt arrivés. Quel dommage, j'aurais aimé encore longtemps vous parler. Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin... »
prénom ou pseudo. Skah pays et région. Île-de-France, dans ce qu'on se plait à appeler l'hexagone âge. Devrait pas tarder à avoir ses 17 ans célébrité sur l'avatar. Messire Johnny Depp poste vacant. Niet ! fréquence de passage. 4/7 - pour ce qui est du RP ça dépendra de la disponibilité commentaire personnel. Très beau forum, ça il faut le souligner, mais ce que je tiens à dire, c'est qu'il est plutôt incongrue de se servir de la nourriture d'autrui. M'enfin bon, il se pourrait que je sois obligé de commander une p'tite bouteille de True Blood si j'veux rester parmi vous ;)
Dernière édition par Halian N. Skah Cheveyo le Sam 16 Jan - 17:49, édité 37 fois | |
| | | Halian N. Skah Cheveyo Humain
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Sam 9 Jan - 17:55 | |
| Legende d'un homme d'Howahkan
« On raconte ... »
On raconte, qu'un jour, naquit un être exceptionnel qui, du haut de son lit de nouveau-né, sourit à sa mère La Louve.
Bénit par la Mère Nature, le Peuple d'Howahkan vit le jour, grandit et survécut à travers le temps et l'espace. On ne sait d'où, on ne sait comment. Au sein de la Terre de Feu, sur les pointes de la Cordillère des Andes, à la limite du voisinage Aztèque, sur les bords du Canal Saint Laurent ou encore sur les hauteurs de l'Alaska, on ne sait où naquit la première génération, on ne sait où allèrent ces hommes et ces femmes, et on ne sait où ils sont. Parmi eux, un Homme. Enfant des Esprits, fils d'Howakhan et bâtard du peuple blanc. On ne sait comment son peuple à résister, comment il a conserver sa liberté, mais je connais l'histoire de ce vaillant Changeur. Et je vais vous la compter La légende raconte que ce jour fut le plus sombre de l'histoire récente du Peuple d'Howahkan. Il en fut ainsi. Le ciel fut parsemé de cette couleur de feu qu'est celle du crépuscule quand il prône sa magnificence. Le Peuple d’Howahkan laissait se coucher sur lui un jour comme un autre. Quelques récoltes, quelques découvertes spirituelles et surtout de la vie comme elle est si présente dans leurs contrées. Bientôt le massacre viendrait égorger cette bonne foi, mais pour l’heure, ils en sont à leurs activités. Là bas, un vieillard qui implore les esprits de lui envoyer un signe : « La pluie nous empêchera-t-elle de passer le Col ? ». Non loin, derrière lui, un homme-médecine masse à l’aide de quelques plantes l’épaule d’un chasseur qui s’est malencontreusement planter une lance. Prêt de son entre, la femme du blessé le réprimande, tandis que quelques enfants jouent ensemble avec un écureuil. Quelques sourires, et quelques yeux admiratifs envers l’Homme-Faucon qui revient de chasse. C’est l’un des rares Changeurs et il en retire un respect de la part de ses camarades. Et puis, non loin du bivouac, une belle jeune femme. Elle se tient droite, avec prestance. Sa main se promène sur l’échine d’un cheval. A l’Etat sauvage, ces bêtes sont craintives et ne quittent jamais leur troupeau. Néanmoins, ces gens sont de ceux qui force la sympathie des animaux. Dena Nuttha – La Vallée de mon Cœur – est la fille d’un des Grands Chasseurs de leur Peuple, et elle est encore sans partenaire. Plusieurs hommes la courtisent, et voudraient en fait leur compagne. Un jeune aimerait qu’il trouve se formes très attrayantes, mais il ne sait comment s’y prendre. Il est d’usage, chez les Hommes d’Howahkan, de complimeneré une Femme sur son physique, notamment ses courbes et sa beauté, pour lui transmettre son intéressement. Tout comme il est d’usage, pour une femme, de complimenter un homme sur sa carrure ou son visage. Mais Dena n’a pas l’intention de brosser ce dernier prétendant. Elle préfère profiter de la nature, et du paysage, et se dit qu’elle a encore le temps de choisir un compagnon. En attendant, elle se laisse allé au gré de ses envies .
La plus part des chasseurs ne sont pas encore tous revenus, mais le Peuple ne s’inquiète pas. Au jour expirant, la vie offre plus de protection qu’en plein jour, et en tant que pacifiste, ils n’ont aucun ennemie. Bientôt, on mangerait, on compterait quelques histoires, ou on parlerait. Ce qu’on ne sait pas encore, c’est que tout cela n’aura pas un sujet anodin. Non, cela sera le premier récit de ce qu’on racontera pendant des années durant encore. Quelques dizaines de minutes plus tard, les oiseaux arrêtèrent de chantonner leur dernier au revoir à la journée, et seul l’activité du camp et la douce musique du nid de la rivière se furent entendre. La population n’a rien vu venir. Ils sont arrivés de nulle part, fusil à la main, et montre de féraille en moyen de locomotion. Braillant dans leur langue maternelle des insultes et des saloperies, ils tentèrent de faire peur aux femmes et aux enfants en tirant quelques balles à la volée, dans le ciel. Et puis ils finirent par détruire tout ce qui était possible d’être détruit. Certains de ces hommes tirèrent même sur les quelques braves chasseurs qui étaient déjà là, prêts à défendre leurs confrères. L’homme-faucon voyant l’horreur se prosterner devant ses yeux, il est obligé d’en appeler à ce que les Esprits lui ont offert. Il enlève alors son haut de vêtement, après avoir éventrer un adversaire. Les mains encore rouge de son sang, il frappe l’agresseur d’une vieille dame, et cours en direction de son arc, encoche, et laisse s’élancer une flèche transperçant la main d’un hurleur. Des femmes hurlantes, des enfants criant, chialant aussi, des hommes qui tentent d’en découdre avec leur soudain ennemis. Quelques femme-guerrières s’élancent pour l’affrontement, tandis que quelques unes de leur collègues se font empoigner le chevelure et entendent la langue étrange claquer dans leur oreille et cracher quelques paroles inintelligibles. L’Homme-Faucon, lui, les comprends. Il est l’un de ces hommes qui commerce avec quelques un de ces blancs. Et croyez moi, ce ne sont pas des compliments comme les font les Homme d’Howahkan qui leur confèrent, mais des paroles bien plus perverses et sadiques. Mais seul contre tous, il ne peut rien faire. Forcé de constater la mort de ses camarades et d’entendre les cri d’agonie ou de peur, il en conclut qu’il vaut mieux chercher de l’aide plutôt que de risquer de se faire massacrer et de ne plus rien pouvoir pour son Peuple. « Égorgez moi ces Sauvages ! A bat les Peaux Rouges ! ». Sur ces Dernières paroles, il s’élance et laisse brandir ses ailes d’oiseaux. Dans un cri meurtrier, il chatouille le ciel d’un rouge plus sang que jamais. Les autres hommes ne devraient pas être très loin … Il l’espérait du moins.
Dans une des huttes du village qu’ils avaient installé quelques semaines auparavant, Dena pleure. Elle aurait aimé crier, mais elle n’y arrive point. Sa voix se perd dans un tréfonds de douleur et de dégoût. Au rythme du massacre dehors, l’homme blanc s’enfonce en elle comme dans un vulgaire morceau de viande, et savoure son sein avec la délicatesse d’une hyène qui s’abreuve le gosier du martyre accablé. Avec férocité, ses griffes salissent le corps entier de la jeune Howahkan, tandis tous ses muscles se contractent à la fois sous la force des coups de reins de son agresseur et son la l’incapacité à se débattre d’avantage. Elle a déjà tout donné, et est contrainte de se laisser abusé et violée de la même façon qu’elle est forcée de constater ses larmes qui ruissellent toujours et encore le long de sa joue rougie par la gifle qu’elle y a reçut. Alors que sous une pénombre presque envahissante les derniers survivants arrivent à s’enfuir, tandis que les guerriers font fuir leur adversaire, l’agresseur en vient enfin à déposer sa semence dans les profondeurs de son intimité. Dépourvue de force, salie et incapable de penser grand-chose, elle voit cet homme, non ce monstre, se lever et se rhabiller de son pantalon. Son sexe à présent moue et satisfait de sa besogne semble plus être une arme tranchante qu’un pénis humain. Mais elle ne peut en voir plus. Un point vient s’abattre sur sa lèvre déjà entaillé lui arrachant un dernier cri de douleur. « arrête de chialer salope ! Tu devrais être contente de t’être fait baiser par un homme, un vrai. Et pas par un de ces animales dehors » Elle baisse les yeux au risque de se voir attribuer un autre coup – son corps ruissèlent déjà bien trop de marque ostentatoire de violence. « du moins … ce qu’il en reste ». Alors qu’il rit de bon cœur et lui crache au visage, elle tente de couvrir sa nudité à présent souillée et tente de s’empêcher de pleurer – une Femme d’Howahkan est forte, et fière – mais n’y arrive pas. L’horreur et le dégout est bien trop fort. Elle n’est plus une Dame, mais une Suppliciée. Dehors, le spectacle est tout autre, mais la panique est identique.
Un grand nombre de corps Howahkan longeaient le par terre, tandis que les gorges tranchées des soudards gisaient à leur tour. Les chasseurs étaient arrivés, et flèches après flèches avaient réussit à éliminer les plus dangereux, tandis qu’ils ne leur restaient plus qu’à égorger les quelques imbéciles qui voulaient se risquer à rester plus longtemps sur ce champ de mort. Huttes par huttes les Hommes d’Howahkan débarrassait les malfrats et les violeurs de l’endroit où ils avaient élu domicile pour quelques temps. Près de celle à côté du Feu de Camp centrale, l’Homme-Faucon sert la gorge de ce porc qui vient de sortir de la Hutte à l’aide de sa Troga. Le fil en fer lui coupe la respiration, et lui déchiquette finalement la trachée. Le Peuple d’Howahkan est pacifiste mais reste un très bon Peuple Guerrier qui sait se défendre en cas d’attaque. Ce violeur en fit, ce soir là, les frais.
… On raconte qu’il fut né de façon précoce. Dena Nuttha aurait voulu se débarrasser de cette horreur qui avait finit par grandir en elle. C’était la marque des Esprits du Mal. La marque de ces salopards d’homme blanc qui avaient détruit son Peuple ce soir là. Ces salopards qui avait préférer s’attaquer à un Peuple qui ne faisait rien de mal sous prétexte que le Monde leur appartenait. Ces primitifs qui se disaient civilisés. Ces chiens, ces fanatiques qui avaient finit par avoir raison d’eux. Mais le Peuple d’Howahkan est fort, et sait se relever. Et en tant que Femme de ce Peuple, Dena finit par accepter l’être qui serait son enfant : il ne serait pas que le fruit d’un viol, mais le fruit de son être. Son enfant. La chair de sa chair. Un Howahkan. L’Homme-faucon devint son compagnon, et accepta cet être comme son propre fils. Aucune personne ne le traita en sous-homme. Ils ne feraient pas les mêmes erreurs que le peuple occidental. Traits Europoïdes ou non. Halian Skah était Howahkan, et fils de Dena. Et seuls les Esprits savaient encore qu’il ne serait pas seulement Cheveyo, mais aussi Nashoba … Ce ne serait pas qu’un enfant des Esprits Guerrier. Mais aussi un enfant-loup … Un Élu des ancêtres, et de la Mère Nature. Parce que le loup, chez les Hommes d’Howahkan représente beaucoup plus qu’un animal. Celui qui a aidé le Peuple à vaincre la mort et le colonisation il y a bien longtemps de ça. C’est celui qui, malgré la colère de l’Homme a réussit à survivre. C’est de lui que le Peuple d’Howahkan tire ses racines ... On raconte qu’il avait à peine quelques lunes quand, alors que sa mère avait finit de lui donner le sein, il se présenta sous l’image d’un louveteau. C’est sa mère qui le vit la première. Elle avait tourné la tête ne serait-ce que trente seconde, et quand elle reposait son regard noir de mystère sur sa progéniture, c’était une fourrure d’un brun-roux magnifique qu’elle voyait. Surprise, elle poussa un crie, s’arrêta quelques instant, et compris enfin qu’il s’agissait de son fils quand l’animal se mit à couiner en lui faisant les yeux doux. Les Changeurs n’étaient pas courants dans le Peuple d’Howahkan. Ca sautait généralement les générations. Un Changeur-Loup c’était encore plus rare. La joie fut au rendez-vous quand on su, à travers la population, que les Esprits leur avait envoyé un être si important. C’est ainsi qu’il hérita du nom de Nashoba. C’était cette signification du mot Loup que sa mère prononça en premier. C’est donc cette façon de le nommer qu’on choisit pour ajouter à son appellation entière. Halian Nashoba Skah Cheveyo n’était pas seulement un homme blanc parmi les amérindiens. Il était l’un de ceux qui peut communiquer avec la Mère Nature ainsi que les ancêtres. Avec les sages et les ancêtres, il ferait parti de ceux respecté au plus au point dans la tribu Howahkan. On lui apprit donc les valeurs d’un bon chasseur – parce qu’il venait d’une famille d’He Lush Ka (les combattants) – mais aussi celle d’un bon messager – parce qu’il était dès à présent Achaak (Esprit). Il apprendrait la langue des hispaniques pour pouvoir être leur porte parole. Son teint blanc leur assurerait une certaine discrétion, afin d’éviter de nouvelle attaque de fanatique comme ceux auxquels appartenait son paternel biologique. De toute évidence, Skah serait le sauveur de leur peuple.
… La légende raconte que le Peuple d’Howahkan se trouvait alors sur la Terre de Feu quand cela se passa. On raconte qu’ils furent amener à être en contacte avec le peuple issu de la colonisation espagnole qui avait découvert ces quelques amérindiens du Sud du continent américain. Quelque soit l’endroit, quelque soit le moment, ils en virent à recevoir un groupe d’homme étrangement blancs pour l’endroit. Tout aurait pu se passer très bien si les échanges entre les Chasseurs et ses étranges hommes dont on ne sait pourquoi ils avaient été amenés à commercer avec le Peuple, ne s’étaient pas empoter d’une animosité des plus débordantes. La perte fut des plus grandes alors. C’est l’un des « générales » de l’affaire qui remarqua cet enfant si différent de tout le reste du peuple. Il restait calme, et affichait une intelligence tellement supérieur à celle de ses camarades. A tous les coups un enfant volé dans une ville précédente. Des rumeurs circulaient alors sur un groupe d’amérindiens qui étaient sortis des réserves pour voyager et kidnapper les quelques personnes honnêtes qui résidait sur les terres alentours. Balivernes, bien évidemment. Mais il est d’utilité de raconter dans l’histoire de notre vaillant protagoniste ce qui n’est pas raconter dans certaines légendes, et encore moins dans la plus part des bouquins scolaire. Quelque soit l’époque, il a toujours été évident pour les peuples de s’accuser d’absurdité les uns, et les autres. Cela dit, ce n’est pas les faux qui avaient pu empêcher la chose de se passer. Prit la main dans le sac, les Amérindiens devaient payés leur crime. C’est alors qu’ils ne virent par d’autres solutions que d’emporter l’enfant avec eux. On ne saura sans doute jamais la vraie raison qui avait pousser ces Hommes à prendre leur « dus ». Certains disent qu’il s’agissait de justice, tandis que d’autre parle de la peine du général à ne pas avoir d’enfant, et qu’il lui était apparut logique qu’il lui revienne de droit de s’occuper de ce pauvre gamin prit entre les mains de ces sauvages. Qu’importe, l’important était que malgré la révolte des Howahkans, Skah se fit enlever par ce groupe d’Hommes, et n’en revint pas le lendemain. Ni le jour qui suit. Ni les années d’après. Il aura fallut attendre bien longtemps avant que le Jeune loup blanc refasse surface au sein de son peuple. La légende dit que plusieurs hommes avaient été envoyés afin de retrouver leur enfant-loup. Leur membre de la tribu. Le digne fils de la malheureuse Dena. Mais jamais ils ne trouvèrent ces hommes. La vérité fut qu’il s’agissait de malfrat. Des mafieux venu en Argentine afin de satisfaire leur petit commerce, et pouvoir vendre leurs services
On raconte que quand il arriva à destination, Skah ne parla pas. Ni en sa langue, ni en celle des hispanique, qu’il connaissait pourtant à peu près. Il daigna rester muet jour et nuit. Mangeant quand on lui donnait à manger, se lavant quand on lui indiquait la salle de bain, se couchant quand on lui montrait son lit. Les hommes et femmes qui défilaient devant lui, avide d’en savoir plus sur cet enfant sauvage ne valurent aucune réaction. Indifférence, et silence, tels étaient les maîtres mots de son comportement. Un jour, l’Homme qui l’avait prit pour fils, ou tout du moins apprenti, se pencha vers lui et lui demanda : « Comment t’appelles-tu mon garçon ? Il faut qu’on puisse t’appeler un prénom du sais ? Sinon, on ne pourra pas t’identifier et de donner quelques affaires à régler tu comprends ? » Muet comme une carpe, Skah n’avait rien répondu, le regardant simplement comme quelqu’un qui ne comprend pas. L’homme ne su quoi faire que lorsqu’il pensa de lui qu’il ferait un très bon défenseur de leur cause … C’est alors qu’il pensa au nom d’Alejandro. Défenseur en langue hispanique. C’était tout bonnement le nom qu’il lui fallait, parce qu’il comptait bien en faire une vraie arme ce gamin. Il avait la carrure, et il semblant observateur et vif … Il ferait une très bonne arme pour son affaire. « Alejandro … Disons que tu t’appelles Alenjandro » . Et le voilà, prisonnier d’un peuple qui n’est pas le sien, et baptisé malgré lui. Mais l’enfant ne dit rien. Seuls les Esprits surent ce qu’il avait en tête alors.
Quand on lui demanda de jouer avec les autres enfants de la compagnie, il se contenta de lui suivre un peu partout, bien qu’ils auraient préférés ne pas se coltiner le « bizarre » tout du long. Les enfants riaient entre eux, tandis que le sauvage ne disait rien. Il se contentait de les regardait, et tandis que certains interprétait ça comme de la timidité, d’autre pensaient qu’il était tout simplement fou. Muet, incapable de dire quoi que ce soit, Alejandro n’intéressait personne. Une fois, les gamins avaient construit une cabane en haut d’un arbre. Sur le tronc de celui-ci, ils avaient cloué une échelle, histoire de pouvoir grimper en haut de leur forteresse. C’est un après midi qu’ils s’y étaient rendus, nonchalamment, dans l’optique de parler et de s’amuser tous ensemble. C’est tout naturellement qu’ils ne se soucièrent pas du Sauvage. Ils savaient qu’il se contenterait de les regarder avec son air d’arriéré mental. Et c’est chose qu’il fit. « Vous trouvez pas qu’il est bizarre le nouveau ? Il parait que c’est un Amérindiens ! » « Ouais et il parait même que le soir, il baragouine des trucs en chinois ! c’est flippant » « Non ! C’est de l’indien d’amérique ! C’est un peu comme les Aztèques ce mec là. Je suis sûr qu’il va nous sacrifier un de ces jours » « Tu as tout à fait raison. Il ne parle jamais, sauf pour faire ses incantations bizarres. Je suis sûr que c’est pour mieux préparer son coup ! » Les rumeurs allaient bon train avec ces gamins là. Skah lui était resté en bas de l’arbre et gardait le regard fixé sur la cabane tout en haut. On ne saura jamais si cette capacité lui vient de son statut de Changeur – héritant des sens de son animale de prédilection – ou s’il s’agissait de son habitude à vivre en forêt en harmonie avec la nature, mais le fait est qu’il observa longtemps, dit-on, et qu’il eut la capacité de détecter une faille. Tout comme, on raconte, qu’il avait l’oreille si fine qu’il entendait tout ce que disaient ses camarades hypocrites et imbéciles. Les enfants avaient été affolés quand ils avaient rapporté les faits aux adultes de la grande famille. Dès qu’on avait réussit à les repêcher d’en haut de leur arbres, ils s’étaient empresser de dire que le Sauvage était monté à l’échelle et s’était présenter face à eux, le regard flippant comme à son habitude : « Qu’est-ce-que tu nous veux le sauvage ? Déguerpie de là et c’est moi qui va te faire descendre ». Alejandro les avaient fixés, disaient-ils, lentement, et calmement, une fois de plus, avant d’ouvrir la bouche pour la première fois leur semblaient-ils. D’après eux, ils avaient cet accent antique, tout sauf celui qu’il fallait, pourtant, il parla de façon intelligible : « Vous n’auriez pas du agir comme ça. La Mère Nature déteste qu’on s’en prenne à ses enfants comme vous l’avez fait. Maintenant, vous allez être punit … ». Les enfants avaient rit au nez d’Alejandro bien évidemment, avant de constater que l’échelle qu’ils avaient clouée venait de tomber. Alors qu’ils commençaient à se demander comment ils allaient redescendre, leur cabane s’était mise à grincer. C’est alors que Skah s’était hissé, branche après branche, pour finalement sauter à terre, comme si ça avait été naturel. Il avait fallut des heures aux adultes pour faire redescendre les enfants, et lui avait mit deux minutes pour descendre à la force de son corps … : « Il n’est pas normal ce mec là ! Je vous le dit moi ! ».
Le soir même, Skah allait se chercher un verre d’eau, quand il entendit deux hommes parler : « Oh t’inquiète pas, crois moi, la barrière de la langue n’empêchera pas ces chiennes de comprendre. Montre leur ta bite et tu verras quelles comprendront qu’il faut écarter les cuisses mon pote » L’enfant s’était arrêté devant eux et les regardait attentivement. Sans bruit. Depuis ses paroles de l’après midi, il n’avait pas parlé. Ce soir non plus. L’homme vulgaire s’était alors retourner et l’avait incendié du regard. « Bon dégage le Sauvage. On ne veut pas de toi dans nos bottes. On parle d’affaire sérieuse tu vois ? » L’imbécile avait cru que l’enfant n’eut rien comprit de la conversation. Pourtant il en fut tout autrement. Ne sachant quel âge il avait, les hommes blancs avaient cru bon de lui donner l’âge de 8 ou 9 ans. En réalité, Skah lui-même ne savait pas l’âge qu’il avait en culture occidentale. Mais cela ne l’empêchait pas de comprendre, et de réfléchir … Ces salopards de violeur paieraient un jour, il en était certains … ]La légende est très Claire là dessus : Skah devint un brillant tueur à gage. Quand il fut emmener de force plusieurs années auparavant, ce n’était certainement pas pour être libérer des « Sauvages » mais pour jouer les assassins au compte de quelques personnes. Le fait est qu’il appartenait à une organisation bien organisé de mafieux. On venait déposer des dossiers avec tel ou tel nom sur la liste, une photo, quelques infos, et une demande d’assassina. En fonction de l’affaire, on choisissait le bourreau. Alejandro était le plus expérimenté de tous. Pas le plus anciens, mais le plus efficace. Du coup, on lui refilait les affaires les plus compliqués. Celle où il ne fallait pas faire de bavure, ou encore celle où il fallait être discret. Celle où il fallait être proche du client surtout. Comme on dit, « plus on est fort, plus on abat la victime proche de nous », c'est-à-dire, plus on s’approchait du corps à corps, plus ils étaient difficile d’en tuer. Skah était le genre de tueur à gage qui n’utilisait pas les armes à la pointe de la technologie. Il utilisait bien souvent, quelques flingues, pas de très gros, des couteaux, surtout, mais aussi des flèches, et puis cette objet tout bonnement antédiluvien qu’il appelait Troga. Néanmoins, il était fascinant une fois en main. Il égorgeait ses victime en moins de deux et ce, sans que la victime ne le fasse remarquer en émettant un bruit désapprobateur. Bref, c’était la perle rare dans ce petit business. Comme à son habitude, il ne parlait pas beaucoup. Juste quand c’était nécessaire, et généralement, c’était des paroles brèves, et autoritaire. Un calme fulgurant et un regard toujours à l’affût du moindre détail tout comme l’était son ouï, Skah était le genre de mec à qui on ne cherchait pas des noises. On ne sait quel âge il avait à cette époque. Qu’importe, il était grand, fort, et terriblement redoutable. Un tueur à Gage de qualité, et qui ne rechignait pas quand on ne le payait qu’une misère. Bref l’employer parfait avec son accent antique qui donnait son aspect des plus sauvage à cet homme pourtant blanc.
Un jour, Skah abattue un homme à l’aide de son loup. Aucun des hommes ne sut que c’était lui. Dans les journaux, on parla de l’attaque d’un animal féroce. La réalité, c’était que notre jeune et vaillant combattant Howahkan maitrisait parfaitement sa faculté de Changeur et se prenait à aimer l’utiliser. Une façon pratique de communiquer avec la nature, et ses ancêtres, comme il se portait à le croire, et quand il s’agissait de tuer, c’était très efficace, et au moins, il ne laissait aucune trace de lui. Un soir, on raconte qu’il revint une énorme entaille au niveau des côtes. On le soigna et attendit qu’il aille mieux avant de lui affecter une nouvelle affaire. Il venait de faire l’expérience qu’il désirait. En tant que loup, il ne résistait pas aux attaques, et quand il redevenait Skah, il subissait les ravages que l’animal avait subit avant ça. Ceci dit, ça ne l’empêcha pas de commencer la vengeance envers l’Homme Blanc : cet être sauvage qui se prétendait civilisé …
… On raconte qu’un soir, un loup arriva dans l’entre de l’affaire dans laquelle il avait fleurit. Il mordit tour après tout plusieurs hommes, à mort. Quand il se matérialisa un homme à la place, les salops n’en revinrent pas. Alejandro était là, nu comme un vers, en face d’eux. Eberlué, ils n’eurent pas le temps de constater le couteau qui les éventrait. En tenu de naissance, il épargna femmes, enfants, et hommes innocents. Ceux qui, de façon inexplicable à ses yeux, n’avait ôté la vie à aucune personne. Il n’en fut pas de même pour les autres. Il les connaissait tous, et savait qui était un tueur et qui ne l’était pas. Qui entrainait les tueurs et que ne le faisait pas, et enfin … qui s’amusait à enlever des gamins pour en faire des assassins, et qui ne le faisait pas. Loin d’être pudique – parce que dans le Peuple d’Howahkan le rapport à la nudité n’est pas le même que dans vos cultures – il se rhabilla tout de même avant d’abattre son salopard de père adoptif, tout du moins, son salopard de ravisseur. Tous, autant qu’ils étaient, soudards après soudards, ils avaient tous périt. Il ne restait plus que l’orchestrateur de toute cette mascarade et il pourrait s’échapper, enfin. On raconte qu’il arriva, de marbre dans le bureau du dernier à exécuté. Il y avait un traite qui les descendait tous avait-il entendu dire. Bizarrement, en apprenant ça, il n’avait pas hésité un instant sur l’identité de cette personne. Et ses soupçons s’était confirmer quand il avait apprit qu’il était toujours vivant malgré la défense de ses victimes. Quelqu’un de vif, de discret, de limite invisible … quelqu’un fait pour tuer. Cela ne pouvait être qu’Alejandro. Et c’est bel et bien lui que la soudard vi apparaitre, un couteau accroché à son bras, et une troga à la main.
« Qu’est-ce-que tu t’apprêtes à faire là, gamin ? » Skah ne répondit rien, dit-on. Seul son regard fut l’expression de son aversion face à cet individu. Une parole prononcé en sa langue maternel, et il s’approcha de lui, lui entailla la joue puis lui cracha au visage. L’histoire dit que le Soudard ne montra jamais une réaction, sachant que de toute évidence, il était hors d’atteinte qu’il puisse s’en sortir face à un adversaire comme Alejandro. Ce mec là avec des oreilles, et une vue si affûtés qu’il pouvait même prévoir les choses à l’avance. Pourtant, il osa lui répondre : « Tu sais à peine parler mon pauvre ! Une fois que tu te casseras d’ici, personne ne voudra de toi, et tu crèveras comme un chien galeux ! Ce que tu es de toute façon ! J’aurais du te laisser crever aux mains de ces Peaux Rouges quand je t’y ai vu ! » . Skah le frappa de son coude, et de façon violente, au niveau du visage, puis saisit le visage de son adversaire de façon à l’immobiliser. Une de ses mains lui arrachait la tignasse – à la manière dont il l’avait fait avec sa mère qui avait tenté de l’empêcher de lui voler son fils, il y a quelque années de cela – et l’autre lui brandissant la troga sous la gorge, il lui prononça ces quelques paroles de façon très intelligible : « J’ai appris plus de langues que tu ne le penses et ce plus rapidement que tu as appris ta propre langue maternel ! Je te demanderais un minimum de respect pour ton assassin … au moins pour ça ». Puis il le relâcha. De façon inattendue, il lui tourna même le dos. Et puis sa voit, forte et imposante, celle que l’on entendait pourtant presque jamais, s’élança dans la salle de façon solennel : « Quand je suis arrivé ici étant gamin, j’avais déjà dans l’intention de quitter ton Peuple. Et puis je me suis demandé si je devais en vouloir à des individus qui avaient foi en leur croyance. Mon peuple méprise la plus part des Hommes blancs. Il est d’utilité que ce soit la même du côté adverse. Je me suis poussé à croire, que mon peuple jugeait peut être à tort certaines de vos Contrées. Et puis, j’ai vite comprit que j’étais tombé dans une tribu de salopards. Avant que je naisse au monde, ma mère s’est faite violé par un homme comme toi. Il a été tué. Quand j’étais petit, je t’ai entendu parler de femme comme de vulgaire morceau de viande. J’ai compris qu’à l’instar de mon paternel biologique, tu finirais égorgé par une troga. Mais je t’ai laissé vivant suffisamment longtemps pour que tu me montre combien le Peuple Blanc était horrible. Toute ma vie, j’ai entendue dire que moi et mon peuple étions sauvage, et que la civilisation, votre civilisation, était loin de nous atteindre … De nous bénir. Mais je crois plutôt que s’il y a quelqu’un de sauvage et de monstrueux, c’est bien vous. Vous et votre cupidité. Vous et votre saloperie de société hypocrite, perverse et sadique ». La joue entailler, le Soudard eut du mal à parler, néanmoins, il réussit à se faire comprendre : « Tu ne vaudras pas mieux que nous » « On ne peut pas être pire que pire. De plus, je suis un He Lush Ka Achaak … Les Esprits et la Mère Nature m’ont conférer le droit d’ôter la vie au salop comme toi ». Il reçut un éclat de rire en guise de réponse de sa future victime. Il s’approcha alors de lui, et placa la Troga sous sa gorge. Lui glissant à l’oreille « Tiens-tu à la vie ? » « Va au diable ! » « C’est ce que je pensais » Et il serra le file de faire, instrument quelque peu vieillot mais terriblement destructeur, et incroyablement calme. Et puis il sentit sa victime se débattre et hurler « Non, non, non ! Arrêtes, arrêtes ! J’ai pas envie d’crever mec. Dis-moi ce que je dois faire, et je le ferais ! » « C’est fou comme, c’est au bord de la mort qu’on s’accroche le plus à la vie … ».
Ses dernières paroles furent prononcé en sa langue maternel, celle d’Howahkan « Les Esprits du bien me pardonnent d’ôter la vie à un enfant de Mère Nature. Fasse que cette Âme soient en paix dans le Royaume des Morts ». Le Soudard ne comprit strictement rien à cette phrase, mais il fut persuadé qu’elle signait son arrêt de mort. Une fois de plus, comme à l’époque de la découverte du gamin, ou avant qu’il ne voit entrer Alejandro dans la salle, il eut une bonne intuition. Sa mort fut rapide. Sa gorge fut tranchée rapidement, et demeura dans un bain de sang. On raconte que cette prière était exécutée à chaque fois qu’il tuait un être de sa main. Plus proche était-on de la victime, plus fort demeurait-on. Mais plus proche était-on de la victime, plus longtemps son sang restait sur nos mains, et plus il fallait se faire pardonner de son crime. Tel était les croyances du Peuple d’Howahkan. Et malgré le temps qu’il avait passé dans les Contrées des Hommes blancs, jamais Skah n’avait cessé d’être un Homme d’Howahkan.
… Le soir même, il se mettait à nu dans les bois avoisinant. Son seul collier du Peuple d’Howahkan au cou, il se métamorphosait en ce grand loup Brun-Roux et courut à travers les arbres, et les désert afin de retrouver son Peuple qui, il le savait, n’avait cessé de l’attendre, années après années. On raconte qu’avant de partir, il embrassa sur le front une Femme d’origine étrangère qui , elle aussi, avait été enlever à sa famille et son village étant plus jeune. Surement compatissant envers elle, il lui aurait glisser à l’oreille son histoire après qu’elle lui ait demander d’où lui venait toute ses capacités. La légende dit qu’il lui aurait raconter que son Peuple descendait des Loups, et que dans le sang de chacun des Howakans coulait l’Elixir qui donnait à certains individus des générations, la capacité de communiquer avec les ancêtres, et de renouer avec leurs origines. En étant un Homme-Loup, il était le plus proche des origines du peuple, comparait aux Homme-oiseaux, ou Homme-coyote, ou encore Homme-ours qu’on avait pu voir au fil de l’histoire de son Peuple. On raconte aussi qu’il avoua à cette femme qu’elle était la seule personne de cette histoire à avoir été digne de mériter son respect – sans doute parce qu’elle vivait la même histoire que lui. Enfin, avant de partir, tel un vagabond, rejoindre son peuple, il lui dévoila son vrai nom : « Halian Nashoba Skah Cheveyo – Le jeune loup blanc, Esprit du Guerrier » Lorsqu’il retrouva la trace de Son Peuple, il fut accueillit avec joie. Dena n’eut pas de mal à retrouver la beauté de son fils. Il avait prit une bonne dizaine d’année. Néanmoins, il restait le même. Bel homme, mystérieux. Grand et fort. Le digne fils de sa mère. Il avait prit sa beauté. Son charisme. Halian Nashoba Skah Cheveyo était de retour. Les sages avait convoqué les Esprits … Et les Esprits leur avaient dit qu’il reviendrait. Ainsi, il devint le Combattant Esprit qu’il devait devenir. Chasseur or pair, et protecteur digne de son Peuple, c’était avant tout Nashoba, le loup. Blanc, il était le porte parole de son Peuple face à la Culture Occidentale. Une fois dans son Peuple, il fut l’Homme courtisé. Les Pères voulaient marier leur fille à ce brave homme, et les filles voulaient devenir la compagne de ce beau chasseur. Pourtant, il n’en prit aucune comme compagne. A l’instar de sa mère, il se dit qu’il aurait le temps de choisir. Après tout, le temps pouvait bien l’attendre.
Il resta des années avec son peuple, jusqu’à ce de nouvelles attaques de fanatique décime presque son Peuple, à nouveau. La folie humaine, accompagnée d’armes à feu donnait toujours naissance à d’horrible massacre. Il fut temps de protéger le Peuple de toute cette folie. Bientôt, on entendit parler d’être … Des Sang-Froid. Des Vampires. Ce genre de créature qui boit le sang de ses victimes. Skah n’en a jamais rencontré. Pourtant, ils sont de ces créatures qu’il rêve de côtoyé. Fasciner par la nature, et ce qu’elle pouvait mettre au monde, il se mit à éprouver une certaine curiosité face à ces Homme-Stryge. A cela s’ajoutant les dires de certains Sages. Selon eux, il fut un temps où les premiers Hommes d’Howahkan furent des Loup-Humains. De grands et féroce loup, enfant de la Lune, voyageant à travers les siècles. C’était eux qui avait permit au Peuple de voir naitre, de temps en temps, les Changeurs. Ceux-là seraient en mesure de protéger son Peuple. Ayant envie de rencontrer ces créatures de la nuit, ainsi que ses ancêtres les enfants de la Lune, il n’eut le choix que de profiter du besoin de se protéger des Esprits du Mal en allant chercher l’aide dont ils avaient besoin, et en profiter pour satisfaire sa soif de connaissance. Contrairement aux autres Howahkan, Skah voyageait beaucoup, quittant son Peuple pour voir ces Peuples Blancs dont il était, en partie, issu.
C’est ainsi, qu’un jour, il décida de convoquer un conseil des anciens, et demander la permission d’aller à la rencontre de ces êtres, et tenter, si cela est possible, de chercher le soutient des ces enfants de la Lune. Non malheureux de devoir laisser son Peuple à lui-même, il lui fut cependant accorder de faire sa quête. Son Peuple n’étant pas du genre à forcer les gens à faire quoi que ce soit contre leur gré. Skah promis néanmoins de revenir à chaque cycle, au moins, les revoir, partager ses découverte. Avant de partir, il dit adieu à son Peuple comme cela se devait, partagea une longue accolade avec son Père Adoptif qu’était l’Homme-Faucon, et lui fit promettre de se revoir vite. Enfin, il prit sa mère dans ses bras, laissant couler quelques larmes, et l’embrassa une dernière fois, avant de se métamorphoser en Loup, et partir, un sac accrocher à son coup, dans lequel, il trouverait quelques vêtements et de quoi vivre en attendant de trouver un travail. En partant, il pensa à ces Loup-Garou, qui comme lui, avait les racines primitives qui faisait partie de leur vie. Ces êtres, qui comme lui, avait en eux, une être magnifique, et somptueux. Ces êtres qu’il pourrait côtoyer, et avec qui il pourrait apprendre. Ces êtres qui avaient la pureté du sang contrairement à lui. Et puis, enfin, il pourrait voir les buveurs de sang. Il ne savait quoi penser d’eux. Entre horreur et fascination, tout ce qu’il espérait c’était connaitre cet enfant de la nature. Il connaissait énormément d’espèce végétal et animal. Mais celle là, il ne l’avait jamais rencontré. Cela serait un moyen de pouvoir enrichir ses connaissances de la nature. Et peut être pourrait-il ramener à son Peuple, la possibilité d’une défense certaine et quasi-imparable …
… On raconte que durant le voyage, il passa voir la femme qu’il avait quitté peu de temps avant de rejoindre son Peuple. Cette femme fut vieille parait-il à son retour. Elle était dans un de ces hôpitaux où l'on garde les gens qui divaguent ... Il ne pensa pas le moins du monde qu'elle fut folle. Néanmoins, il était heureux qu'elle soit loin de ces monstres qui l'avait enlever à sa famille et son village il y a bien longtemps de ça. Et au moins, ici, elle était nourrit et loger. Les gens s'occupait d'elle, et elle pourrait vivre en paix, en sachant que lui allait bien. Il lui aurait par la suite confié ses dernières aventure, et son désir de savoir d’où il venait, et surtout d’en savoir plus sur ce que Mère Nature avait mit au monde. Il exprima son envie de découvrir le monde que les esprits protégeaient. Il voulait aussi comprendre l’Homme Blanc. Parce que ce Peuple, qu’il n’a pas toujours gardé dans son cœur, le terrorisait et le révulsait de part sa violence. Il avait apprit dans les livres, et au travers de ses recherches que l’Homme Blanc avait fait la guerre, et les plus horribles monstruosités. Les peuples autochtones et aborigènes faisait la guerre … Pourtant, il n’en a jamais été choqué au point où il en était le jour où il a découvert les immondes carnages que l’Homme Blanc et de sa primitives civilisations avait tant fait par le passé. Révulser, terrorisé et terriblement habité d’une animosité envers ces êtres, il ne pouvait se résoudre à détester des personnes autant. Le Peuple d’Howahkan lui avait apprit à respecter autrui et ne pas juger une civilisation à un groupe particulier. Ne pas faire d’une généralité quelques cas. Ainsi, il refusait être habité d’une telle colère. Pourtant, incapable d’effacé les horreurs que l’Homme blanc avait fait, et lui avait fait faire, il ne pouvait se résoudre à pardonner entièrement. Dans cet optique, il avait confié espérer comprendre … tout simplement. Comprendre la Nature, aussi bien général, qu’humaine …
… « Bon, dis, tu arêtes de raconter des bêtises ?! Tu embêtes ces pauvres gens ! Tu vas les effrayer. Je te préviens, si tu continues, je te coupe la langue. Au moins on sera tranquille. Il y en a marre des histoires farfelues à force ! » La vieille Dame, le peu de cheveux qui lui restait sur le crane totalement en batail se retourner et fournit son meilleur sourire dépourvut de dents. L’infirmier dont on ne savait jamais s’il blaguait ou non s’occupa de sa patiente folle disait-on à force de divagation de sa part. Il lui fit prendre ses quelques médicaments, et l’allongea dans son lit. « Des peuples aborigènes qui parcours le continent ... où est-ce que tu as été cherché ça ? Hum ? Et puis des hommes qui se change en loup et qui son si redoutables ? Et puis quoi encore ?! On a assez du Coming-Out des vampires, j’aimerais pas voir des hommes-toutous faire le leur, hein ? ». Il sourit à sa patiente, et la laissa s’endormir en lui posant un baiser sur le front, comme elle les aimait. Elle disait qu’un jour, un ami lui en avait déposé un et qu’elle avait gardé sa marque tout le long de sa vie. Il regarda une dernière fois la bonne femme typé on ne sait quelle origine. Elle n’était pas d’ici, c’était certain. Et dire qu’elle avait été maltraitée par de malfrat. Une pauvre dame comme ça … Pas étonnant qu’elle se mette à divaguer … Halian Nashoba Skah Cheveyo … He Lush Ka Achaak, du Peuple d’Howahkan … Où est-ce qu’elle avait été chercher ça ? En tout cas, il devait admettre qu’elle avait de l’imagination. Un changeur … et puis tout d’abord, qu’est-ce qu’un changeur ? C’est vrai ça, elle n’a jamais dit ce qu’était un changeur réellement … Bordel, le voilà qu’il veut écouter la fin de son compte pour enfant … Halian Nashoba Skah Cheveyo … Qu’elle drôle de personnage tout de même …
Dernière édition par Halian N. Skah Cheveyo le Dim 17 Jan - 11:48, édité 31 fois | |
| | | Eden J. Hermangarde Vampire
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Sam 9 Jan - 22:58 | |
| Bienvenue parmi nous. Bon courage pour faire ta fiche. | |
| | | Halian N. Skah Cheveyo Humain
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Dim 10 Jan - 19:47 | |
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| | | Yekaterina Menchekov V-drinker
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Dim 10 Jan - 19:56 | |
| Bienvenue parmi nous! - Spoiler:
Johnyyyyyyyyyy
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| | | Halian N. Skah Cheveyo Humain
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Mar 12 Jan - 21:51 | |
| Merci beaucoup pour cet accueil Yekaterina =D - Spoiler:
Hey hey, Adepte de Jonnhy à ce que je vois ? =P
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| | | Yekaterina Menchekov V-drinker
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Mar 12 Jan - 21:56 | |
| Plus qu'une adepte, une vénératrice =D Je sais ça existe pas mais bon c'est le mot parfait pour définir mon point de vue sur Jo'! | |
| | | Halian N. Skah Cheveyo Humain
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Mar 12 Jan - 22:04 | |
| Ravie d'entendre ça ;) Ca va motivé les troupes que sont mes doigts pour écrire l'histoire du perso' avec une adepte ou tout du moins une vénératrice comme toi à la clef ^^
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| | | Yekaterina Menchekov V-drinker
Messages : 176 Date d'inscription : 29/12/2009 Age : 36 © Credits : Happiness. Emploi : Serveuse.
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Mar 12 Jan - 22:15 | |
| Fiche que j'ai hâte de lire! Bon courage =) | |
| | | Halian N. Skah Cheveyo Humain
Messages : 90 Date d'inscription : 08/01/2010 © Credits : © Lonely Angel Emploi : Garde Forestier - Tueur à Gage
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Mar 12 Jan - 22:16 | |
| Merci ^^ Faudrait que j'commence à écrire le RP d'ailleurs. Chose que je ferais surement ce week end, parce que ce soir, j'suis un peu KO
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| | | Ambre J. McAdams Humain
Messages : 19 Date d'inscription : 07/01/2010 Age : 32 © Credits : Opium Emploi : Musicienne
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Mer 13 Jan - 18:43 | |
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| | | Halian N. Skah Cheveyo Humain
Messages : 90 Date d'inscription : 08/01/2010 © Credits : © Lonely Angel Emploi : Garde Forestier - Tueur à Gage
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Sam 16 Jan - 20:26 | |
| Merci =D
Voilà, j'pense avoir fini ma fiche. J'suis pas super satisfaite de la conclusion du chapitre 4 mais bon, j'étais impatiente de commencer à RP alors ^^
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| | | Elisius T. Cicero Vampire
Messages : 110 Date d'inscription : 15/08/2009 Emploi : Professeur
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Dim 17 Jan - 13:56 | |
| Bordelou! Je suis sur e cul! Et j'en demande encore! Déja, j'annonce que je veux un lien avec mes deux persos. | |
| | | Halian N. Skah Cheveyo Humain
Messages : 90 Date d'inscription : 08/01/2010 © Credits : © Lonely Angel Emploi : Garde Forestier - Tueur à Gage
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Dim 17 Jan - 15:44 | |
| Et bien ça alors ! Si je m'attendais à produire cette réaction !
Et moi qui pensait avoir bâclé le tout et n'avoir pas été très claire =/ J'aurais bien fait plus long, je l'avoue, mais j'étais impatiente de pouvoir RP, et je me suis dis que mettre un peu de mystère et de laisser pas mal de trou ce serait mieux.
En tout cas, si tu veux un lien, Skah sera ravi =D
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| | | Eurydice O. Kirsikkanen Fondatrice.
Messages : 191 Date d'inscription : 23/06/2009 © Credits : cristalline. Emploi : encore lycéenne
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| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Lun 18 Jan - 18:58 | |
| Bienvenue (=
« C'est ici Eurydice, votre hôtesse de l'air et nous vous souhaitons un très agréable voyage à bord de notre compagnie. »
Pour commencer de la meilleure des façons ce voyage, je te souhaite -ainsi que toute l'administration- chaleureusement la bienvenue sur True Blood! Tu as terminé ta fiche et je vais donc maintenant pouvoir la modérer. Oh, mais ne t'inquiètes pas, je suis sûre que ce ne sera ni long, ni difficile. Je dirais juste : Mamamiiia! J'adore ce que tu as fait de Johnny Depp et de toutes ces histoires indiennes, wahouuu Il y a quelques fautes, mais au diable. Je te valide immédiatement!
| Ta fiche est maintenant validée! Yeah! Bravo, je te félicite! |
Tu peux maintenant entrer dans le jeu et accéder à toutes les fonctionnalités du forum, mais nous ne te lâchons pas si sèchement dans le roleplay. De nombreux outils sont à ta disposition pour ton intégration, et si tu as la moindre question (à poser dans la partie spectateurs), moi ainsi que toute l'administration se feront une joie d'y répondre. Je vais tout de suite après ce message te mettre ton groupe, ton rang, réserver ton avatar, ta profession et ton poste vacant s'il y a lieu, afin que tu puisses entrer très vite dans le forum. Je te conseille, afin de pouvoir jouer le plus vite possible, de te créer une fiche de relations, et de créer des liens avec les membres déjà présents, puis une feuille de roleplay, où l'on pourra te demander en roleplay, et où pour commencer ton aventure, tu peux toi aussi bien sûr proposer un sujet à quelqu'un. Tu peux aussi faire une demande de création de logement, proposer des emplois à l'ANPE. N'oublie pas d'aller visiter la partie informations complémentaires où nous avons précisé beaucoup d'éléments utiles au jeu. Si tu as des soucis, ou des doutes du coté de tes écrits, n'hésite pas à visiter le plumier. Et si un jour l'inspiration te manque, tu pourras toujours demander aux Muses de te concocter de nouvelles aventures. Nous avons mis en place un système de points : les Gouttes de Sang. Ces gouttes que ta participation à la vie du forum te fera vite gagner, te permettront d'acquérir des biens qui mettrons du piment dans le jeu. Bien sûr, tu as tout intérêt a t'impliquer en jeu et en hors jeu, que ce soit en faisant connaitre le forum ou en devenant Journaliste, Animateur ou Muse. Enfin, notre forum a besoin d'être peuplé pour pouvoir bien vivre, alors n'hésite pas à proposer à d'autres gens de venir, ou même à faire une demande de partenariat. oh et, juste avant de te laisser, ne te prive pas de la partie défis, ni du flood bien sûr!
Voila tu sais tout! Et je te souhaite un très bon jeu sur True Blood! | |
| | | Halian N. Skah Cheveyo Humain
Messages : 90 Date d'inscription : 08/01/2010 © Credits : © Lonely Angel Emploi : Garde Forestier - Tueur à Gage
You want some more ? Gouttes de: Elixir de la Lune Poche de ce sang: (0/0) Topics : ON
| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} Lun 18 Jan - 20:11 | |
| Merci beaucoup chère admin ;)
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| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} | |
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| | | | Halian Nashoba Skah Cheveyo - L'homme d'Howahkan {100%} | |
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