Lisbeth Bérénice Connor

opium

prénom(s). Lisbeth Bérénice nom(s). Connor âge. 98 ans et en apparence 25 ans. Date & lieu de naissance.le 16 Mai 1911 à Shevreport race. Vampire (Sang synthétique) métier.

apparence physique.

Se décrire, agir en égoïste n’aimant que soit et être la plus objective possible.
Difficile tâche que voila…

Je suis de taille moyenne, environ 1 mètre 68 si je ne me trompe pas. Je peux me féliciter d’avoir une taille fine et des formes gracieuses. Je n’aimerais guère ressembler à un de ces mannequins qui ressemble à un squelette. J’ai des cheveux bruns qui ondulent harmonieusement et qui m’arrivent en dessous des épaules. J’ai la peau laiteuse commune aux vampires mais cela me donne des airs angéliques, d’ailleurs elle met en valeur mon regard vert émeraude. Mes lèvres charnues et rosées aiment se plisser en un petit sourire malicieux. Je m’habille à la mode d’Aujourd’hui. Je me plaie à porter de jolie tenue que cela soit des jupes, des robes,… mais aussi des habits plutôt banales comme un jean ou une veste en cuir. Je suis toujours habillé avec goût. Cela serait triste d’être immortelle et d’être habillée comme une souillon. Autant utiliser le charme donner par la vampirisation non ? Il y a peu de temps, sur un coup de tête, je me suis offert un tatouage tribal dans le bas de mon dos, un signe que ma fille appréciait beaucoup. Je n’ai pas toujours été amère et blasée. C’est mon passé qui m’a endurci. Et dire qu’autrefois je n’étais qu’un simple bouton de rose, doux et gentil.

caractère.

En apparence, on me prend pour une femme froide et hautaine. Je n’accorde pas facilement ma confiance et me méfie de toutes personnes que je croise. Je n’ai plus envie de souffrir donc je me protége des autres. On peut dire de moi que je suis calculatrice, sournoise et mesquine… mais ces gens là ne me connaissent pas. Je suis toujours la Lisbeth sensible, douce et sociable. Je n’ai pas véritablement changé. C’est la mort de ma fille qui me ronge. J’ai toujours voulu devenir mère et fonder une famille et en deux nuits, tout mes espoirs ont disparût. Peut-être est-ce dieu qui me puni de la mort de ma sœur jumelle… Je ne sais pas, cela fait tellement longtemps… J’ai besoin d’amour, j’ai besoin de compter sur quelque un, j’ai besoin de le retrouver… mais on ne retrouve pas les morts. Je suis maintenant vraiment seule mais assez hargneuse & déterminée pour me défendre. Quand vous aurez souffert autant que moi, vous me comprendrez.
Et oui les apparences sont trompeuses… mais ne vous fiez pas à tout ça. Maintenant tuer, quand il est question de mon propre bien être ou de celui de ceux que j’aime, ne me pose aucun problème.

particularités.
Elle ne tue par pour se nourrir.. Enfin le plus souvent. Il lui arrive de se nourrir d’humain mais cela reste encore rare (cela ne sera jamais des enfants ou des parents qui en ont par exemple... elle choisit bien souvent des criminels, des raclures humaines). C’est une personne qui s’est endurcie avec le temps. Comme les autres vampires, maintenant elle sait très bien se défendre et manier les armes. Quand on a tout perdu par preuve de faiblesse, on finit par utiliser la force.

histoire.

Je suis née dans une famille plutôt aisée. La famille Connor était l’une des famille les plus respectée de la petite ville de Shevreport. Mes parents s’appelaient Mary et Devon Connor. J’avais une sœur, une sœur jumelle plus précisément du nom de Annabelle. Nous étions inséparables, dès que l’une de nous était en difficulté, l’autre était là pour la soutenir. Nous faisions nos bêtises ensemble et aimions faire tourner en bourrique nos professeurs particuliers. Ma mère désirait que l’on reçoive la meilleure éducation possible. Pour elle, il n’y avait rien de mieux que d’avoir des cours à domicile. Annabelle se plaisait à rester à la maison, mais moi j’aurai préféré me fondre dans la masse des autres élèves. A cause de cela je n’ai pas eu de véritable ami ( e ) sans compter ma sœur, mais bon, à cette période cela me convenais.
Vous allez dire que je n’ai pas à me plaindre mais parfois je rêvais d’être née dans une famille un peu moins bourgeoise. Je désirais faire comme les autres enfants : courir à pied nue dans l’herbe, sauter dans une flaque d’eau ou encore chercher seule le bon pain chaud du boulanger… Tout cela m’étais interdit puisque je devais faire honneur à la famille Connor. Une fille Connor ne doit pas agir comme un garçon manqué mais comme une jeune fille respectable, pour attirer les bons partis évidemment. Sur l’étiquette et le mariage mes parents étaient un peu vieux jeu… oh pauvre petit fille riche. Heureusement que ma sœur était là… quand j’y repense, elle a toujours été là pour moi.. Dieu sait qu’elle me manque aujourd’hui. Je me souviendrais toujours du jour de sa disparition ;

Cette année là, j’avais à peine 23 ans. J’étais promise à un homme laid mais très riche, sa famille travaillait avec le Japon,... Mais je ne me souviens plus dans quel branche commerciale il travaillait (d‘ailleurs ce qu‘il faisait ne m‘intéressais pas du tout. Je ne l‘appréciais pas. C‘était un homme avare, vaniteux et fort dépendant de l‘alcool). Je sais que mes parents désiraient que mon bien être et me construire un avenir stable… mais moi je voulais tomber amoureuse et me marier avec un homme ayant les mêmes valeurs que moi.
Bref, ce fameux jour j’étais avec Annabelle chez nos grands parents à la campagne. Nous nous tenions toutes les deux devant un précipice qui me semblais pas fort dangereux à l‘époque. Il fallait juste prendre beaucoup d’élan pour passer de l’autre côté. Cette après midi fut très agréable jusqu’au moment où je ne sais plus pour quelle raison, elle me défia de sauter au dessus du précipice pour atteindre l’autre côté. J’avoue je n’étais pas très casse-cou, j’ai donc refusé de répondre à son défi.

Citation :

- Oh chochotte ! Ce n’est qu’un petit trou… rien ne peu t’arriver quand tu es avec moi.

Ébloui par le soleil, mon sourire ressemblait plutôt à une grimace.

- Je n’ai juste pas envie de sauter, je trouve ça stupide !

Annabelle éclatait de rire et tournoyait en continuant de me traiter de peureuse.

- Je t’aime Lisbeth mais parfois tu es tellement nunuche. On a qu’une vie après tout !! Et ce n’est pas avec ton mari que tu risques de faire des choses folles.

Me sentant agressée, (et oui parler de lui était un sujet tabou) je lui ai répliqué.

- Laisse le là où il est ! Et nous ne sommes pas encore mariés !! D’ailleurs je n’aime guère l’idée de devenir Madame Stevenson. Merci de me faire repenser que je vais épouser un imbécile !!

Annabelle m’écoutait en ayant un regard lointain. Elle aussi avait connu cela, il y avait à peine quelques mois. Mais elle avait eu plus de chance dans le sens où son mari est un bel homme et qu’il fait tout pour répondre à chacun de ses désirs. Inutile de préciser que ma sœur profitait de cet homme.

- Bon puisque tu ne relèves pas le défis, je vais le faire à ta place, Ma Lis.


Je n’ai pas eu le temps de la retenir. Je me souviens seulement de son rire qui s’est éteint dans un cri. Ses pieds s’étaient pris dans le bas de sa robe. Je me souviendrais toujours de la pauvre forme inerte en bas du précipice. Je me souviens d’avoir hurler comme jamais je n’avais hurlé de toute ma vie. Des milliers de couteaux me transpercés le cœur et l’estomac. J’avais l’impression d’avoir tombé dans le vide avec elle. Ma joie de vivre disparût. Mon Annabelle, ma soeur tant aimé... la seule personne dans ce monde qui me connaissait par coeur.

J'aurai dû prévoir qu'elle allait faire ce genre d'idiotie... J'aurai dû l'en empêcher.

Une partie de moi est morte depuis ce jour. J’eu quand même du bonheur dans mon malheur, puisque le mariage avec l’héritier Stevenson fut repoussé d’un an. Je sombrais dans une grave dépression. Je ne sortais plus de la chambre de Lisbeth et je ne mangeais plus. Parfois je retournais au lieu de sa mort et je sautais par-dessus le précipice. J’ai pu l’enjamber plus de 100 fois, mais je ne suis jamais tombée… alors que pour elle, il n’avait suffit que d’une fois, une seule petite fois !!
Je ne voulais plus voir personne. Il m’arrivait de sortir sur mon balcon la nuit et d'admirer la ville endormie. Pourquoi dieu me laissait vivre ? Je n’avais qu’une envie, rejoindre ma sœur, me laisser mourir.

Un soir, j'étais seule sur le balcon. Mon regard croisa celui d’un homme. Il se tenait debout devant le grand portail. Il fixait l’endroit où je me tenais. Je n’arrivais pas à décrire ses traits, non seulement il était loin mais il faisait nuit. Mais j’avais comme l’impression que le concernant, il réussissait à dessiner chaque forme de mon corps et chaque traits de mon visage. A ce moment là, je me suis dis que ce n’était qu’un simple curieux qui avait entendu parler de la morte en sursis. Et oui, le désavantage des petites villes est que tout ce sais. Mes parents avaient tout fait pour cacher mon état lamentable mais c’était sans compter sur les langues de vipères des servantes. C'est la première fois que je croisais le chemin de mon sire.

Après cette apparition, quelques semaines passèrent. On me força à sortir de mon asile de solitude pour assister à un bal costumé donné par les Stevenson. C’est lors de cette occasion que la date de mon mariage devait être annoncée.

Citation :

Je n’avais pas encore commencé à me coiffer que ma mère entra dans ma chambre.

- Bérénice ! N’êtes vous pas encore prête ?

Elle m’appelait comme ça en l’honneur de la célèbre Bérénice de Racine. D’ailleurs elle réussit à convaincre mon père de me le donner en deuxième prénom. Ce qui ne fut pas une tache facile, croyez moi.

- Non.

Répondis-je tout simplement. Je n’avais pas envie d’aller à ce bal, et de jouer les filles joyeuses. Encore une fois, il fallait que j’affiche mon éternel sourire dentifrice pour arrêter de faire parler les mauvaises langues concernant mon état et mon mariage.

- Je vous ai apporté cela. Vous allez être ravissant dans cette tenue !

J’allais être déguisée en femme du 19 éme siècle. Ma robe était d’un beau rouge et assez décolleté. A en croire la coupe de celle-ci, elle avait vraiment envie que tous les hommes de l’assemblée me regarde. Que tout le monde soient trop occupés à regarder la coupure aguicheuse de ma robe et non à décrypter ma détresse. La robe était accompagnée d’un loup noir entouré de dentelle.

- Tara viendra vous coiffer. Dépéchez vous !

C’est la dernière fois que j’eu une véritable discussion avec ma mère.

Comme d’habitude la fête chez les Stevenson était une réussite. Il y avait beaucoup de monde dont des familles très influentes de la Louisiane. Cachée derrière mon masque, je pouvais à ma guise observer chacun des invités. Tout les invités dansaient ou discutaient autour de coupes de champagne. J’étais entourée de mon père et de ma mère. Je n’avais aucun moyen de m’éclipser loin de ce brouhaha et surtout loin de ces hypocrites. Je savais très bien que l’on allait me répéter pendant toute la soirée que l’on était désolée de l’accident d’Annabelle et que l’on allait se renseigner sur mon état mentale. Il fallait encore une fois cacher les apparences et cacher ce que j’étais vraiment. Le problème c’est que j’étais fatiguée de tout ça et que j’inspirais qu’à une seule chose : m’endormir et ne plus jamais me réveiller. On me proposa une coupe que je refusa le plus poliment possible. Les médicaments que je prenais ne m’autorisaient pas à faire ce genre d’écart. De plus, je me sentais assez molle comme ça.
Je vis l’héritier Stevenson s’avancer vers moi de manière maladroite et me proposer une danse. Tout naturellement je refusa mais mon père agaçait par mon comportement me força à accepter la main que mon futur époux me tendait. Je commença donc à évoluer parmi les danseurs avec cet homme. J’avais difficulté à sentir ce corps indésirable tout près du miens et son parfum trop fruité. Il avait du forcer sur la dose. Comme un pantin je me laissait guider à contre grès… C’est en tournant que je recroisa le regard de l’inconnu du portail. Il me fixait en sirotant tranquillement un verre de whisky. Il était entouré par de très belles dames et par un ou deux employés des Stevenson. Je ne sais pas comment l’expliquer mais sentir ce regard posait ainsi sur moi me fit baisser les yeux. J’avais l’impression que c’était la seule personne qui se rendait compte que je n’étais pas dans mon assiette au milieu des joyeux danseurs. Contre toute attente, il demanda à mon abominable partenaire de danse s’il pouvait m’emprunter. D’ailleurs celui-ci ne pouvait qu’accepter au risque de paraître impoli avec ses invités. Sentir la main de cet homme dans la mienne et l’autre sur ma taille me procurait pas le même effet. C’était une sensation plaisante bien que mon nouveau partenaire semblait glacé. Habilement il me conduisit sur le balcon, à l’abri des regards. J’étais naïve mais aussi sous l’emprise de son charme. J’avais l’impression que c’était lui que j’attendais depuis ces derniers mois, qu’il viendrait me délivrer de tout ça.

Citation :

- Je m’appelle Edward et vous ?
- Lisbeth
- Que ressentez vous quand vous être parmis ces joyeux danseurs ?
- J’étouffe.

Peut-être que j’aurais dû mentir ou bien m’enfuir car à l’époque c’était assez mal vue pour une fille de bonne famille d’être seule avec un homme. Mais on ne refait pas son histoire avec des peut-être. La suite vous la connaissez… Edward fit de moi une créature immortelle. Je ressenti à peine la douleur de la morsure. Sentir la vie s’échapper de moi fut comme une délivrance… c’est après que tout devint compliqué. Car une vie d’humain est beaucoup moins complexe que celle d’un vampire. Ce n’est pas la vie qui est compliquée, c’est les humains qui la complique.

Mon créateur avait dû voir en moi une femme docile et ayant peu de caractère. C’est là où il se trompa. Je lui en ai voulu de m’avoir offert cette non-vie. Pour moi, j’étais devenue un monstre. Je désirais mourir pour toujours et non tuer pour exister. J’avais déjà fait assez de mal à Annabelle, je n’ai pas le droit de vie ou de mort sur les vivants. Je préférais donc ne pas me nourrir pour ne pas rajouter des meurtres sur ma conscience. Tuer pour moi est une torture. Je préférais m’attaquer aux animaux même si ceux-ci me nourrissaient à peine. Même cela était dur… pauvres petites créatures. Elles n'avaient rien demandé !

Une nuit, alors que je fuyais Edward, je fis la rencontre d’une enfant qui s’était égarée. Elle cherchait sa maman. Je me rapprocha tout naturellement de l’enfant, ne sachant pas que mon créateur m’épiait, et lui promis que j’allais l’aider à la retrouver. Cette promesse je ne pu jamais la tenir puisque rongée par la faim, mon instinct vampire l’emporta sur ma sensibilité et je mordit la petite. Je m’en rendit compte trop tard. Encore une fois Edward vint me sauver et transforma l’enfant. Curieusement cette petite fille me procura la douceur que j’avais besoin et surtout soigna la rancœur que j’avais pour mon créateur. Nous avons vécu quelques années heureux. Ma haine pour mon sire disparût peu à peu. Avec du recul je peux même dire que c’est à ce moment là que je tomba amoureuse de lui. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin… La petite Marguarette se retourna contre Edward. Elle ne pouvait pas supporter de garder un corps de fillette alors qu’elle raisonnait comme une jeune femme de 18 ans. Une nuit alors qu’Edward dormait encore, elle tenta de s’enfuir… je la suivie ayant peur pour elle. Après tout, c’est une enfant. Je me souviens encore d’avoir jeté un coup d’œil à mon époux endormi. J’avais hésité mais je ne voulais pas m’avouer les sentiments que j’avais pour lui. On s’est enfuie le plus loin qu’on a pu… pour essayer d’avoir une existence à peu près normale mais nous fûmes rattraper par un clan de vampire. Ils décidèrent d’exécuter l’enfant. Pour eux, elle était trop jeune pour être un vampire. C’est impuissante que j’assista à son exécution. Mon enfant s’est faite brûlé devant mes yeux… mais je n’ai rien pu faire.

Vous comprenez maintenant pourquoi je ne suis plus aussi douce et fragile qu’autrefois. Vous comprenez maintenant pourquoi le petit bouton de rose s’est construit des épines. Pour ne pas être piqué, il faut piquer en premier.

Maintenant je tiens une agence de stylisme spécialisée dans la haute couture pour vampire. C’est mon travail qui m’a conduit à la nouvelle orléans. Je n’ai pas refait ma vie avec un vampire ni un humain. Il m’arrive parfois de penser à Edward et de me dire que j’ai été bien idiote de ne pas rester à ses côtés. Je sais qu’il aurait changé pour moi et que notre amour aurait suffit à nous rendre heureux. Mais maintenant, c’est trop tard, d’après mes sources il est mort il y a environ 10 ans.
Mon but est de développer mon agence de stylisme. Il paraît que les vampires peuvent adopter des enfants mais je ne sais pas si je suis prête pour ça. Ai-je encore de l’amour à donner ?

prénom ou pseudo. Emiie
pays et région. France
âge. 20 ans
célébrité sur l'avatar.Mona Johannesson
poste vacant. Poste vacant d'un membre
fréquence de passage. 5 jours sur 7 mais la semaine prochaine ça sera un peu dur car j'ai mon oral de concours ( ?/7 )
commentaire personnel. Puis-je avoir une bouteille de true blood ?? B négatif de préférence

Bienvenue !

Bonne continuation pour ta fiche, préviens nous quand tu auras finis =D

Aucun soucis quant au "retard" sur ta fiche ;) Bonne continuation en tout cas =D

Bon avant de commencer le massacre l'opération, laisse moi te souhaiter en bonne et due forme la bienvenue sur True Blood de ma part ainsi que de celle de tous les autres membres du staff !

Bon, je vois que tu as finis de remplir toute la paperasse nécessaire. On va pouvoir procéder à l'auscultation, veux-tu ? Oh t'inquiète pas, rien de bien méchant hein ? Juste les trucs basiques - promis, je touche pas au scalpel ;)

Tout d'abord. C'est une histoire touchante tout ça. Le personnage est intéressant et bien mené. Et puis l'Histoire est claire et suffisamment précise pour que l'on comprenne tout.

Néanmoins. Il y a quelques faute, notamment sur la première personne au passé simple. La terminaison c'est "ai" et non "a" mais ce n'est pas le plus grave. Ce que je te demande, c'est de lire le règlement. Tu as oublier quelque chose dans ta fiche ;)

Donc voilà, je te laisse suivre le petit traitement que je te prescris. Suis bien à la lettre ce que je te conseille, et normalement, il ne devrait pas y avoir de problème quant à validation ;)

J'te laisse travailler. Saches que si tu as besoin de savoir quoi que ce soit, n'hésite pas, le Staff est là pour ça

Pour les fautes, ce n'est pas bien grave, il ne s'agissait que de un ou deux passé simple ^^ Ce n'est pas la mort =D

Alors, à la lumière de ce que tu as changé, j'ai constater que tu avais suivit mon petit traitement =D On va pouvoir passer à la suite de la visite médicale l'entretien, veux-tu ?

J'ai le regret de te dire que mon cabinet va être tout vide à cause de toi parce que tu es dès à présent validée! Yeah! Congratulation

Mais comme je suis plutôt un bon médecin malgré l'absence de diplôme, je vais juste te donner quelques petites informations, pour éviter que tu t'écorches une fois arrivé à destination.

Tout d'abord, si tu as une quelconque question, c'est dans la partie spectateurs que tu pourras - et devra - le faire. Le staff, ainsi que moi-même, se feront une joie d'y répondre.

Pour te donner un autre conseil, je te dirais de te créer une fiche de relations, histoire que ton personnage ne se sente pas seul dans ce terrible périple qui l'attends maintenant que tu es validée. Histoire de mettre un peu d'ordre dans tous les futurs RP que tu feras, tu devrais vite de créer aussi une feuille de roleplay, où l'on pourra aussi te demander un sujet, à moins que pour commencer cette aventure, tu décides de faire cette demande sur la fiche des autres. Ah oui, aussi, pour éviter que ton personnage dorme dehors - non pas que ce soit interdit - tu peux faire une demande de logement, mais aussi proposer, ou encore demander, des emplois à l'ANPE. N'oublie pas d'aller visiter la partie informations complémentaires où l'équipe de l'administration a réunit toutes les infos dont tu auras besoin tôt ou tard. Enfin, si tu as un soucis quelconque pour l'écriture de tes RP, n'hésite pas à visiter le plumier, ça pourra toujours t'aider ;) Et si un jour c'est au niveau de l'inspiration que tu sens une pathologie, tu pourras toujours demander aux Muses, elles ont tout un tas de remède qui t'aiderons à guérir.

Les admins ont concocter un petit système de point : les Gouttes de Sang. C'est ta participation à la vie du Forum qui te permettront d'acquérir des points qui te permettront d'être le détenteur de biens. Ils ont pour but de pimenter un peu le jeu, histoire de s'amuser un peu plus.

Ah oui, et ... pour ce qui est de la reproduction ... on a tous besoin de ton aide ! Oui, parce que pour que la vie continue sur True Blood, ils nous faut des volontaires, alors n'hésites pas à en parler autour de toi.

Oh et, surtout, ne te prive pas de la partie défis, ni du flood, le jeu devient nettement plus intéressant ainsi ;)