HOLLY JANE — This could be anywhere in the world.

les Papiers d'Identité

« Vos papiers s'il vous plaît. Simple contrôle de routine avant de prendre la mer! »

HOLLY JANE — This could be anywhere in the world. Dym441

▬ feat. kahlia aubert.

prénom(s).
Holly Jane. Ses doux prénoms ont été choisis par sa défunte mère, Jane. Holly fait penser au houx, ce petit arbrisseau à feuilles dures et piquantes dont les fruits globuleux sont d'un rouge très vif, mais aussi au mot saint, qui lui va à merveille, puisque vous ne trouverez pas demoiselle plus sage qu'elle. Quant à Hagen, c'est un troisième prénom qu'elle tient de sa grand-mère paternelle, décédée peu de temps après sa naissance, signifiant protection.

nom(s).
Løkken. Rien à relever de particulièrement intéressant, pas même qu'il soit tout comme elle d'origine islandaise et qu'il signifie frisé -peut-être un de ses aïeux l'était remarquablement ? Quoi qu'il en soit ce n'est pas son cas-.

âge.
Holly a 22 ans depuis quelques mois déjà.

date et lieu de naissance.
Elle est née à l'aube du Lundi 2 Mars 1987.

race.
C'est une simple humaine. Elle n'a ni crocs, ni griffes, et espère bien ne jamais en acquérir.

métier.
Étudiante, employée d'un lavomatique, et futur membre des Fellowship of the Sun.

l'Existence est fragile

« Le voyage est court, alors essayons de le faire en première classe. Que dites vous d'un petit cocktail? »

le roleplay.

Chapitre premier. Your blood is mine.

Il est courant qu'on ait peur de tout un tas de choses, et, même si certains osent affirmer n'avoir peur de rien, le fait que chacun soit effrayé par quelque chose ou quelqu'un au moins une fois au cours de son existence n'est un secret pour personne... C'est simplement la force et la fréquence de la peur qui varient selon les cas. On ne passe pas sa vie sous une couverture, me direz-vous! Et pourtant, il arrive que certaines personnes aient constamment la frousse... Terrorisées par nombre de choses incompréhensible pour la plupart d'entre nous... Des personnes comme Holly Jane. Bien entendu, les poils de sa nuque ne se hérissent pas pour de petites bêtes ridicules, insignifiantes, telles que des araignées ou encore des guêpes, -quoique, parfois...-, mais pour d'autres éléments moins concrets, plus inquiétants, du moins à ses yeux, ou peut-être à ceux de quelqu'un d'autre, tout aussi fragile, tout aussi terrifié.

Sept heures. L'hôpital, à l'aube. Jamais il n'y eût de Madame Lokken; la demoiselle qui mis au monde la première pupille d'Haldür Lokken disparut tristement avant qu'on ne lui passe la bague au doigt. C'était une matinée des plus calmes, qui n'indiquait en rien les tragiques évènements en préparation. Bien que l'absence de chant d'oiseau rendait à la nature la pureté du silence, on eût dit que la journée à venir se faisait pour des enfants sur une plage. La fraîcheur de l'air était idéale et l'astre soleil brillait de tout son éclat dans un ciel bleu clair, offrant à la végétation environnante un éclat superbe. Jane Brown avait à peine seize ans lorsqu'on la fit pénétrer dans la salle de travail de la maternité de Reykjavìk, en Islande. La toute jeune anglaise semblait être une petite fille qui jouerait, à la femme enceinte, avec l'oreiller sur son ventre. On aurait aussi bien pu prendre le garçon qui les yeux exorbités lui tenait la main, pour le grand-frère du tas de plumes mal dissimulé, si on ne savait pas qu'il était le père. Haldür Lokken rêvait depuis toujours d'être une étoile filante des sons en tous genres et des vocalises, ce qui ne l'empêcha pas d'engrosser à seulement quinze ans l'unique personne qui, avec son frère Elke Hjordis, croyait en ses capacités de course de doigts sur guitare déjà à demi-cassée : Sa petite amie, émigrée anglaise depuis près de dix ans. L'hémorragie qui résultat des interminables mois de grossesse de Jane laissa aux tous jeunes parents un bien mince espoir quant à la viabilité de leur nouveau-né. Il ne tarda pas à être anéanti quand aucun son ne sortit de la bouche du nourrisson immobile. La sage femme peu qualifiée déclara le bébé mort-né en déposant son corps sur une petite table près d'une Jane dévastée que personne ne parvint à consoler. On raconte qu'en voulant noyer son chagrin, elle s'étouffa dans le ruisseau de larmes qui se déversèrent de ses petits yeux émeraude, et que sa vie la quitta pour rejoindre le minuscule être qu'était son enfant arc-en-ciel, passant du violet des morts au rose de la douce peau des bébés. Alarmant la sage-femme peu maline, il, ou plutôt elle, toussa pour parvenir enfin à respirer, mais resta muette, car de sa gorge jamais il ne sortirait de parole, comme si le deuil à faire de la mère se dût silencieux tout au long de sa vie.

Chapitre second. Keep your fears to yourself.

Quinze heures, le soleil à son zénith. Au nord, dans un pays riche en nuages cotonneux et en neige fumante, les montagnes taillées à la hache semblaient reluire d'un feu intérieur, comme si une dame allait et venait dans les plus profondes zones de la roche en s'éclairant d'une lampe verte et or. Le soleil ruisselant par la force de ses rayons sur les étendues blanchâtres encombrées de chalets et d'autres petites maisons en bois; perçant l'atmosphère bleu gris descendait sur les fjords islandais; resplendissait sur le lit caillouteux et large des rivières, ou l'eau diminuée coulait de toute sa force des falaises donnant sur l'océan. Deux silhouettes de petites filles en robe s'esquissaient, couraient sur les étendues maculées, pliant sous leurs minuscules pieds des brins d'herbe, partie intégrante d'une seule vaste et verte étoffe. Leurs pas ralentirent pour qu'elles aillent s'asseoir sous un des rares arbres de la région, dont l'ombre faisait comme une marre noire autour de ses épaisses racines.

« Dans l'eau, Lily! Sauter, nager! » Dit la plus jeune des deux, à peine âgée de 4 ans, dans un dialecte islandais à peu près correct pour une enfant de son âge. Holly ne répondit que par des gestes, mais répondit tout de même.. négativement, avec ses deux mains, fines, délicates, qui gesticulaient en s'imprégnant de la douceur naturelle que prennent les mères auprès de leurs chers petits. Sa demi-soeur Wednesday, qui pour elle l'était tout entière, avait également perdu sa mère, et depuis ce temps, Holly, quoiqu'inconsciemment, la remplaçait, s'occupant d'elle, prenait soin d'elle comme une véritable maman. A son sens, l'eau était trop froide, il était trop dangereux de se baigner seules. Nombre d'enfants avaient été retrouvés morts dans les eaux, l'aînée aimait trop sa cadette pour la laisser s'y perdre, mais pas seulement...

« Lily a peur, Lily a peur! Bouh! Lily a toujours peur de tout! » Poursuivit-elle en chantonnant, avec cet air à la fois moqueur et innocent qu'ont tous les enfants. Elle avait bel et bien raison, cependant sa soeur, un pied dans l'adolescence, n'osait avouer ses démons, plus nombreux que ceux de la majeure partie des fillettes de son village, Wednesday comprise.

Face à elles, les vagues se brisaient, et leur flot rapide se répandait jusqu'aux pointes de leurs chaussures. Elles se soulevaient l'une après l'autre puis retombaient, entraînant leur embrun dans la violence de leur recul. Un réseau de lumière diamantée tremblait sur leur échine teintée d'un bleu profond, qui ondulait comme la crinière des chevaux en course, avec leurs grands yeux rouges et effrayants. Les vagues déferlaient, reculaient, puis déferlaient de nouveau, avec un bruit pareil au piétinement d'une bête énorme et terrifiante, qui glaçait le sang d'Holly, plus peureuse que la peur même. Ses cheveux aussi noirs que l'ébène contrastaient avec le blanc de la neige semblable à de la crème fouettée, et celui de son âme aussi pure que de l'eau de source. Avec courage, elle tint le chapelet de sa défunte mère entre ses mains, alors que la puissance des vagues la faisait nettement frissonner. Nerveusement, Holly sortit un livre de contes de son panier d'osier, et l'ouvrit en le tendant à sa petite soeur afin qu'elle puisse admirer les images servant à illustrer les lignes qu'elle ne parvenait pas encore à déchiffrer, contrairement à elle qui, malgré son mutisme, faisait parti des meilleurs élèves de son île. Avec tendresse, elle posa les yeux sur son hyperactive mais adorable soeurette, l'air toute pétillante suite à la découverte des lapins blancs, des jardins verts et des robes bleues qui occupaient les pages de l'histoire qu'aucune d'elles ne pouvait lire à voix haute.

le roleplay. (suite)

Chapitre troisième. Time is running out.

Dix-neuf heures. Le soleil s'était abaissé vers l'horizon. Les îlots de nuages se faisaient plus denses, ils masquaient sa lumière; et soudain les rochers devenaient, tout comme le sable et tout comme les cheveux épars d'Holly, noir de jais; tandis que la feuille tremblante du chardon marin cessait d'être bleue pour devenir argentée; et que des ombres emportées par le vent couraient sur l'océan comme des pans d'étoffe grise. Les boules de nuages roulaient dans le ciel sans se déformer, sans perdre ne serait-ce qu'un soupçon de leur forme ronde. Ils prenaient au passage un village tout entier dans leur filet d'ombres, et, en s'éloignant, ils le relâchaient. Loin, très loin à l'horizon, parmi les myriades de grains de poussière bleue, on voyait flamber une vitre, ou se détacher la silhouette solitaire d'un arbre ou d'un rocher.

Les rideaux carmin et les stores azur palpitaient, battant contre le rebord d'une fenêtre, laissant pénétrer une lumière brunâtre et lasse par accès convulsifs, qui glissait inégalement à travers le rouge tourmenté. Le soleil noir, diffus et sans chaleur, semblait velouter les chaises et les tables, les incrustaient de losanges colorés, et allongeaient et gonflaient et illuminaient verres, fourchettes, couteaux, assiettes... Un reflet doré sur une chaise à bascule, un autre plus rosé sur un visage, puis deux, puis quatre, tous plus jeunes les uns des autres. Elle n'avait encore que vingt-et-un ans, et comme toujours, les questions sur son éducation partageaient deux frères.

« Veux-tu cesser de pleurer ! Tu devrais sauter de joie ! Au lieu de ça, tu chouines, comme d'habitude ! » Pour une fois, Haldür s'était exprimé calmement dans son état de semi-ébriété quotidien, ce qui n'empêcha pas sa fille d'être tétanisée.

« Tais-toi un peu, elle réagit comme elle le veut ! Elle prendra la décision qui lui conviendra le mieux. »

« Tu me tannes avec tes airs d'oncle compréhensif à la noix ! Avec les notes qu'elle a que fait-elle dans ce trou, hein ? » Puis, il s'adressa directement à sa première. « Tu sais, ta mère rêvait de se barrer d'ici pour l'Amérique, sauf qu'on a jamais eu les moyens pour y aller. Cette bourse, 'faut la saisir. »

Muette comme toujours, Holly ne répondit rien, ni par des mots, ni par des gestes; elle resta droite comme un piquet, sous le choc. Cette fois que l'eau glaçante était loin d'elle, sa peur se nourrissait d'autre chose. Depuis le funeste jour de sa naissance, elle était restée près de son père, près de son oncle -au physique inexplicablement inchangé-, et près de sa soeur -bien qu'arrivée huit ans plus tard, qu'elle n'avait jamais quittés. Partir reviendrait à les perdre, à se retrouver seule avec sa solitude, seule avec sa bouche close, seule avec elle-même. Bien qu'elle respectait le souvenir de sa mère et de ses rêves, elle se fichait des diplômes, de l'argent, des hot-dogs et des étoiles de l'Amérique. Elle avait sa poupée adorée, sa neige et ses propres étoiles pour être heureuse... Au diable la traversée océanique ! Passer au-dessus de l'effroi qui la hantait pour se retrouver loin de sa demeure et de ceux qu'elle aimait était pour elle mille fois plus affreux que de s'y retrouver noyée tout au fond et de se faire dévorer par les gigantesques monstres marins.

« Tu vas me manquer, Lily ! » Souffla Wednesday en se précipitant dans ses bras, les larmes aux yeux et la voix tremblante. « Je te promets de plus avoir de zéros pour te rejoindre dans ton unuvierslité. Je t'aime trop trop fort pour te laisser partir. » Telles furent les ultimes paroles qui parvinrent à lui arracher un sourire des lèvres.

Chapitre quatrième. Let the right one in.

Vingt-deux heures, dans la nuit noire où le soleil s'était éclipsé. Le campus de l'université de Nouvelle-Orléans avait connu des temps plus calmes, mais également des temps plus agités. Depuis qu'Holly déposa ses bagages en Amérique, elle s'ennuyait dans ce lieu plein de traditions étrangères, et de bibelots où s'accumulaient les riens inutiles et les objets d'art qu'elle ne parvenait ni à comprendre ni à apprécier. Le désert glacé qu'était l'Islande n'était rien comparé à l'immensité sur-polluée de population que représentait le continent américain, empli d'immeubles gris et de jardins artificiels. Dans sa vie, des gens de là sont entrés en foule, leurs visages n'étaient pas aussi nets que celui d'Haldür, de Hjordis, ou encore de Wednesday. C'étaient de confuses figures, sans dessin ou trait apparent, qui se sont transformées sous ses yeux comme si elles n'avaient pas eu d'ossature. Pleine à la fois de dédain et de honte, de scepticisme et d'enthousiasme, elle avait toujours eu du mal à accepter ce coup de poing de la vie, plus fort que ceux auxquels son père l'avait habituée. Cet étrange mélange de sensations troubles entièrement imprévues, qui sont tombées sur elle partout et tout le temps. Qu'il était humiliant et bouleversant de ne jamais savoir ce que serait la prochaine parole moqueuse à son égard, ou d'avoir à supporter ces pénibles silences, luisants et noirs comme les eaux de ses plages nordiques, où le moindre cailloux était visible à de grandes distances...

Pour ne pas couper court à la routine du soir, Holly se rendit à la petite chapelle agencée dans l'université afin d'y prier. Il n'était guère question d'un lieu bien grand -gare aux claustrophobes-, mais les odeurs de vieux bois et d'encens brûlé lui rappelaient sa maison, et les chuchotements délicats la laissaient imaginer l'agréable et rassurante présence de sa petite soeur pipelette, même en pleine nuit. En entrant, elle inspira profondément les effluves porteuses de bienveillance et de pureté avant de fermer les yeux lentement pour les rouvrir et faire à nouveau quelques pas. Elle repéra rapidement un banc installé au fond et alla s'y asseoir aussi discrètement que possible, dans l'espoir de ne pas perturber les prieurs environnants déjà présents. Mais, à bien y regarder, il n'y avait qu'une seule autre personne, agenouillée face à l'autel miniature, la tête levée vers un vitrail. Sa peau était aussi pâle que la sienne, ce qui l'interpella. Rares étaient les humains à être aussi blancs, et, d'après plusieurs émissions et reportages locaux, des êtres pour le moins remarquables rôderaient depuis une poignée d'années sur la terre de Mickey Mouse et du Captain America... Il s'agirait d'êtres à la réputation nettement moins sympathique, des vampires. L'unique évocation de leur nom retournait son esprit de fond en comble, lui créant une migraine quasi- insoutenable. Le premier souvenir qui lui vint en pensant aux créatures immortelles fût celui des fameuses "soirées horreur" qu'organisait son oncle Hjordis... Lorsque Dracula ou la Comtesse Sanglante se chargeaient de l'apeurer à la place des créatures des mers et des océans dont personne ne revenait. Puis le second souvenir... Celui de ces gens au petit écran de sa chambre d'étudiante, qui prêchaient la sainte parole, et dont elle retenait notamment et surtout les avertissements à propos des "fruits du mal".

Attisée par une curiosité qu'elle aurait à peine osé qualifier de malsaine, elle posa ses yeux furtivement sur l'inconnue aux dents longues. Cette dernière possédait un corps svelte, de longs cheveux roux, ainsi qu'un petit nez en trompette à peine visible de profil qui lui donnait de faux airs de sympathique lutine. Quand le vampire se retourna sur elle, les larmes rougeoyantes qui ruisselaient de ses yeux, semblables à deux torches enflammées de vert, la laissèrent bouche ouverte; et, quand elle étira ses lèvres presque aussi rouges que ses larmes afin que sur son visage de demi-morte s'esquisse un sourire, un hoquet, léger mais parfaitement audible, échappa à l'islandaise.

« Bonsoir. » Dit-elle sur un ton doux, avant de s'incliner légèrement, presque comme si elle engageait une révérence.

Sans ajouter le moindre mot, la créature quitta la chapelle tel son propre fantôme l'aurait fait, de façon à la fois sensuelle et effrayante... Laissant planer derrière son passage le mystère de sa présence et la raison de ses larmes en cette chapelle qu'Holly croyait pourtant interdite aux démons dont, au final, elle ne connaissait que les préjugés et les rumeurs. Ainsi, là sur le banc, suite à tant d'émotion, le coeur battant comme jamais, Holly perdit connaissance.

la Fin du Voyage

« Nous sommes bientôt arrivés. Quel dommage, j'aurais aimé encore longtemps vous parler. Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin... »

prénom ou pseudo.
On m'appelle Miss von Hammersmark. (Mais oui...)

pays ou région.
Ici et là. Quelque part, en France.

âge.
Assez vieille.

poste vacant, doublon.
Pas à ma connaissance.

fréquence de passage. ( 5/7 )

commentaire personnel.
Je ne bois pas de sang, hey !

HOLLY JANE — This could be anywhere in the world. 160235i

▬ lever de rideau.

Welcoome !

« Moi c'est Eve. T'inquiète, je n'ai ni crocs ni griffes, mais je saurais t'indiquer ce qui manque à ta validation. »

Tout d'abord, laisse moi de souhaiter – de ma part ainsi que de celle des autres admins – la bienvenue sur True Blood!

Maintenant que ta fiche est finie, je vais pouvoir la modérer.

Mais heu... En fait je n'ai strictement rien à dire. J'ai adoré lire ta fiche, et Holly m'a l'air d'être un personnage vraiment original.

Si tu as besoin d'aide pour quoi que ce soit, n'hésite pas à me poser des questions !

HOLLY JANE — This could be anywhere in the world. K2n03n

Tu es maintenant validé !
Yeah ! Tu peux commencer à jouer !

Avant de te jeter à corps perdu dans le rpg - comme tu ne manqueras pas de le faire, hein ? - je vais quand même te donner quelques conseils et indications. La première chose est de remplir complètement et correctement ton profil, y compris la feuille de personnage. C'est peu de choses, mais très utile pour ceux qui n'ont pas le temps d'aller lire ta fiche. Ensuite, je te dirais d'aller créer ta feuille de relations & ta feuille de rp. La première aidera ton perso à mieux s'intégrer parmi tous les autres habitant déjà la nouvelle orléans. Et puis les liens tordus présagent souvent de bons topics ! D'ailleurs, tes topics devront être recensés dans ta feuille de roleplays. ça aide tout le monde, toi comme les autres, ceux qui voudront t'en demander un notamment...
Après, il ne te reste plus qu'à jouer ! Pour pimenter le jeu, n'hésite pas à donner ou relever des défis. Cela peut être vraiment très amusant, crois moi ! Et en parlant d'amusements, la partie discussions t'est grande ouverte. Ne te prive surtout pas de flooder !

Je pense t'avoir tout dit...
Envoie moi un MP si besoin ;)
Et surtout éclate toi sur True Blood !

Merci beaucoup ! 479959

Ohhhhh ! Des souvenirs apparaissent subitement avec ce personnage...Bienvenue.

» Un livre, c'est un trésor qu'il faut extirper d'un coffre barré. ( Holly)
» Ambre Jane McAdams | Terminé.
» Sookie's World