Sean Baldwin #Over

Invité

les Papiers d'Identité

« Vos papiers s'il vous plaît. Simple contrôle de routine avant de prendre la mer! »

Aeyris

prénom, nom.
Passionnés par cette stupide tradition qu'est celle de faire maintenir un prénom à travers les générations, les parents du jeune garçon ont décidé, à sa naissance, de lui attribuer le prénom qu'a porté le grand-père maternel. C'est ainsi qu'il s'appelle Sean. Quant à son nom, celui-ci descend tout naturellement de son paternel; Baldwin.
âge.
Ayant été mordu durant l'année de ses 27 ans, Sean est à jamais figé à cet âge, ou du moins, physiquement. Malgré son physique, le Lycan a dépassé le siècle d'âge, ce dernier ayant déjà 180 ans derrière lui.
date et lieu de naissance.
Sean est né le 17 juillet 1829 dans un village aujourd'hui disparu. Disparu? Non, pas réellement, plutôt aspiré par la plus grande ville du pays. Le nom de ce village était Greenwich Village.
race.
Loup-garou, Lycanthrope, ou tout simplement Lycan; l'espèce à laquelle appartient Sean porte bien des noms. Face à de tels indices, il est maintenant aisé de le comprendre; Sean est l'une de ces personnes ayant la faculté de se transformer en monstres poilus une fois la lune devenue pleine. Monstres qui, pour la plupart, ne peuvent se contrôler lors de leurs transformations, ce qui est le cas de Sean.
métier.
Descendant d'une des familles les plus riches du pays, Sean n'a jamais eu besoin de travailler pour pouvoir vivre, se contentant de l'argent gracieusement offert par ses parents, et de leur héritage une fois ces derniers morts. En réalité, cela ne fait que depuis une vingtaine d'années qu'il a commencé à travailler, se lassant toutefois au bout de quelques jours de cette occupation. Sportif, agent d'entretien, agent de sécurité; il en a fait des dizaines. Son dernier en date? Mécanicien.

la Fin du Voyage

« Nous sommes bientôt arrivés. Quel dommage, j'aurais aimé encore longtemps vous parler. Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin... »

prénom ou pseudo. Jonathan, ou Aeyris.
pays et région. France, Montpellier.
âge. 16 ans.
célébrité sur l'avatar. Jared Padalecki.
poste vacant. Nop, tout droit sorti de ma grande imagination.
fréquence de passage. De 1/7 à 7/7, tout dépend de mon emploi du temps.
commentaire personnel. Merci à Sarah Rainfield de m'avoir présenté ce forum; design sublime, contexte génial, je l'adore déjà! Ah, aussi; je veux devenir fort comme un lion, rusé comme un renard, et pouvoir voler comme un aigle! Il me faut du Tru:Blood, et du AB- si possible...

Invité

Aeyris

l'Existence est fragile

« Le voyage est court, alors essayons de le faire en première classe. Que dites vous d'un petit cocktail? »

17 Juillet 1944, Greenwhich Village.

Cher journal,

Aujourd'hui est un jour d'une grande importance pour moi, je suis devenu vieux d'un an supplémentaire. Mais en ce jour de fête, en attendant la visite de mes oncles et tantes, de mes amis, je vais me présenter en tes pages blanches. Mais, tout d'abord, pourquoi écrire mes pensées les plus secrètes, mes rires les plus heureux, et mes larmes les plus tristes ici? L'idée m'a été soufflée par l'une de mes amies qui, alors que je lui rendais visite, m'a parlé de cette occupation. Face à certains de nos secrets, les gens réagissent parfois de manière brutale, honteuse, divulguant et brisant notre confiance. Ce n'est, selon mon amie, aucunement ton cas, cher journal. J'ai longuement hésité, et puis, en ce jour, j'ai décidé de moi aussi livrer mes secrets les plus profonds à tes pages...

Autorise-moi tout d'abord à me présenter à toi. Je me prénomme Sean, prénom venant de mon grand-père du côté de ma tendre mère. Ma famille, vivant autrefois à New York, a décidé de rejoindre Greenwich Village, alors qu'une bien sombre maladie ne pouvait s'empêcher de retirer ses amis à la vie. J'ai vu le jour sept ans plus tard, alors que père a décidé de s'installer définitivement dans ce village. Comme je l'ai dis, cela fait aujourd'hui quinze années que je vis ici, quinze belles années où j'ai appris à me faire des amis, des amis qui se limitent toutefois à ceux dont la famille a le même niveau social que la mienne; père refusant que je côtoie les enfants de sauvages, comme il les appelle lui-même. Pourquoi une telle haine envers ceux qu'on appelle indigènes? Peut-être parce qu'ils sont différents que nous, et qu'ils nous inspirent la crainte. Cher journal, je me dois hélas de vous laisser seul; mère m'appelle pour les préparations à mon anniversaire. Je reviens vite, afin de vous raconter de quelle manière cela s'est déroulé.

Sean Baldwin.

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Oui; cela pose-t-il un problème?

Elle s'inquiète toujours autant pour moi. A-t-ille oublié que je ne suis plus un enfant?

Soupirant, le jeune homme finit cependant par accepter la présence de son garde du corps d'une journée lors de sa ballade en dehors des murs du Village. Telle était la décision de Mère, et personne, dans la famille, n'osait la contre-dire. Tendre femme pouvant se transformer, en quelques secondes seulement, en l'un des pires cauchemars de l'Amérique tout entière. Silencieusement, les deux hommes se dirigent vers le terrain où les chevaux doivent, à cette heure-ci, satisfaire les grondements de leur estomac. Tant mieux, il pourront plus facilement digérer. Tandis que l'homme à tout faire s'occupe des chevaux, Sean, lui, s'installe sur l'une des barrières, fixant le ciel où se mélangent les tons bleutés à la blancheur des quelques nuages qui passent par là. La chaleur est bien présente, noyant les pauvres habitants sous leur propre transpiration. Mais ce n'est pas une mauvaise chose pour le jeune homme, qui voit là une bonne occasion de perdre toutes ces mauvaises choses en lui. Après de longues minutes, Sean est enfin appelé pour quitter le Village, et ce, pour quasiment toute la journée... Les heures défilent, et l'avancée des deux hommes continue. Combien de temps marcheront-ils de cette façon? Aucun des deux ne le sait, et le retour ne se fera que lorsque Sean sera lassé de cette marche. Des terres quasiment désertes, où seule une petite dizaine de personnes ont été aperçues en plusieurs de marches; un lieu parfait pour réfléchir, pour tout replacer correctement dans son esprit.

Bien, on retourne vers le Village... Mère rentre demain matin, et je crains déjà le sermon si elle ne me voit pas à la maison à ce moment-là.

En effet, dans le ciel, le soleil commence à faire place à la nuit, et à une lune qui, semble-t-il, est pleine.Silencieusement, le second homme fait un signe de tête, avant de faire demi-tour, suivi de près par Sean. Ce n'est qu'après de nombreuses minutes qu'ils s'arrêtent, intrigués par un bruit, à quelques mètres de leur position. Un homme? A moins d'être un fou, un homme n'irait pas jusqu'à se cacher pour effrayer les passants. Un animal? Peut-être, mais quoi? Enfin, quoi qu'il en soit, les deux hommes sont armés, et n'hésiteront en aucun cas à faire feu en cas d'attaque. Alors que le silence retombe, les deux hommes continuent leur avancée en direction du Village jusqu'à ce que, environ une heure plus tard, les mêmes bruits se fassent entendre. Cette fois, cela paraît évident; ils sont suivis. Et, en quelques secondes seulement, ils furent surprit par la violente arrivée d'un animal sauvage, une sorte de loup en beaucoup plus gros, et beaucoup plus violent. Alors que la bataille fait rage, l'un des deux chevaux est tué, décédant de ses blessures suite à une morsure de l'animal. Quant à Sean, il est lui aussi violemment mordu au niveau du bassin.

Visiblement, le retour est plus rapide que l'aller. Alors que la nuit est tombé depuis environ deux heures, les deux hommes arrivent finalement au domicile de Sean, où le père de ce dernier les attend devant la porte d'entrée. La dernière image qu'aura Sean sera celle d'un médecin inspectant la blessure...

Bienvenue copain! 81299

Invité

# suite.

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Un jeune homme en sueur, un homme se penchant sur son corps, un autre appuyé sur la commode, le visage empli de crainte, et une femme qui vient de passer le seuil de la porte. L'on aurait pu croire qu'il s'agit d'une pièce de théâtre dramatique. Mais ce n'est pas le cas, hélas. Il y a deux heures, environ, qu'un jeune homme fût attaqué alors qu'il rentrait chez lui, accompagné de son fidèle valet. Ce même qui se trouve couché sur le canapé, le sang fuyant son corps par la déchirure sur sa peau, déchirure causée par la morsure d'un animal aux crocs jaunis, à la fourrure lisse et reflétant la sombre lueur d'une lune impitoyable. Rien, ils ne peuvent rien faire; le sang ne cesse de couler, approchant irrémédiablement le jeune Sean de cette lumière blanche qu'est la mort. A ce moment-là, pour le jeune homme, rien n'a d'importance, si ce n'est cette question que chaque être humain se pose; que trouvera-t-il donc derrière la ligne séparant les vivants des morts? Accèdera-t-il au Paradis, symbole d'une paix éternelle? Tant de questions, et, bientôt, tant de réponses... Mais la mort ne semble pas vouloir de cet homme si amoureux de la vie. Le médecin tente toujours de stopper le saignement, jusqu'à qu'un hurlement ne se fasse entendre, et jusqu'à ce que plus de sang encore ne vienne tâcher le cuir du canapé. Cependant, ni ce hurlement, ni ce sang supplémentaire, n'appartiennent au jeune homme. Ce cri, il vient du médecin, dont le bras est à présent en partie ouvert, du poignet jusqu'au centre, environ, de l'avant-bras. Des contractions, des hurlements; Sean semble changer à une vitesse folle. En quelques secondes seulement, sa pilosité lui recouvre entièrement les bras, puis le torse. La taille de sa dentition augmente, ainsi que celle de ses ongles, qui deviennent de véritables griffes se mettant aussitôt à arracher la chair du pauvre médecin qui n'a eu le temps de voir venir un tel danger. Rapidement, celui qui était, quelques minutes auparavant un simple garçon, calme et réservé, devient un animal dont la bestialité n'a d'égale que la force qu'il dégage. La scène suivante ne durera que quelques minutes, de courtes minutes où nul ne pourra échapper à la colère de la créature de la nuit. Mère, Père, le médecin; tous sont assassinés, froidement, sans pitié. Étonnamment, le monstre est resté dans la bergerie, ne quittant aucunement son domicile pour trouver d'autres proies. Non, il se contentait de faire ce que tout monstre fait; faire définitivement disparaître ses victimes de la surface de ce monde tout en écoutant les grondements sourds de cet estomac qui en réclame toujours plus. Et puis, la lune disparaît, laissant place, encore une fois, à la lumière bienveillante du soleil, et laissant apparaître aux yeux d'un Sean redevenu humain le carnage commit durant la nuit.

Devant tant de sang, et l'image de ses parents, à moitié broyés et déchirés, Sean ne peut tout d'abord rien faire. Qui a fait ça? Comment? Pourquoi est-il là, devant ces corps, toujours en vie? Est-ce lui qui a fait cela? Mais pourquoi? En état de choc, le jeune homme ne peut donner de réponse au shériff lorsque ce dernier l'interroge. Pire, il reste silencieux et se renferme sur lui-même. Pour cela, il a été jeté dans une cellule jusqu'à ce qu'il avoue son meurtre. Ce qu'il ne fera pas, ce dernier s'échappant après s'être une nouvelle fois transformé en Lycan...

26 Décembre 1861, Greenwich Village.

Cher journal,

Depuis cette première page, le jour de mes quinze ans, je n'ai cessé de parler de mes plus profonds secrets; de mes impressions sur ce quinzième anniversaire à ma description bien naïve de celle que je pensais, à tort, être l'amour de ma vie. Dans ces pages, il y a beaucoup de choses qui ne sont pas des plus utiles, mais qui, sur le moment, m'ont fortement marqué. Je t'ai ainsi parlé de cet incident que j'ai connu l'année de mes vingt-sept ans, lorsqu'un animal sauvage nous a attaqué, moi et le valet qui me suivait, et qui a tué mon galopeur. Il m'avait grièvement blessé au niveau du ventre, si bien que, selon le médecin, mes chances de survivre à cela étaient bien faibles. Et le miracle a eu lieu, comme disait bien souvent Mère. Je me suis remis de mes blessures, et, mieux encore, je me sentais mieux qu'avant; comme si, à travers sa morsure, l'animal m'avait donné une partie de sa force, de sa vitalité. A mon grand malheur, j'ai compris que cet animal avait effectivement fait cela, au sens propre. Je m'en souviens, c'était la première nuit de pleine lune depuis la morsure. Je me sentais mal, fiévreux, j'avais des vertiges, je transpirais, j'avais la chair de poule. Inquiets, mes parents ont appelé le médecin qui est venu en quelques minutes, et qui n'a pu dire ce que j'avais. Quant à moi, aujourd'hui, je le sais. Je me suis senti transformé, je devenais un loup, et, en quelques minutes cette nuit-là, j'avais tué père et mère, ainsi que le médecin.

Depuis, à chacune de ces terribles nuits, je deviens un monstre, un animal sauvage que rien ne peut arrêter. J'ai rendu des dizaines de femmes veuves, des dizaines d'enfants orphelins. J'étais à la fois conscient et inconscient; je sentais la peau sous mes crocs, mais, malgré cette infinie tristesse qui m'envahissait, le plaisir qu'éprouvait ma partie bestiale m'empêchait de faire quoi que ce soit pour ne pas tuer. Cher journal, ces lignes seront les dernières que j'écris, car je n'ai trouvé qu'une solution pour ne plus faire endurer ce cauchemar à d'innocentes personnes. De toute façon, depuis cette fameuse nuit, je ne me sens plus vivre, je me sens prisonnier de mon propre corps, et de cette violence qui s'acharne sur le premier venu. Je souffre, et pour ne plus souffrir, je dois revenir auprès de père, et de mère, je dois quitter ce monde qui n'est plus le mien. Adieu cher journal, adieu cher confident.

Sean Baldwin.

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2 Février 2009, Louisiane.

Cher journal,

Cela fait environ un siècle que je n'ai plus écris en tes pages jaunies par le temps. Je n'ai jamais compris pourquoi je t'ai gardé, toi, fidèle confident qui, pourtant, me rappelle cette vie que j'avais avant de devenir monstre. Je t'ai parlé de me retirer de la vie, de ce monde; j'ai échoué dans cette quête. Tant pis, j'ai apprit autant que je pouvais à vivre avec cette malédiction. Mais je ne t'écris pas pour te dire cela. J'ai quitté mon village natal, Greenwich, pour espérer oublier le malheur que j'ai causé là-bas. Aujourd'hui, je vis en Louisiane, je travaille comme n'importe quelle personne normale -je suis mécanicien automobile, un métier des plus passionnants! Et j'ai, chez moi, une cave équipée d'une porte renforcée pour ne plus avoir à tuer lors de mes terribles transformations. Personne ne se doute un seul instant que je suis en réalité un Lycan, mais l'apparition des Vampires au grand publique me donne beaucoup de sueurs froides. Au même titre que les Vampires, le Lycan est censé être une légende, quelque chose qui n'existe pas. J'ai peur qu'ils découvrent mon existence, et qu'ils veuillent me tuer pour tout le mal que j'ai fais. Cher journal, je tiens aussi à te parler de quelque chose de plus banal, de moins personnel; je trouve la mentalité des nouvelles générations terriblement affligeante. Où est passé le respect que l'on doit avoir envers père et mère? Lorsque j'étais un enfant, il ne me serait jamais venu à l'esprit de répondre à mère, ou d'agresser le doyen du village! Dois-je adopter cette mentalité pour mieux m'adapter aux autres? Je n'en sais rien... Merci de m'avoir écouter durant tant d'années. Au revoir, cher journal.

Sean Baldwin.

Invité

Désolé du double-post; je tenais à dire que j'ai terminé!
Merci Sarah

Bienvenue! (:

« Ici Gabriel, ou l'Ange pour les intimes, en service pour cette validation... C'est un réel plaisir de faire ta connaissance. »

Willkommen, Bienvenue, Welcome de la part de toute l'équipe administrative de True Blood!

Allé, monte... Je t'embarque! 661485

Ce vaisseau
est à destination de la planète Étude de fiche !

il faut que je te dise. Avec toutes les fiches en attente, j'ai prié le ciel pour ne pas m'ennuyer à lire. Eh bien honnêtement, il semble qu'il m'ait écouté! Tu as un style agréable, on se laisse facilement porter par l'histoire de ton personnage et on ne voit pas le temps passer. En clair j'espère que tes RPs seront aussi sympathiques, je les lirai volontiers.

à part ça. Il n'y a pas grand chose à dire de négatif. Comme je viens de te le dire, j'aime la manière dont tu écris, j'aurais même voulu encore un peu plus de lignes sur la façon dont il a réagi le soir de sa première transformation, apparemment il aimait énormément sa mère, et il n'a pas l'air extrêmement touché par sa disparition. Par ailleurs, je trouve les propos qu'il tient à la fin de son journal assez mal tournés. Quel est le rapport avec l'actuel respect dû aux parents et Sean?

quoi qu'il en soit. J'attends une petite réponse, et dans la mesure du possible une édition? Ensuite je pourrais te filer les clés de la fusée en direction de l'astre de la validation! ( :

Courage, tu es bientôt des nôtres.
À plus tard sur True Blood !

Invité

Bonjour,

Concernant la dernière partie; en général, dans les journaux intimes, les gens mettent tout et n'importe quoi, ce qui les marque, ce qu'ils pensent. J'ai pensé que rajouter cela ferait plus réaliste; il met ce qu'il pense de son entourage. J'avoue que ça casse un peu avec le reste du paragraphe, et, si cela gêne, je le supprime.

J'avoue ne pas avoir tellement insisté sur sa réaction par rapport à sa première transformation, et au meurtre de ses parents. Je vais donc rapidement rajouter ce point!

Enfin, je tiens à te remercier pour tes compliments! J'ai eu peur de faire quelque chose de "pas assez bien", étant donné que c'est la première fois que je me tente à ce style de présentation. Je vais essayer, donc, de rendre chacun de mes RP's aussi intéressants à lire que la présentation.

EDIT; j'ai rajouté la partie de sa première transformation. Est-ce bon, ou il y a d'autres modifications à y apporter?

Je connais ça, lors de ma première fiche tournée à la première personne j'étais également en sueur, et il est vrai que souvent elles sont ratées, mais en toute honnêteté la tienne est bonne. C'est juste que quand j'aime, il faut que j'embête. Merci d'avoir été la charmante victime du jour, je te le revaudrai, tu as ma parole. x)

après la petite édition. Allé, j'arrête de faire l'admin enquiquineur. ( :

aaaalors. L'heure est à la fête! 479959

Tu es validé, & avec mes compliments, mention TB! *ouh, Gabriel tais-toi U__U' *

oh, au fait! Avant de te quitter, je vais te donner quelques tuyaux. Des conseils, entre nous! D'abord, pour te faire des amis, tu devrais créer ta feuille relationnelle. Puis, pour jouer, répertorier ton roleplay. Si tu te poses des questions, tu peux visiter la partie info& more, ou t'adresser directement à moi. Je me ferais une joie de répondre à tes interrogations. ^^

pour finir. Un ultime détail avant que tu prennes ton envol. Pour vivre, le forum a besoin de monde. Aussi, si tu pouvais faire tourner le lien, créer des partenariats, nous tous t'en serions extrêmement redevables.

Vogue donc vers les horizons qui t'attendent, prends-y surtout du plaisir! 694327

Rendez-vous sur True Blood !

~~C'était Gabriel Nielsen, et oui, il avait la pêche!~~

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