Terence Gabriel Whistler || « Ovem lupo commisit. »

© Au

prénom(s). Terence, Gabriel. nom(s). Whistler. âge. 665 ans, mais n'en paraît que 39. date et lieu de naissance. Né le 2 janvier 1344, dans ce qui était autrefois un petit village de pêcheur, et qui est aujourd'hui Santiago de Cuba. race. Lycanthrope. métier. En ce moment, il exerce comme professeur de philosophie.

le roleplay.

« Pour finir, je vous dirais : "Ovem lupo commisit". Cela signifie "Tu as confié la brebis au loup". Je suppose que personne ne sait qui a dit cette phrase… » Silence. « C'est Térence, un auteur comique romain, qui l'employa, mais peu importe, ce qu'il est important de retenir, c'est qu'il faut prendre garde à qui nous nous confions, ou confions les autres... » ; « C'est des élections dont vous nous parlez, professeur ? De Mr Rainfield, par exemple ? » ; « C’est exact, bravo d’avoir compris que la métaphore... » Répondit l'homme dans un léger rire rauque. « Mais je crois que pour reprendre ton exemple, le peuple, entre les mains de Nathan Rainfield, ne serait pas moins en sécurité qu’entre les mains d’un autre. » Son regard avait brillé d’un brin d’espièglerie à la fin de cette phrase mais personne n’aura pu en saisir la vraie raison. Pour beaucoup, un homme de l’espèce de Nathan Rainfield représentait le danger, et on ne pouvait pas vraiment leur donner tort, mais pour lui, Nathan avait prouvé qu’on pouvait avoir confiance en lui, et malgré la répulsion qu’il éprouvait à l’égard de la race à laquelle il appartenait, le professeur savait reconnaître sa grandeur et son ambition. Mais parler de ses convictions profondes ouvraient sur un trop grand débat pour qu’on puisse réellement en parler en quelques lignes… Après un silence où ses élèves attendaient plus d’explication de sa part, Terence Whistler s’avança de quelques pas et sa voix retentit de nouveau, avec ce même éclat pétillant au fond de ses pupilles mordorées : « Cependant, je vous recommande à la prudence, car les loups n'ont pas forcément le visage qu'on croît. » C'est avec une expression pleine de mystère et en se penchant en avant, plaquant ses deux mains avec conviction sur le pupitre d’un élève du premier rang tout en laissant son regard devenir plus perçant, qu'il avait terminé sa phrase. Il y eut un silence dans la salle et son regard d’un doré sobre glissa parmi les rangs de son auditoire, que ses quelques dernières phrases semblaient avoir secoués, remuant du même temps de vieux souvenirs en lui. Une légère note de l'intensité qui avait accompagnée ses derniers mots imprégnait encore l'atmosphère, comme si elle était restée en suspension dans l'air. Il sourit brièvement, nullement surpris de son effet, et se recula en croisant les bras sur sa poitrine. Les gamins, ce que ça pouvait être impressionnable ! De plus, ils étaient friands de ce genre de sujets qui concernaient l’actualité, même si Terence n’avait pas réellement besoin de ça pour intéresser son auditoire : il y parvenait naturellement. Plissant légèrement les yeux face aux regards qu'il croisait, il se demanda brièvement si ce n'était pas aussi de la vraie peur qui se lisait au fond de certains mais n'eut pas le temps d'approfondir sa recherche car déjà, la sonnerie venait effacer ses paroles, balayant tout ce qui avait quelques secondes plus tôt peuplé la scène. Soudain, tout ne fut plus que brouhaha, et une reprise de conscience s'était opérée dans l’esprit de ses élèves qui, déjà, pensaient à ce qu’ils allaient faire une fois dehors. « A la semaine prochaine. » Laissa-t-il échapper alors que ses élèves se précipitaient déjà dehors en lui lançant quelques au revoir qui ne se répercuteraient pas longtemps entre les murs. Sans plus attendre, Terence s’empara à son tour de son sac à dos dans lequel il rangea ses quelques affaires et c’est en chemise légère qu’il sortit de l’établissement, coiffant comme toujours sur son nez ses lunettes noires. Ca allait bientôt faire trois ans qu’il enseignait ici, dans la ville de « Big Easy », soit la Nouvelle Orléans. Il aimait cette ville, à la fois ancienne et moderne, et s’y sentait bien, malgré les troubles qui y régnaient... Et ce n’était pas ça qui allait faire fuir un homme comme lui.

‘‘ La première fois que je l’ai vu, je l’ai pris pour un marginal. Ses cheveux mi-longs, sa peau halée, ses lunettes de soleil à la californienne et son air de vagabond... Quand il est entré dans mon bureau je me suis dit : « Mon Dieu, sur quoi suis-je bien tombée ? » Mais, contre toute attente, dès qu’il a ouvert la bouche, j’ai été charmée. Une voix mesurée, des paroles sûres et justes… Avec le temps, je me suis surprise à admirer la sagesse incontestée qui émane de lui, ainsi que cette aura de douce intelligence et de calme omniprésent qui l’accompagne. Et finalement, j’apprécie beaucoup Terence et ne regrette pas du tout de l’avoir engagé. Je crois même que tout le monde ici a succombé à son charme si singulier et espère que malgré les temps difficiles que nous traversons, il restera le plus longtemps possible ! ’’

Carolan J. Mayer, doyenne de l’Université.

C’était le dernier endroit en date où il avait élu domicile. Etrange, vous trouvez, que son arrivée coïncide avec la révélation au monde des suceurs de sang ? Mmmh, peut être bien. Mais en premier lieu, s’il l’avait choisie, c’est car ce climat lui rappelait un peu celui de sa ville natale, Santiago de Cuba, bien que les souvenirs de son enfance soit pour lui plus que vagues. Peu crédible ? … Bon, d’accord, soit, ce n’était pas une coïncidence.
S’il avait longtemps vagabondé de pays en pays, en passant par l’Europe, Angleterre, France, Grèce, puis par l’Asie, notamment au Japon, il avait fini par revenir en Amérique, restant quelques temps au Canada, puis faisant un petit passage aux Etat-Unis, pour ensuite repartir vers le Mexique, le Brésil, le Pérou, retrouver Cuba, et finalement il était revenu sur ses pas pour retrouver les States quand il avait appris la nouvelle. Biensûr que la révélation aux médias de l’existence des vampires par son vieil ami Nathan avait un peu pesé dans la balance… Mais qu’importe, ce dont il profitait le plus était pour l’instant les étés humides et chauds de cette chère Nouvelle Orléans. Même si, pour y venir, il avait du faire un sacrifice : Cassandre.

‘‘ J’étais entrain de déjeuner avec mon père, comme tous les dimanches, quand il a laissé tomber sa cuillère dans son bol de céréales. C’est pas le genre à être maladroit alors je m’étais moquée de lui. Seulement, quand j’ai vu ses yeux fixés, immobiles, dans le vague, alors que tous ses sens semblaient en éveil, à mon tour je me suis mise sur mes gardes. C’est là que je me suis rendue compte que la radio qui nous avions laissée en fond qui crachotait les derniers tubes du moment passait un bulletin spécial. Quand les yeux de mon père sont revenus sur moi, j’ai tout de suite su ce qu’il allait dire. Alors j’ai juste dit « Non. ». Il n’a pas insisté, n’a pas tenté de me convaincre. Il sait que je l’aime. Et ce que j’aime par-dessus tout, c’est qu’il me respecte, envers et contre tout. ’’

Cassandre A. Whistler, fille de Terence.

Elle était restée à Cuba. Terence comprenait, sa vie était là bas, en ce moment, et s’il était facile pour lui de quitter son boulot dans les plantations, Cassandre, elle, avait sa vie, là bas, sa passion de la photographie n’avait jamais autant été prolifique que dans ce pays magnifique, et surtout, elle y avait ses nouveaux amis. Son nouvel ami, aussi. Elle s’était intégrée et ne voulait pas tout recommencer si vite. Les voyages, elle en avait connu, et elle en avait sa claque. Si sa fille avait en réalité 643 ans, en apparence, elle en faisait entre 18 et 20, et au fond d’elle, elle restait cette enfant qu’il avait dû transformer à l’aube de sa vie d’adulte, pour qu’elle reste pour toujours auprès de lui. Ce n’était pas la vie qu’il souhaitait pour elle, mais s’en séparer était un sacrifice tellement grand, tellement indigne de lui qui avait déjà tant enduré avec elle… Qu’il l’avait fait. Il l’avait mordu. Il l'avait contaminée.

« Je ne peux pas faire ça, Cassandre, bon sang. C’est ton anniversaire, ne te rends-tu pas compte du cadeau empoisonné que c’est ? Tu as bien vu ce que je suis, ce monstre que je deviens et dont tu dois te protéger à chaque pleine lune ! Alors n’en parle plus, et profitons de cette journée, pour en faire une journée heureuse dont on se souviendra toute notre vie. C’est bien suffisant… » ; « C’est facile pour toi. » M’avait-elle craché au visage, ses yeux bleus jetant des éclairs. « Ce n’est pas toi qui vieillit alors que pendant ce temps, tu regardes ton père rester le même, et qui peu à peu, sent les secondes te rapprochant de la mort défiler. Tu t’en fiches donc, de me perdre pour toujours ? » ; « Arrête, tu dis n’importe quoi. » ; « En tout cas, c’est l’impression que tu donnes : tu te fiches bien que je meurre. » ; « Tu ne sais pas ce que tu dis. » Avais-je rétorqué d’un air furibond. Elle s’était levée en me jaugeant de ses pupilles où brillait cette colère immense, qui, je le savais, ne m’était pas seulement destinée. Puis elle s’était enfermée dans sa chambre, me laissant pantelant au milieu de la pièce à vivre. Je savais qu’elle ne le pensait pas. Pourtant, mon cœur était pincé. Un étau semblait le comprimer, et l’image de ses yeux glacials prenait de plus en plus leur empire sur moi. Un frisson désagréable vint faire s’hérisser les poils de ma nuque en détalant le long de mon échine.
Quelques heures plus tard, j’entendis la porte de sa chambre s’ouvrir. Elle s’était alors lentement dirigée vers la porte, sans plus me jeter un regard. « Si, je le sais, je le sais très bien. » Avait-elle dit en me jetant un regard étrange qui m’avait glacé. La porte avait alors claquée et je m’étais levé comme un seul homme, ayant juste le temps de la voir enfourcher son scooter et de démarrer en trombe. Sans plus réfléchir, j’avais sauté en voiture, mais n’avais pas eu à rouler bien longtemps : car quelques mètres plus loin à peine, je me transformais. Je l’avais complètement oublié, mais ce soir, c’était un soir de pleine lune. Dans ma vision périphérique, je vis son scooter disparaître alors que j’étais en proie à l’inévitable douleur de ma transformation, m’extirpant tant bien que mal du véhicule, juste à tant pour qu’un craquement sourd retentisse. L’odeur du sang arriva alors à mes narines, si forte, si… familière. Pris d’un élan frénétique, je me rendis en un bond jusqu’à l’endroit d’où venait cette fragrance si particulière. Au fond du fossé, son scooter renversé sur elle, gisait ma fille. « Si tu… Ne t’en fiches pas… Que je meure… Prouve le. » Mes pupilles animales avaient tressailli, tandis que le fruit de ma chair était entrain de se vider de son sang à mes pieds, me regardant avec cet air de défi farouche, et j’avais été incapable de résister : l’instinct avait pris le dessus quand la simple idée qu’elle allait mourir s’était immiscée jusqu’à ma conscience. Elle semblait si frêle, si pâle, sous la lueur de la lune… Mes dents s’étaient plantées dans sa chair, au niveau de sa cuisse, et je m’étais tout de suite stoppé en entendant son cri de douleur. Mes oreilles s’étaient mises en arrière et je l’avais regardé de mes grands yeux dorés en laissant échapper un petit gémissement. Puis, j’avais entendu son rire. Un petit rire satisfait, légèrement fou. D’un coup de patte, j’avais viré le scooter qui la bloquait et m’étais ensuite couché autour d’elle en émettant un léger grognement mécontent. Elle obtenait toujours ce qu’elle voulait, toujours. Pourquoi lutter ? Elle était bien ma fille ; d’une volonté à toute épreuve, et ne reculant devant rien pour parvenir à ses fins... Même à provoquer la bête instable qui était en moi. Elle avait eu de la chance que moi instinct paternel soit plus fort que la soif de tuer qui m'habitait à chacune de mes transformations, de la chance qu'une once de raison réussisse à survivre à cette lune pleine qui m'avait déjà tant pris et qui, à présent, venait de prendre la dernière personne qu'il me restait. Car, maintenant, elle était comme moi. Elle était un monstre de la même espèce de ceux qui avaient tué sa mère et son frère...

Terence avait mis longtemps à accepter ce qu'il était devenu. Cet être nocturne, bestial et sauvage, ce prédateur démoniaque sommeillant des jours durant pour libérer sa folie destructrice à chaque fois qu'une lune ronde et brillante laissait traîner quelques uns de ses rayons. S'il avait surmonté cette épreuve, c'était pour elle, sa petite fille. La seule personne qu'il lui restait. Car les loups, en plus d'emporter une part de sa raison, avait aussi pris deux de ses raisons d'être : son fils, Pâris, et sa femme, Galice. Ces deux loups immondes, entrés durant la nuit dans leur domaine en Ecosse, autrefois l'heureux foyer où il voyait grandir sa famille, et se profiler une vie paisible dans un bonheur des plus simples... Et qui, de leurs griffes et leurs dents acérées, avaient lacéré ses rêves en quelques minutes à peine. Il préférait ne pas se remémorrer cette scène, ce jour funeste où son existence avait basculé dans l'horreur, car même avec le temps, le souvenir restait cuisant, et il ne pourrait jamais s'en aller complètement. Mais il avait fallu faire avec, il avait fallu continuer à vivre avec le poids de cette épreuve sur les épaules. A l'ampleur de ce mal, son Amour pour sa fille s'en était trouvé incroyablement décuplé, si bien qu'il s'était totalement dévoué à elle, la surprotégeant, parfois inutilement. C'est pourquoi la laisser à Cuba n'avait pas non plus était simple ; cependant, Terrence avait appris à prendre sur lui, et d'une certaine façon, le mieux pour elle était de continuer sa vie là bas. Car la Nouvelle Orléans, même pour la lycane expérimentée qu'était devenue sa fille - ce qu'il reconnaissait rarement car, pour lui, elle restait tout de même son bébé - , restait un endroit plutôt dangereux. Alors, finalement, la décision s'était plutôt imposée d'elle même. Cassandre menait sa vie à Cuba, pendant que lui menait la sienne en Lousiane. Cela faisait déjà trois ans qu'ils vivaient loin l'un de l'autre, ne s'entretenant plus qu'au bout d'un téléphone. Elle semblait heureuse, bien qu'elle disait se languir de lui, et de son côté, il faisait son bout de chemin, glanant des informations et prenant ses marques dans cette ville de vampires et d'humains se cotoyant, dans une sorte d'ambiance étrange à laquelle il commençait à se faire (même si la présence de vampires en masse le titilla tout de même fortement - ces bestioles ont tendance à lui filer de l'urticaire, faut pas lui en vouloir). Après tout, il restait un lycan, ennemi héréditaire de ces créatures froides comme le marbre, dont l'essence même s'opposait à eux comme la lave à la glace... Même s'il tâcha de rester un homme intègre autant que possible. Tout comme quand un homme s'approchait de sa fille quoi. Une intégrité douteuse, mais une intégrité tout de même.

‘‘ Ah, ce mec, c'un p'tain d'paradoxe. Il fait le mecton calme et tout, le gars tranquille qui cherche pas les ennuis et qu'à pas l'air de pouvoir faire de mal à une mouche quoi. Doux comme un agneau et tout l'toutim... Mais faut pas s'y fier, non, ça s'rait faore une belle erreur ; c'pourrait même être vot' dernière. Car quand le loup se révéille... Tiens, j'me souviens d'ce type, dans un bar. J'étais avec Terrence, on buvait tranquillement lui, moi et sa fille, mignonne comme tout la petite... Bref, il a eu le malheur de la draguer ouvertement devant lui en des termes pas très... Corrects, v'comprenez c'que j'veux dire hein ! Bah il l'a pas dit deux fois quand il a vu qu'l'paternel s'tournait vers lui. D'un regard le Terrence il l'a fait filé, d'un seul regard ! Et il a même pas moufté ! N'empêche, j'le comprends ; je l'ai déjà vu prendre ce même regard face à des mecs bizarres quelques fois, et j'aimerais pas qu'il m'le fasse... On dirait... De la mort en barre, man ! D'mon avis, ça pourrait tuer sur place. J'serais même pas étonné si ça arrivait un jour ! ’’

Tony E. Delcano, ami cubain de Terence et Cassandre.

Toutefois, malgré tout, il ne pouvait s'empêchait d'éprouver de l'admiration pour certains. Ceux qui avaient osé se révéler à la face du monde pour revendiquer leur droit à une vie normale. C'est pourquoi, en venant ici, il s'était octroyé la mission d'en apprendre le plus possible sur les récents évènements et de garder un oeil sur l'avancée de tout ça, tout en continuant de vivre une vie respectable en apparence, pour le soir se lancer dans ses investigations. Ca lui permettait, en même temps, de se forger une opinion voulue des plus objectives... En temps que lycanthrope honorable qu'il était (c'est à dire ne tuant aucun humain), il se méfiait tout de même de la situation, mais pourtant commençait à germer dans son esprit une idée un peu saugrenue. Et si les lycans aussi pouvaient ne plus avoir à se cacher ? Mener une vie normale au lieu de devoir cacher sa vraie nature, c'était une sorte d'utopie à laquelle il avait déjà bien songé, surtout par rapport à sa fille pour qui il aurait souhaité ce genre d'existence au lieu d'avoir à déménager si souvent et à rompre les liens entretenus pour toujours tout recommencer à cause de cette tare... Ne plus avoir à souffrir autant de déceptions et enfin, pouvoir espérer une once de stabilité dans leur existence, que les lycans deviennent des êtres reconnus de tous, une espèce à part entière... Cependant, cela comportait des inconvénients, aussi, il suffisait de prendre exemple sur ce qu'il se passait avec les vampires : les mouvements extrêmistes. Car tout le monde ne souhaitait pas comprendre, et encore moins accepter ces êtres différents d'eux. Car ils avaient peur. Simplement peur. Et la peur anhile le raisonnement. Terrence biffurqua dans la rue de son immeuble et en gravissant les marches, repensa à la réaction de ses élèves par rapport à l'élection de Nathan Rainfield. C'était un exemple probant de cette naïveté ou de ce souhait de ne pas chercher à voir plus loin que les apparences. Pour eux, Nathan était le loup. Le grand méchant loup. Cet animal dans leur esprit connoté au plus profond de leur cauchemar, à la peur elle-même, ce loup qui dans leur sommeil, pouvait venir les manger s'ils n'étaient pas sages... Ou plutôt, les mordre. Un sourire ironique se peignit sur ses traits alors qu'il passa la porte de son appartement. Une phrase de Thomas Hobbes s'imisça malgré lui dans son esprit alors qu'il se laissait tomber sur son canapé avec lassitude, et résonna quelques instants entre les parois de son crâne, pleine d'un cynisme qu'il affectionnait et qui correspondait bien avec le regard qu'il posait sur le monde.

« L'homme est un loup pour l'homme. »

Il poussa un léger soupir, laissant ses convictions l'emplir, se retirant un instant dans les combles les plus noirs de son esprit. Vampires, Loup garous, Hommes ... Au final, tous restaient des bêtes. Des êtres plus ou moins humains, capables du meilleur... Comme du pire.

prénom ou pseudo. Little Suzy.
pays et région. France ; Midi-Pyrénées.
âge. 18.
célébrité sur l'avatar. Hugh Jackman.
poste vacant. Yep.
fréquence de passage. 5/7, mais ça dépend la période.
commentaire personnel. Cette fois, si on me pique mon perso', j'abandonne. xD *out* & je ne bois pas de sang, merci bien. >_>

Bienvenue parmi nous.
J'espère que tu passeras de bons moments sur True Blood.
Et bon courage pour finir ta fiche.

Merci vous deux !

Le début de ma fiche est posté et j'espère bien poster le reste qui est en cours sous Word rapidement. (:

Pour commencer, laisses moi te souhaiter – de ma part ainsi que de celle des autres admins – la bienvenue sur True Blood !

Ta fiche est maintenant terminée so let's go pour la modération! Et ne t'inquiètes pas, malgré ma tendance à sortir les crocs et les griffes, je ne mords pas... enfin pas toujours!

Tout d'abord. J'ai beaucoup aimé ton histoire très bien menée et surtout très bien écrite. On rentre facilement dans l'ambiance et ça se lit très facilement tant c'est passionnant. Merci pour cette agréable lecture!

Cependant. Bah cependant rien^^ So...

Merci beaucouuuuup ! *happy*