Patrick Scott Murphy } Finish

prénom(s). Patrick Scott
nom(s).Murphy
âge. 25 ans en apparence, mais réellement, j'en ai 184.
date et lieu de naissance. le 24 août 1825 à Midleton, en Irlande
race. Lycans
métier.héritier

apparence physique. Alors c'est ici que je me décris physiquement c'est ça ? Cool, parce que sinon je vois pas c'est où. Bon, la plupart du temps, on dit de moi que je suis la réincarnation d'Apollon, le dieu de grec de la beauté. Je ne peux pas vraiment le nier, la nature m'a plutôt bien gâté côté physique. Jamais je n'aurais recours à la chirurgie esthétique parce que je manque de confiance en moi. Le seul réel complexe que j'ai eu sur mon physique, ce fut les petits boutons d'acnés qui sont venus sur mon visage au début de mon adolescence. Par chance, un petit peu de crème et c'était parti. faut croire que les Irlandais sont si chanceux que ça. Si nous voulons entrer dans le plus précis, je pourrais aussi vous dire que j'ai les yeux pers. Et oui, encore un truc bien spécial chez moi. Ils hésitent souvent entre le vert et le brun. Par contre, ils restent souvent dans les teintes de vert et sont souvent influencés par la météo. Ne me demander pas pourquoi, je ne serais quoi vous répondre. Quelques fois, j'aime bien me laisser pousser une belle petite barbe que je soigne souvent, je ne voudrais quand même pas avoir l'air d'un ivrogne. Cette barbe est brune, mais avec quelques reflets roux, comme quoi on n'échappe jamais à ses origines. Quant à mes cheveux, la seule fois où vous les verrait avec une petite teinte de roux, ce serait lors d'une chaude journée d'été.Descendons un peu en quittant mon visage et en suivant les muscles qui se dessinent au fil des entraînements. Encore une fois, ce n'est pas vraiment pour me vanter, mais j'ai une musculature qui en laisserait plusieurs jaloux. Des bras forts comme trois, des pectoraux à en faire baver plus d'une et des abdos dignes d'un danseur professionnel. Mais bon, puisque je ne peux pas me promener nu, quoi que personnellement, ça ne me dérangerait pas, je dois porter des vêtements. Lors des rares réunions aux quelles je me rends, je porte le classique: veston cravate. Une seule chose distingue mon costume de celui des autres membres de ces réunions. Au lieu des fleurs qu'on met sur le revers gauche du veston, moi, je mes un trèfle à quatre feuilles que j'ai trouver un jour avec mon grand-père. C'est le bien le plus précieux que j'ai et c'est aussi le seul vestiges que j'ai du temps où il était encore en vie. Sinon, dans la vie de touts les jours, j'aime bien les jeans. ça va avec tout et c'est très confortable. Pour le haut, souvent une chemise moderne ou un t-shirt. Et voilà, voici quelques informations qui, je l'espère, permettrons de mettre un visage et un corps, sur ce nom qu'est le mien.

caractère. Quoi ! Encore des trucs à remplir !? Mais vous n'arrêterez donc jamais ? Bah tant pis, quand faut y aller, faut y aller. Alors, si j'ai bien compris, j'dois vous expliquer comment mon ptit cerveau est fait ? Cool, ce serait pas compliqué. D'abord, détrompez vous, je suis une personne très intelligente, même qu'on pourrait dire que je suis le genre de personne qu'on appelle des surdoués. Il y a environ 150 ans, je suis sorti d'Oxford avec ma maitrise en Droit. En plus d'avoir mentions honorables sur mon dossier, je sorti premier de la promo. Jeune homme un peu perturbé, je ne suis que la moitié de moi-même depuis un évènement bien triste que j'expliquerai plus tard. J'ai toujours adoré les femmes et elles ont toujours été folles de moi. Peut-être à cause de mon charme grandiose, mais peut-être aussi pour mon porte-feuille des plus chargés. Dans ma vie, j'ai couché avec plusieurs femmes, mais en ai aimé que quelques-unes d'entre elles. Je suis quand même un grand romantique. Lorsque je suis en amour et en couple, je deviens l'homme le plus incroyable qui soit. Doux, tendre, attentionné, romantique, mais jaloux. Et bien oui, il en faut. Marque d'affection la moins comprise d'entre toutes, la jalousie est une chose bien difficile à contrôler lorsqu'un homme s'approche avec de mauvaises intentions de la femme qu'on aime. Je suis comme cela, il faut quand même pas m'en vouloir pour être qui je suis.Avec les amis, c'est presque pareil, je suis quelqu'un qui est à l'écoute, je suis aussi fidèle. Jamais je ne trahirais un ami, même pas pour tout l'or du monde. Je suis une personne ambitieuse, la plupart du temps, lorsque je veux quelque chose, je l'obtiens. Avec moi, il n'y a pas de non, sauf si c'est moi qui le décide. J'ai été élevé en combattant et ça se reflète aujourd'hui sur tout ce que je fais. J'ai un sens de la compétition un peu plus développé que celui des autres. J'adore faire la fête, pour moi, c'est presque une religion, surtout qu'après avoir sacrifié plusieurs années de ma vie à l'étude du Droit, je considère que j'ai droit à une petite période de relâchement non ? Bon, celle-ci dure depuis environ 150 ans. Mais bon, lorsqu'on a l'éternité devant nous, que faire d'autre ? J'ai un courage et une bravoure à toute épreuve, je n'aie peur de rien, sauf peut-être que mon secret soit un jour révéler. Ça, ce serait la catastrophe...

particularités. Tu veux vraiment que je te dise ce que j'ai de spécial ? T'es certaine hein? Parce que moi, je t'aurai prévenu. Je suis un loup-garou ! mais bon, dis le pas, c'est sensée être un secret. Mais bon, puisque je me transforme en bête que trois jours par mois, je pourrais te sembler bien normal, durant un bon moment. Mais tu remarqueras bien vite, que je suis beaucoup plus fort que toi. Je semble être capable de lever des poids que même un humain très musclés serait incapable de soulève, et tu as raison. Je suis aussi beaucoup plus vite que toi et aucune drogue n'en ai la raison. Je suis simplement comme ça. Tu me vois traverser une foule sans toucher personne et tu te demandes comment cela est possible ? Et non, je ne suis pas contorsionniste, je suis simplement l'être le plus agile que tu connaisses. Mais une des caractéristiques de ma race qui me prote souvent problème, c'est que je vais le savoir tout de suite si tu pus.

prénom ou pseudo.Irishpower89
pays et région.Québec, Canada
âge. 17 ans
célébrité sur l'avatar.Jared Padalecki !
poste vacant. Nop
fréquence de passage. ( 6/7 )
commentaire personnel. Je prendrais bien du O négatif 1991. Une cuvée très rare avec une robe si mordante qu'on y devient vite accro :)

Chapitre 1: La Naissance
Alors, nous y voilà, c'est quelque chose d'étrange que de vous décrire un évènement qui parle de moi, mais dont je n'ai aucuns souvenirs. Je vais quand même essayer de vous raconter du mieux que je peux c'est évènement extraordinaire. Commençons d'abord avec mes parents. James Murphy et Hanna McGregor. Et oui, le James Murphy du Whisky. Lui et ses deux autres frères, Joseph et John, fondèrent ensemble la distillerie Midleton. Les trois frères devinrent rapidement très populaire et vendirent le meilleur Whisky de toute l'Irlande. Mais ce n'est qu'en 1825, 4 ans après la réelle fondation de la compagnie, qu'elle fut créée sur le plan légal. Cette même année, un autre bébé arriva dans la vie de James, moi ! Et oui, moi, joli bambin, à peine âgé de cinq ans, j'étais le plus riche héritier d'Irlande. Hanna, ma mère, fut beaucoup moins ravie de la nouvelle de cette grossesse. Elle était très malade et les médecins disaient qu'elle avait que très peu de chance de survivre à l'accouchement. Alors, tant bien que mal, mes parents ont tentés de vivre leur vie du mieux qu'ils le pouvaient en attente de la date fatidique. S'aimant de plus en plus chaque jour, ils vécurent heureux jusqu'au 23 août. Cette journée, tard dans la nuit, ma mère perdit les eaux. Tout de suite, mon père appela un médecin qu'il avait lui-même logé chez lui, en cas de besoin. Celui-ci couru dans la chambre de mes parents et fit accoucher ma mère. Une fois sorti, chose qui fut incroyablement rapide, le docteur me remit à mon père qui s'occupa très bien de moi. Me nettoyant et me mettant dans une serviette pour ne pas que je prenne froid. Alors que le médecin tentait désespérément de sauver ma pauvre mère qui n'avait plus aucune force pour s'accrocher à la vie, mon père se rapprocha d'elle et l'embrassa sur le front en la remerciant d'avoir mit au monde un fils, car c'était son plus grand rêve. Chose très douloureuse pour mon père, c'est après ce moment qu'elle s'éteignit. Malgré les essais suivants pour la sauver, elle resta morte. Évidement, je n'ai aucuns souvenirs de cela, c'est mon père qui me raconta cette histoire. Et chaque fois, il en pleurait et quelques fois, je l'accompagnais lorsque j'étais plus jeune. Simple et triste évènement ou premier présage d'une vie maudite ? Ça, personne ne pourra jamais répondre...

Chapitre 2: L'enfance ou le trèfle chanceux
Ça, ça devrait être légèrement plus facile à vous expliquer, car j'ai quand même plusieurs souvenirs de mon enfance. Souvent passé avec mon grand-père qui s'occupait de moi, car mon père était un homme très occupé. Je me souvient précisément d'un moment passé avec mon grand-père. Je devais avoir environ 5 ans et nous nous promenions dans les plaines du comté de Cork. J'étais heureux et comme à touts les dimanches, après la messe, mon grand-père Liam et moi, nous allions faire voler mon cerf-volant dans les plaines. Mais ce jour-ci, ce fut bien spécial. Alors que mon jouet fut attaqué par un coup de vent soudain, il piqua vers le sol. Je courue donc vers lui pour aller le chercher, mon grand-père me suivant avec difficulté, puis le trouva enfin, sous un grand chêne. En le soulevant à deux bras, je découvris qu'un trèfle c'était prit dans ses cordes. Je m'apprêtais à le jeter au sol, lorsque mon grand-père, enfin arriver près de moi, me dis de le garder. Car c'était un trèfle à quatre feuilles. Une sorte de trèfle très rare qui portait chance à toutes les personnes qui en portait un sur soi. Étrangement, je le crue et le garda.

Ce qui fut le plus étrange, c'est que ça semblait marcher. Plus je vieillissais, plus je me rendais compte qu'il disait la vérité. Comme quoi, il suffit de croire en quelque chose pour qu'elle arrive. Alors, partout, à l'école lorsque je trichais, à la maison lorsque je piquais dans les assiettes des autres. En plus, j'étais un des seuls enfant de la ville qui avait beaucoup d'argent. Peut-être une histoire farfelue qui serait vraie, ou peut-être qu'une vieille superstition. Quoi qu'il en soit, je garde toujours ce trèfle sur moi.

Chapitre 3: La Renaissance
Et voilà, un autre saut dans le temps, mais pas si énorme que ça. Ça y est, j'ai 25 ans. Je suis l'homme le plus heureux que la Terre n'a jamais porté. Nous sommes en 1850, une époque très prospère pour ma famille et ça paraissait dans l'atmosphère qu'il y a à Midleton. Moi, ça fait environ 2 ans que j'ai fini mes études en Droit à Oxford. C'est là que j'ai rencontré la jeune femme la plus merveilleuse qui soit. Helena O'Connors. Nous sommes rapidement tombés amoureux l'un de l'autre et nous nous sommes fiancés. Je préférais cela à un mariage trop vite, surtout que bientôt je devrais, mon père et mes oncles m'intégreraient à part entière dans la direction de la distillerie, qui était maintenant la plus grande d'Irlande. À peine j'avais annoncé la nouvelle à mon père, qu'il me mit en charge de la distribution en Angleterre.

Pour fêter l'évènement, nous allâmes dans une taverne réputé de Dublin et nous commandions une bouteille de notre Whisky le plus cher. Nous étions là environ une dizaine à fêter et à fêter encore. Puis, plusieurs partirent et il ne resta que moi. Continuant à boire, avec des gens que je venais de rencontrer. Mais lorsque le bar ferma, je dus quitter, très saoul, je tentais de me rendre du moins dans un hôtel et rentrer chez moi le lendemain. J'empruntai donc la ruelle derrière la taverne, croyant avoir vu un hôtel pas très loin. Prenant appuie sur les murs, je les longeais me réjouissant de quitter cette ruelle sombre très rapidement. Lorsqu'un cri me stoppa net. Même en étant saoul, je me souviens parfaitement de ce son. Il me glaça le sang dans les veines et m'empêcha de faire tout mouvement. Puis, bondissant devant moi, une énorme masse noire encore plus terrifiante que le bruit que j'avais entendu me regardait droit dans les yeux. Les siens étaient jaunes et semblaient pouvoir lire à travers mon âme. Le moment où je restai comme ça, me parut une éternité, comme hypnotisé par son regard. Puis, il me sauta dessus. Me mordant sur le flanc gauche. Ses dents à l'intérieur de mon corps étaient comme de terrible glaçons incassable. Ils semblaient aspirer toute vie hors de mon corps. Je ne pouvais rien faire, c'était comme si j'étais déjà mort. Mais comme un miracle, j'entendis, comme très loin, le tir d'un fusil de chasse. Aussitôt, dans un cri de douleur, je laissai volontiers les dents du fauve quitter mon corps. L'animal semblait blesser et quitta vers les profondeurs de la ruelle. L'homme qui avait tiré le coup de feu était le barman, il m'amena très rapidement chez un médecin et je pus être sauvé à temps. On me reconduit ensuite jusqu'au manoir familial, où je fus guérit complètement.

Malgré le fait que la blessure ne laissait presque plus de traces, je restais malade, cette étrange maladie qu'aucun docteur ne connaissait. Je ne bougea presque pas de mon lit pour une durée de presque un mois...

Puis, la grande nuit arriva. Celle de ma renaissance. Cette nuit là, je devins un loup-garou. Un fauve de la nuit de la pire espèce. Un loup ou un ours c'est rien comparer à la puissance des lycanthropes. J'étais encore dans mon lit lorsque ça commença. Il devait être environ deux heures du matin et je fut pris de violents spasmes, tentant dans bien que mal de me lever, je suivais les murs, utilisant leur solidité pour retenir mon corps, je me remémorai la scène dans la ruelle et ce fauve mon bondissant dessus. Je tentais de so0rtir, me disant que l'air frais de cette nuit d'hiver pourrait surement me faire du bien. Je regardais mes mains sur le mur, elles semblaient grossirent de seconde en seconde. Surement un effet de la fièvre que j'avais. Ce qui était étrange, c'est que j'hallucinais plus que ça. Des griffes ! des griffes commençait à me pousser ! Je poussai la grande porte violament celle-ci se retrouva même arracher par la force que je venais de me découvrir. Une fois dehors, je tombai sur mes genoux à lâcha un cri qui me rappela avec frayeur le cri que la bête avait lâchée avant d'apparaitre devant moi. Sur le petit chemin qui menait à la barrière, j'étais là, à genoux, en train de me transformer en loup-garou. Déchirant touts mes vêtements, me corps grossissait, il devenait plus poilu et plus musclé. Mes yeux passèrent de leur douce couleur verte à un jaune perçant. Après ça, ce fut le noir total, je ne me souviens de rien.

Ce fut surement le froid saisissant qui me réveilla de ce profond sommeil. J'étais nu, dans la neige glacée, mais pourtant, ce n'était que là que j'avais froid... J'étais près d'une chaumière à l'orée du bois. Me dépêchant, je pris le bois pour rejoindre la manoir. Je me rendis compte que je courais beaucoup plus vite que je ne l'avais jamais fait. De retour chez moi, je lis le journal. Il y avait un article sur une famille qui avait été assassinée durant la nuit. Dans la description que j'en lis, c'était dans la même chaumière que celle où je m'étais réveillé au petit matin. C'est alors que tout se croisa dans mon esprit et que je compris. Les loups-garous des vieilles histoires de mon grand-père étaient des bêtes réelles et j'en suis une.

Chapitre 4: Une Vie de Fauve
Vous, vous saviez qu'une pleine lune reste trois jours dans le ciel ? Moi, je l'ai appris cette journée là. Ayant pleuré mon sort pendant toute la journée, je ne comprenais pas ce qui se passait. Mais pourquoi moi ? Enfin, vous voyez le genre ? Mais lorsque la nuit arriva et que je regardai par la fenêtre, je vis encore cette lune. Cette lune qui était encore pleine. N'ayant même pas le temps de réaliser, je fus pris par de violents spasmes. Et voilà c'était reparti. Sauf que cette fois ci, de plus grandes conséquences arriva. Une personne près de moi fut tuée durant cette nuit, ma fiancée.

Lorsqu'on découvrit son corps le lendemain au matin, je compris tout de suite que c'était moi le coupable. Au lieu de pleurer sur le corps de ma fiancée, je courus dans le sous-bassement du manoir et je m'enchainai à des énormes poutres de pierre. Ne voulant absolument pas blesser un autre membre de ma famille, je restai ainsi enchaîné. Sauf que dans ma précipitation, j'oubliai le fait que je devrais un jour me détacher et manger. Ce fut un de mes oncles qui me retrouvèrent au bout de trois jours, maigre et toujours attacher à ces chaînes. Depuis ce jour, à chaque pleine lune, je m'enferme et m'enchaîne pour ne blesser aucune autre personne. Vers la fin du XIXe siècle, je décidai de quitter mon Irlande natale pour aller m'installer eaux États-Unis. Je commençai à Boston, là où il y avait beaucoup de mes pères, mais je quittai vite pour le sud en allant vers la Nouvelle-Orléans. Alors, depuis plus de 100 ans, je me suis installé dans ce grand pays, je l'ai vu grandir. J'ai vu doucement les voitures firent leur apparition pour bientôt envahir complètement le monde. Bref, malgré ma différence, j'essaie tant bien que mal, de m'intégrer dans ce nouveau monde. Lorsque j'ai entendu cette nouvelle, nous apprenant l'existence des vampires, je fus complètement bouleversé. Bien évidement je savais qu'il existait pour en avoir rencontré quelques-uns dans ma longue vie, mais je croyais que comme ceux de ma race, ils voulaient rester dans l'ombre... De toute façon, eux ne peuvent pas sortir le jour et moi si, alors attendez vous à me voir parmi vous très bientôt...

Et voilà tout le monde :)
J'crois bien avoir terminé ma fiche :)

Pour commencer de la meilleure des façons ce voyage, je te souhaite -ainsi que toute l'administration- chaleureusement la bienvenue sur True Blood!

Tu as terminé ta fiche et je vais donc maintenant pouvoir la modérer. Oh, mais ne t'inquiètes pas, je suis sûre que ce ne sera ni long, ni difficile.

Le Background est tout à fait correct, et je n'ai aucune remarque de fond à faire là-dessus, tout me va (=
Malheureusement... Il y a vraiment un grand nombre de fautes, qui à force gênent la lecture, des fautes d'accord et de conjugaison principalement. Une relecture et un passage chez Bon Patron s'impose avant que je puisse te valider.
Et juste un petit détail, je doute qu'au 19ème siècle les entreprises fonctionnent avec un conseil d'administration et des présidents... parle plutôt de directeurs, d'héritier ou quelque chose dans le genre.

Ne t'inquiètes pas, tu es sur la bonne voie vers le monde merveilleux de la validation

J'attends que tu modifie ce qui ne convient pas, et ainsi je te validerais.
oh allez, je suis sûre que ce n'est pas si dur que ça!

Il reste encore des fautes... Mais une grande partie a été évacuée. Ainsi je ne fais pas plus de zèle et je te valide, puisque tout le reste est bon. Fais-y attention à l'avenir.

Ta fiche est maintenant validée! Yeah! Bravo, je te félicite!

Tu peux maintenant entrer dans le jeu et accéder à toutes les fonctionnalités du forum, mais nous ne te lâchons pas si sèchement dans le roleplay. De nombreux outils sont à ta disposition pour ton intégration, et si tu as la moindre question (à poser dans la partie spectateurs), moi ainsi que toute l'administration se feront une joie d'y répondre.

Je vais tout de suite après ce message te mettre ton groupe, ton rang, réserver ton avatar, ta profession et ton poste vacant s'il y a lieu, afin que tu puisses entrer très vite dans le forum.

Je te conseille, afin de pouvoir jouer le plus vite possible, de te créer une fiche de relations, et de créer des liens avec les membres déjà présents, puis une feuille de roleplay, où l'on pourra te demander en roleplay, et où pour commencer ton aventure, tu peux toi aussi bien sûr proposer un sujet à quelqu'un. Tu peux aussi faire une demande de création de logement, proposer des emplois à l'ANPE. N'oublie pas d'aller visiter la partie informations complémentaires où nous avons précisé beaucoup d'éléments utiles au jeu. Si tu as des soucis, ou des doutes du coté de tes écrits, n'hésite pas à visiter le plumier. Et si un jour l'inspiration te manque, tu pourras toujours demander aux Muses de te concocter de nouvelles aventures.

Nous avons mis en place un système de points : les Gouttes de Sang. Ces gouttes que ta participation à la vie du forum te fera vite gagner, te permettront d'acquérir des biens qui mettrons du piment dans le jeu. Bien sûr, tu as tout intérêt a t'impliquer en jeu et en hors jeu, que ce soit en faisant connaitre le forum ou en devenant Journaliste, Animateur ou Muse.

Enfin, notre forum a besoin d'être peuplé pour pouvoir bien vivre, alors n'hésite pas à proposer à d'autres gens de venir, ou même à faire une demande de partenariat.

oh et, juste avant de te laisser, ne te prive pas de la partie défis, ni du flood bien sûr!