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 Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]

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MessageSujet: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 17:28



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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 17:28

l'Existence est fragile
« Le voyage est court, alors essayons de le faire en première classe. Que dites vous d'un petit cocktail? »



le roleplay.

Chapitre Un:

L'innocence prend toujours l'accent violent de la candeur.
~Régis Tremblay


6 Avril 1927


Depuis combien d’années passait-elle devant ce bar sans jamais oser y entrer? Elle s’était toujours dite que le jour où elle y entrerait, au milieu de tout ses gens heureux, parlant forts, riant à gorges déployés, ça serait sûrement l’un des moments les plus marquants de sa vie, de sa pauvre petite vie de fille à papa. Gosse de riche, vivant toujours à l’écart de la civilisation, sans pourtant porter l’assurance que pouvait lui procurer le titre et la fortune qui lui avait été octroyé à la naissance. Mais à peine avait-elle eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait, qu’elle se surprenait à être assise à une table à l’intérieur de la bâtisse et à s’entendre commander de l’alcool au propriétaire. Finissant par balbutier « Mais jamais je ne… Jamais je n‘ai… »

La coupable de cette décision soudaine siégeait à ses côtés, et jetait partout autour d’elle des regards excités. Elisa était sa sœur jumelle, de 10 minutes son aînée. Et Elisa avait décidé qu’elles aussi avaient le droit de sortir un peu. À contrario, Lisbeth s’était laissé faire sans vraiment comprendre ce qu’elle faisait là, presque terrorisée alors que personne ne les regardaient, c’était juste deux adolescentes comme les autres qui venait boire un verre. Depuis la fin de la guerre ça n’étonnait plus personne, les femmes et les filles d’ouvriers prenaient tellement de liberté qu’il était totalement superflu de songer à se demander ce qu’elles faisaient là, mais l’ennui était que les jumelles Connor étaient tout, sauf des filles d’ouvrier.
Deux clones parfaits, dans les mêmes vêtements, les mêmes cheveux bien dissimulés dans leur chapeau à bord plats comme le voulait l’époque, il était pourtant impossible pour quiconque de les confondre. Pour la bonne et simple raison, que les deux jumelles, pourtant liées par le sang et par un réel amour fraternel, ont depuis le berceau toujours été aux antipodes. Elisa était celle qui prenait toujours les devants, rayonnante, agréable, toujours souriante, alors que dans son ombre, la jeune Lisbeth avait peur de tout et était justement en train de se dire qu’il était une très mauvaise chose d’avoir échappé à la vigilance de papa pour se rendre ici. Si jamais quelqu’un de la maison l’apprenait, le châtiment paternel serrait terrible! Ou pas.

À peine avait-elle fait par de sa peur à sa sœur que cette dernière répondit, hilare à cause des effets de son verre d’alcool bien entamé, qu’il n’y avait aucune inquiétude à se faire. A cette heure-ci jamais personne ne les appelait, et puis elles ne faisaient aucun mal. Toutes les filles de leur âges sortaient, travaillaient, flirtaient, et allaient dans ce même bar, et jamais personne ne les disputait pour ça. Pourquoi donc se priver, pourquoi rester enfermées derrière leur mur? N’avaient-elles pas le droit de sortir elles aussi? D’autant plus que personne ne leur avait interdit de rien, persuadés qu’aucune des deux n’auraient l’idée de sortir de leur plein gré. Et Lisbeth devait avouer que sa sœur avait raison. Mettant en arrière son côté craintif, et faisant parler la jeunesse à la place, la plus jeune fini par obtempéré en goûtant à son tour à son cocktail.

Deux personnes absolument dissemblables malgré leur ressemblance ahurissante. Elisa était une belle jeune fille, pleine de vie, prête à retourner la terre pour obtenir ce qu’elle voulait. Sa sœur en revanche était calme, voir même soumise à l’autorité parentale au point de ne jamais oser rien faire sans avoir eu un accord consenti d’un de ses géniteurs. Et ça avait le don de mettre Elisa dans une colère noire, qui lui disait qu’il faudrait un jour ou l’autre se décider à grandir et à vivre par soi-même, au lieu de toujours dépendre de quelqu’un. Mais Lisbeth avait du mal à se détacher de cette vie tellement prévisible, tellement facile, et pourtant toujours tellement compliqué. C’était compliqué d’être adolescente, c’était compliqué de ne jamais rien faire par soi-même, parce que c’est compliqué de vivre voilà tout. Y’a toujours un problème quelque part, jamais totalement la paix, pourtant Elisa vivait ça très bien, alors que Lisbeth se noyait souvent dans des réflexions douteuses toute seule et sans aucune raison. Dans ces moments là, Elisa lui tirait légèrement sur le bras, lui disait d’arrêter de se morfondre toute seule, elle n’était pas toute seule, il y avait Elisa avec Lisbeth, Lisbeth avec Elisa, jamais au grand jamais l’une ne vivrait sans l’autre, c’était impossible.

Elisa se plaisait à l’action, travailler ne lui faisait pas peur, elle songé très fortement à profiter de l’avancé des femmes dans la société pour demander à son tour un travail dans une de ses usines, travailler pour soi, gagner soi même son argent lui plaisait. Elle était aussi une harpiste de grand talent, et une très fameuse danseuse. Lisbeth de son côté… elle lisait beaucoup. Et elle écrivait bien. Oui, elle avait un talent indéniable pour la calligraphie, elle était loin d’être stupide et plutôt cultivée, mais elle parlait tellement peu qu’on ne s’en rendait pas compte. Il n’y avait qu’Elisa pour voir sa sœur comme une personne extraordinaire, malgré son manque flagrant de confiance en soi, et d’ambition pour le futur, comme si la perspective de rester isolée dans le superbe château familial avait pour elle un attrait tout particulier. En vérité elle ne savait pas vraiment si c’était le cas, peut être qu’après tout, elle aimait ça. Être protégée, aimée, dorlotée, ne jamais avoir à ce soucier de rien, ça avait un côté alléchant, mais également terriblement effrayant.

***

# L’ambiance était presque palpable alors que les violons jouaient une mélodie terrifiante à vous faire sortir hors de votre peau. Le marin s’était saisit d’une hache, disant à son capitaine qu’il allait lui-même voir ce qui se tramait en bas, en précisant d’agir comme il se devait si il ne revenait pas dans dix minutes. Une fois dans la cale, au milieu des cercueils transportés, il frappa quelques coup sur l’un d’entre eux. Les violons s’affolaient crescendo alors que le plan ici montrait des rats qui s’échappaient de la caisse en bois. Le marin, ne doutant de rien, leva une nouvelle fois la hache, bien décidé à régler le compte de ces sales bêtes. Après tout, c’était eux les responsables de la peste qui avait frappé le bateau et décimé tout ses camarades! Il n’y avait aucune autre explication possible, quand on savait que cette cargaison de cercueils, pleins de terre rapportée pour la recherche scientifique, venait de Transylvanie, pour précisément de la région des Carpates, qui sait ce qu’il peut traîner là bas. Il frappa un coup, et comptait recommencer mais son visage se tourna légèrement vers la droite pour se tordre d’horreur.
Là, juste là, le couvercle d’un des cercueil se déplaça tout seul, et le Comte Nosferatu, dissimulé ici depuis le début, se dressa droit comme une pique hors de son tombeau de fortune, les yeux exorbités, tenant ses griffes acérées et près à fondre sur l’intrus…#


Toute la salle de cinéma qui jouait « Nosferatu: A Symphony of Horror » hurla de terreur une énième fois depuis le début de la séance. Et Lisbeth recacha sa tête dans ses mains dare-dare. Mais quelle idée d’aller voir un film d’horreur ce soir?! C’était la chose la plus terrifiante qu’elle ait vu! Et c’était également la première fois qu’elles allaient au cinéma. Mais Elisa en avait marre des bals et c’était une rediffusion d’un film de 1921, une chose à ne pas manquer, mais que Lisbeth aurait manqué avec plaisir. Même si les bals aussi la fatiguait. Durant ces festivités, elle ne faisait que traîner dans un coin avec sa jumelle, alors que des jeunes hommes les courtisaient, ou plutôt courtisaient l’aînée, ils ne se tournaient que vers la plus jeune quand l’autre avait finalement choisit son cavalier pour la soirée. Et tout ceci lui donnait la désagréable impression de n’être que du second choix. Oh, bien sûr, elle n’en voulait pas le moins du monde à sa sœur, et trouvait qu’il était totalement normal que ce soit elle qui soit séduite en premier, mais quand on est une adolescente, c’était toujours ce genre de petites gestes qui blessent un peu l’ego.

La séance se termina, et dans la rue Elisa, qui visiblement était une des rares personnes présentes à avoir aimé cette horreur, s’amusait à imiter le vampire fondant sur sa victime en posant ses dents sur le cou de sa sœur qui hurla de surprise, et lui jeta finalement un regard noir. Mais néanmoins, cette première expérience avec le cinéma lui avait plu d’une certaine manière, et pour se faire pardonner Elisa lui jura qu’elles y retournaient, pour voir une comédie cette fois. À la bonne heure. Mais l’une comme l’autre eu du mal à s’endormir sans une petite bougie, et en veillant toute les nuits à ce qu’il n’y est pas une silhouette bizarre, dans la maison inhabitée d’en face, qui les observait..



16 Juin 1929:


Nez à nez avec le géant de fer.

Depuis l’annonce de ce voyage, Elisa était surexcitée à l’idée de voyager en train. Lisbeth, elle, ne trouvait rien de bien intéressant à l’idée de se faire engloutir par ce tas de ferraille rouillé, qui plus est d’une laideur sans pareille, et fonctionnant avec un bête système à vapeur. Mais Lisbeth ne dit rien. Les deux jumelles comptaient se rendre chez leur cousin en Écosse, pour une durée d’un mois afin de prendre des vacances, une décision qui avait ravi les sœurs Connor, même si l‘avis sur le transport était très partagé. Posées sur le quai de la gare, les bagages d’or et déjà dans la soute, l’aînée ne songeait même pas à cacher sa joie de commencer enfin ce voyage, sautillant d’un pied sur l’autre, alors que la plus jeune restait statique et se mordait la lèvre inférieure. Elle ignorait pourquoi, mais rien que l’idée de montait à bord lui faisait une méchante boule dans l’estomac alors que des frissons naissaient dans sa colonne vertébrale pour venir mourir au creux de sa nuque.
Ça va aller. Ce n’est qu’un train. C’est le moyen de locomotion le plus sûr du monde.

Le plus sûr disait-on.

***


La douleur du choc avait engourdit ses membres, la terre humide semblait avoir aspiré toute ses forces et n’avait pas l’air de vouloir lui en rendre au peu, au moins pour ouvrir les yeux. Elle n’était pas morte, ça elle le savait, elle avait sauté au bon moment de cet instrument des enfers qu’était ce train. Elle avait heurté la terre, et s’était évanouie alors qu’elle entendait un bruit d’écrasement au loin. Ça lui revenait: le train était devenu fou, un problème avec la chaudière avait dit un des contrôleurs, la seule chance de s’en sortir avant que le train ne déraille et aille s’écraser quelque part: c’était de sauter. D’abord Lisbeth, hésitante, avait obtempéré et ensuite Elisa avait suivit.

Maintenant elle était à nouveau en possession de ses esprits, mais on aurait dit que la terre avait cessé de tourner. Aucun bruit ne vint à ses oreilles, aucune pensée, elle n’arrivait même pas à bouger un doigt. Quand elle put enfin ouvrir les yeux, sa vue était cachée par la masse opaque et épaisse de ses longs cheveux. Et puis finalement, une question s’afficha dans son esprit alors que les battements affolés de son cœur tonnaient à ses oreilles dans un vacarme assourdissant: où était Elisa? Comme si l’inquiétude donnait des ailes, Lisbeth usa de la force de ses pauvres poignets pour se redresser, cherchant désespérément sa moitié en appelant son nom d‘une voix rauque. Elle finit par la retrouver à quelques mètres d’ici, marchant sur ses deux pieds d’un pas douteux, presque comme un fantôme, les yeux sans vie, et le visage ensanglanté.

Lisbeth avait suffisamment étudié pour comprendre qu’elle avait une commotion cérébral en sautant du train. Mais à l’instant même, Lisbeth tendait une main incertaine vers sa jumelle, cette dernière ne la voyait même pas, et tourna les talons avant de s’avancer vers un bruit lointain, mais qui l’avait interpellé. Alors que Lisbeth était de plus en plus insistante, Elisa se retrouva rapidement là ou personne ne devrait mettre les pieds, fixant la source de ce dit bruit, l’autre resta pétrifiée comprenant ce qui allait se passer mais incapable de bouger. Droite comme un I sur les rails du chemin de fer, on aurait presque pu voir un sourire se dessinait quand elle écarta innocemment les bras à l’ange de la mort. Et dans la seconde, l’inévitable se produit, le train arriva, et percuta l’aînée des Connor, dans un amas de chair morte et déchiquetée qui éclaboussa la plus jeune.

L’image était insupportable, et allait la poursuivre toute sa vie, mais à l’instant même, elle ne put que plonger sa tête entre ses mains terreuses, et se mettre à hurler de douleur en tombant au sol, incapable de faire face à la réalité. Rien qu’a l’idée que sa sœur, si belle, si forte, si ambitieuse, mourir d’une telle façon. C’était sa faute: elle n’aurait jamais du hésiter alors qu’elle savait ce qui allait se passer elle n’aurait pas du avoir peur cette fois-ci, c’était à elle de mourir, pas à sa sœur jumelle, elle aurait du la pousser et prendre sa place! Et dans un élan d’amour morbide, Lisbeth se jeta vers la main tranchée, seul reste plus ou moins entier, aussi froide et sanglante que la mort elle-même, pour la serrer contre son sein, refusant de croire que ça se terminerait comme ça, alors que depuis le berceau elles s’étaient jurées de ne jamais se séparer. Elisa tuée par la peur perpétuelle de Lisbeth, c’était inconcevable, ça ne devait pas arriver, et pourtant les faits étaient là, mais cette fois, mademoiselle Connor ne flanchera pas, elle aussi voulait mourir, pour la rejoindre aux cieux. Et si ce n’était pas à cause de cet accident, ça serait par la longue mort douloureuse et cruelle qu’elle méritait: morte de chagrin.



Dernière édition par Lisbeth B. Connor le Mar 25 Aoû - 21:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 17:29

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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 17:29

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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 17:31

la Fin du Voyage
« Nous sommes bientôt arrivés. Quel dommage, j'aurais aimé encore longtemps vous parler. Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin... »



prénom ou pseudo. Lich Queen
pays et région. Ardèche. France. Mais je vais pas tardé à bouger à Paris pour mes études.
âge. 18 ans
célébrité sur l'avatar. Emmy Rossum
poste vacant. Oui
fréquence de passage. Bah, un bon 5/7 en ce moment.
commentaire personnel. Je voulais résister à l’envie de venir, mais finalement j’ai craqué et me voilà. Au passage, j’aimerais une bouteille O+ s’il vous plait!
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Billie M. Vancamp
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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 20:25

Bienvenue parmi nous miss!
Bon courage pour la suite! Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] 762325
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Eden J. Hermangarde
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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeVen 21 Aoû - 0:27

Bienvenue!!
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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeVen 21 Aoû - 9:43

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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeDim 13 Sep - 13:36

Bonjour, Je suis désolée de ne pas avoir pu avancer ma fiche, mais je suis sensée déménager à cause de mes études, et vu que j’ai appris que la rentrée (vu que je rentre en école supérieure d’art) était plus tôt que prévu (confusion de la part d'une standardiste...), mon départ s’est donc précipité, et j’ai dû courir un peu partout pour régler des tas d’affaires, et je n’ai eu ni le temps d’rp nul part ni le temps d’écrire la suite de ma fiche. Or, le souci c’est que j’ai reçu également ma liste de chose à faire sur place, enter aller à des réunions d’intégration, bureau des étudiants, fêtes de bienvenues, début des cours, il faut aussi que je m’installe et que je trouve tout ce qui est médecin, dentiste donc paperasse et tout le toutim, et en fin de compte j’ai un emploi du temps assez chargé. Sachant que là où j’irais, j’aurais effectivement une connexion internet, mais sûrement pas la Wi-Fi d‘après ce que j‘ai comprit, j’ignore donc comment je pourrais me connecter, et également quand je pourrais redevenir active, mais sûrement pas avant deux bonnes semaines voire plus.
Je pense donc, que pour éviter de pénaliser Edward qui doit attendre son PV, il serait préférable de supprimer maintenant mon compte. Mais je ne compte pas laisser tomber ce forum, sur lequel j’ai très, très envie de jouer, et je reviendrais sans aucun doute dés que je serrais bien installé et que tout sera plus calme. Avec un autre personnage, ou bien celui là si il reste vacant à mon retour.

Je m’excuse encore, et je vous dit à très bientôt!
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Eurydice O. Kirsikkanen
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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitimeDim 20 Sep - 14:44

Avec un pincement au cœur, je m'exécute ='(

J'espère que tu nous reviendras vite 714136
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MessageSujet: Re: Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC]   Lisbeth || La vie oscille tel un pendule de l'ennui à la souffrance. [UC] I_icon_minitime

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