A Baby Vamp's Story : Jessica Hamby [Terminée]

B a By V a M p

Je m'appelle Jessica Hamby et je suis un Vampire. Oh, pas depuis très longtemps, mais c'est un fait : Je suis figée dans mes 17 ans pour l'éternité ou jusqu'à ce que quelqu'un m'envoie saluer le soleil. Je suis née à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane, d'une mère Américaine et d'un père Irlandais. Ma seconde naissance s'est produite dans un cimetière. Mon second père ou plutôt mon créateur (chez les Vampires, c'est ainsi que l'on nomme celui qui vous a transformé) est un Vampire répondant au nom de Bill Compton. Il fait partie de ces Vampires qui veulent s'intégrer à la société et boit du Tru:Blood. Je n'ai donc guère le choix et je dois me soumettre à ce régime alimentaire, même s'il faut reconnaître que ce n'est pas très bon. Cela dit, grâce aux bons conseils de Pam, je peux maintenant, en plus du Tru:Blood, boire du sang humain : J'ai appris à m'arrêter avant que le pouls ne s'arrête. Cependant, Bill n'est pas au courant de ces petits écarts : Je n'ai pas envie d'entendre un sermon... Je bois également un peu le sang de Hoyt lorsque nous faisons l'amour mais en très petites quantités : je ne veux pas lui faire de mal... J'ai été transformée alors que j'étais dans ma dernière année de lycée mais je n'ai pas pu retourner à l'école. J'ai commencé à trouver le temps long et finalement, j'ai réussi à trouver un emploi de serveuse chez Merlotte's. Sam, le patron et propriétaire, est un ami de Sookie, la petite amie de Bill, et il a gentiment accepté qu'un Vampire travaille dans son bar.

Le jour va bientôt se lever et j'attends que le sommeil fasse son apparition et me fasse paraître pour ce que je suis : Morte. J'entends au-dessus de moi la voix de Hoyt qui me fredonne une chanson : Je l'entends comme s'il se trouvait juste à côté de moi. Très souvent, il reste jusqu'à ce que le soleil se lève. Je m'estime chanceuse de l'avoir à mes côtés.

Là, bercée par sa voix, je repense à ce que j'ai traversé pour en arriver là.

Mon enfance fut assez particulière. Dès mon plus jeune âge, je fus plongée dans la religion chrétienne, mes parents étant de fervants croyants et pratiquants ; mon père plus particulièrement. Je fus bercée par cette religion, par les péchés qui s'y raccrochaient et je devais être parfaite, irréprochable. Les fois où je ne l'étais pas, j'étais punie. Oh, on ne peut pas vraiment dire que mon père me battait, mais disons qu'il lui arrivait de retirer sa ceinture pour me faire passer l'envie de faire des bêtises ou même de dire une grossièreté : Oui, c'était à ce point-là. Je devais être pure et le rester, quoi qu'il advienne. L'arrivée de ma petite soeur alors que j'étais âgée de 8 ans fut le début d'un changement en moi. Je vis mon père reproduire avec ma soeur le même schéma qu'avec moi et les corrections furent plus sévères lorsque je m'opposai à lui. J'étais croyante, j'étais pratiquante, mais plus le temps passait, et moins je supportais le comportement de mon père. Il était malheureusement plus fort que moi, plus fort que ma petite soeur et plus fort que maman. Quel choix avais-je? Je devais me plier à ses règles et à ses volontés. Ma scolarité se déroula tour à tour dans une école privée catholique, puis dans un collège-lycée privé catholique. Dans ces écoles, les classes n'étaient pas mixtes et les seules amies que j'avais étaient celles que je voyais en classe ou que je cotoyais tous les soirs au groupe de prière de notre paroisse ou à la chorale. J'essayais d'être sage, parfaite, comme mon père le voulait. C'était également un moyen de protéger ma petite soeur : Si je ne faisais rien de mal, mon père était de meilleure humeur et ainsi, il ne risquait pas de s'en prendre à elle. Je n'avais bien sûr pas d'amis garçons et je n'avais pas intérêt à en avoir : La correction aurait été très douloureuse. A 16 ans, je n'avais encore jamais dormi chez une amie : Mon père refusait que je passe la nuit dans une autre maison que la sienne. Ce fut cet excès de sévérité et de perfection exigée qui me conduit à désobéir pour de bon à mon père : J'avais 17 ans. Ce soir-là, Ashley (une fille de la chorale) organisait une fête et j'y étais invitée. Je ne pris même pas la peine de demander à mon père si je pouvais y aller, connaissant par avance la réponse négative qu'il allait me donner. Alors, j'attendis que mes parents soient installés devant la télé et pour la première fois de ma vie, je fis le mur. Etre dehors alors que mes parents l'ignoraient, leur désobéir de cette façon... Cela me procura des sensations incroyables : J'avais l'impression d'être enfin libre. J'étais euphorique et d'un seul coup, tout devint noir. La seule chose que je sentis avant de sombrer dans le néant fut une vive douleur sur la nuque.


Lorsque je revins à moi, il faisait noir et j'avais les genoux pliés contre ma poitrine : J'étais incapable de bouger. En fait, mon corps aurait pu en être capable mais l'espace dans lequel je me trouvais était beaucoup trop petit pour que je puisse bouger. Je finis par réaliser que je me trouvais dans un coffre. Ma nuque me faisait encore mal mais à cette douleur là s'ajoutait à présent une douleur sur ma joue droite : Je portai ma main à mon visage et réalisai que je saignais. Je ne pus retenir mes sanglots : J'étais pétrifiée. Je ne savais pas qui m'avait enlevée, qui m'avait fait du mal et ce qu'on allait faire de moi. Le temps me parût horriblement long et je le passai à prier encore et encore. Je demandai pardon pour avoir fait le mur, promis de ne plus jamais désobéir mais aucune aide ne vint à moi. Lorsque le coffre s'ouvrit, je sentis des mains fermes m'empoigner et me sortir du ma prison temporaire. Je fus jetée avec violence à terre et entre mes sanglots, je réalisai qu'il y avait beaucoup de monde autour de moi. Ils avaient tous l'air affamé : De quoi? Sans doute de violence. Je voulais qu'il ne s'agisse que d'un cauchemar et fis cette demande à voix haute plusieurs fois jusqu'à ce que je remarque un homme assis sur une sorte de trône : Il surplombait tout le monde et je n'eus aucune difficulté à comprendre qu'il commandait. Aussi, je m'excusai auprès de lui d'avoir fait le mur, lui demandai pardon et le suppliai de me laisser rentrer chez moi en lui promettant que j'allais être sage et que plus jamais je n'allais désobéir à mon père. La seule réponse que j'eus de sa part fut un rire qui me glaça le sang. Il se mit à discuter avec un homme qui se trouvait à côté de moi et pendant qu'ils discutaient, je décidai de me faire toute petite et m'allongeai par terre. Je repliai mes genoux contre moi-même et recommençai à prier : J'avais besoin que Dieu m'entende, j'avais besoin qu'il m'aide, qu'il soit miséricordieux et qu'il me pardonne mes fautes. Il ne pouvait pas m'abandonner... Il ne pouvait pas... C'est alors que je sentis une main glacée se refermer sur la mienne. Je relevai mon visage et croisai le regard d'un homme : Dès lors, je fus incapable de détacher mon regard du sien. Sa voix était calme et me fit beaucoup de bien. Les mots qu'il prononça me rassurèrent et mon coeur me cria de lui faire confiance. Soudain, la paix disparut : La peur que j'avais ressentie venait de refaire son apparition. Je n'étais plus enfermée dans cette bulle de calme et je n'avais plus du tout confiance en lui... Cet homme qui me fixait, qui me tenait toujours la main et qui s'avança vers moi. Je secouai négativement la tête et le suppliai : C'était tout ce qu'il me restait. Supplier, encore, et encore. Lorsqu'il me colla contre lui, son torse appuyé contre mon dos et que son autre main se posa sur mon front pour me forcer à mettre la tête en arrière, je me mis à hurler de toutes mes forces. Je tentai même de me débattre : En vain. La douleur fut terrifiante et j'eus l'impression qu'on me brûlait le cou au fer au rouge. Je hurlai, encore et toujours. Puis, je sentis mes forces m'abandonner petit à petit et je finis par être incapable de crier. Je voyais des petits points blancs danser devant mes yeux et j'avais des vertiges quand je sentis quelque chose contre ma bouche. Au bout de quelques secondes, je réalisai qu'il s'agissait du poignet de mon agresseur et ce dernier pressait une plaie ensanglantée contre ma bouche. Au départ, je résistai, puis, je finis par laisser couler le sang dans ma bouche, dans ma gorge, jusqu'au plus profond de mon être. J'ignore combien de temps passa : Quelques secondes ou quelques minutes. Ce qui est certain, c'est qu'au bout d'un moment, je sentis une douleur abominable s'emparer de mon corps tout entier. A côté de cela, la douleur que j'avais ressentie dans le cou n'était absolument rien. Je sentis des mains me maintenir au sol tandis que je me débattais et hurlais. Au bout d'un long moment, la douleur se concentra sur mon coeur qui s'emballa et mes cris redoublèrent d'intensité : J'avais mal, trop mal. Je voulais mourir et enfin, mon souhait fut exaucé : Mon coeur s'arrêta et tout devint noir.


Je fus surprise de me réveiller : Quand on pense être morte, ça fait un drôle d'effet d'ouvrir les yeux, croyez-moi. Cela dit, le pire ne fut pas de me réveiller, non : Le pire fut de me réveiller enterrée sous terre. J'avais été enterrée vivante! Je me mis à gratter avec force et j'aurais pu être surprise de ne pas me faire mal (j'avais une force certaine) mais je n'y prêtai pas attention, trop pressée de sortir de là. Lorsque je fus enfin à l'air libre, je distinguai une silhouette devant moi mais ne lui laissai pas le temps de dire quoi que ce soit : Je me mis à hurler. Il fallait que ça sorte. L'homme réussit à me faire taire au bout de quelques instants et je reconnus alors mon agresseur. Etrangement, il ne me faisait plus peur. Il n'eut pas le temps de me dire grand chose que j'étais déjà debout et filais à travers les arbres : Je n'avais même pas remarqué que nous étions dans un cimetière. Il me suivit et me demanda où j'allais. Je pris la peine de lui expliquer que je devais absolument rentrer à la maison car mon père allait me tuer si jamais il s'apercevait de mon absence. L'homme m'arrêta alors et m'annonça que je ne pouvais plus rentrer chez moi, que je ne pourrais plus jamais revoir ni mon père, ni ma mère, ni ma petite soeur parce que j'étais devenue un Vampire. Un Vampire... C'était dont ça... Tous ces gens qui avaient assisté à mon calvaire étaient des Vampires. L'annonce de cette nouvelle me fit l'effet d'un glaçon sur le coeur : Je ne reverrais plus ma petite soeur. Ce choc-là passé, la tristesse laissa la place à l'euphorie. Si je ne retournais pas à la maison, si je ne revoyais plus mon père, c'en était fini de la religion, du groupe de prière, de la chorale, des règles : J'étais libre! Je laissai exploser ma joie et me laissai même aller à balancer tout un tas de grossièretés : Je pouvais jurer autant que je voulais car plus personne n'allait me punir pour ça. J'étais excitée à l'idée de boire du sang et à l'idée de tuer! Ma joie fut cependant de courte durée car le Vampire (mon créateur qui s'était présenté sous le nom de Bill Compton) m'annonça qu'il y avait tout un tas de règles à respecter et, que nous n'avions pas le droit de tuer. Dans mon esprit, être un Vampire me donnait le droit de tuer mais il m'expliqua qu'il fallait s'intégrer à la société, ne pas boire de sang humain et surtout, ne jamais tuer qui que ce soit. Mon enthousiasme disparut aussi vite qu'il était apparu : J'avais hérité du pire créateur au monde... Il me tendis alors une bouteille et m'expliqua qu'il s'agissait de sang synthétique et que je devais boire ça : A peine le liquide fut-il dans ma bouche que je le recrachai. C'était absolument immonde! J'avais l'impression qu'il voulait me tuer... Non, pire, il voulait me torturer en fait! J'avais envie de m'amuser et lui me gâchait mon plaisir! J'avais été frustrée pendant des années, je voulais enfin goûter à la liberté et lui, il m'en empêchait! Il finit par m'emmener jusque dans un bar : Le Fangtasia. C'était un bar de Vampires. Je n'avais jamais mis les pieds dans un bar et encore moins dans un bar de Vampires alors lorsque je fus à l'intérieur, j'eus l'impression d'être à DisneyWorld! Il y avait des danseuses magnifiques et des humains qui, j'en étais sûre, ne demandait qu'à être goûté! J'avais envie de danser, de m'amuser, du boire du sang humain mais c'était sans compter sur Bill, le plus coincé des Vampires de la planète. Il me présenta Eric, son chef et, contrairement à Bill, il me fit obéir. Etant donné qu'il me proposa de boire du sang humain, je n'avais pas envie de lui désobéir, au contraire. Bill me laissa avec lui et retourna à sa petite vie tranquille. Je passai quelques jours en compagnie d'Eric, de Pam et de Chow (lui, il était presque aussi coincé que Bill) et ce fut absolument fantastique. J'eus le droit de boire du sang humain, de m'amuser mais mon trop plein d'énergie et de vitalité énerva rapidement Eric qui me ramena jusque chez Bill : Eric ne voulait plus s'occuper de moi et d'après lui, j'étais la punition de Bill, pas la sienne. Je ne prêtai pas attention à cette remarque : J'allais apprendre bien assez tôt pourquoi Bill avait justement été puni. Je fis la connaissance de Sookie, la petite amie humaine de Bill (et accessoirement la fameuse raison de la puntion de Bill) et si au départ j'eus envie de boire son sang, mon envie me passa rapidement parce que je m'entendis bien avec elle. Forcée de boire du Tru:Blood, je n'étais très en forme et Bill avait presque autant de règles que mon père. Heureusement, Sookie était là pour moi et ce fut même elle qui accepta de m'emmener voir ma famille : J'avais envie de revoir ma mère et ma petite soeur une dernière fois. Cette entrevue se passa très mal et je faillis tuer mon père : J'avais envie de me venger et d'éviter de futures souffrances à ma petite soeur. Bill arriva à tant et m'empêcha d'assassiner mon père. Il hypnotisa ensuite les membres de ma famille de façon à leur faire oublier que j'étais venue les voir. A la fin de cette soirée, je me couchai dans mon abri, en larmes, avec interdiction de revoir ma famille.


Le lendemain soir, lorsque je m'éveillai, j'étais seule. Bill n'était toujours pas rentré. La veille, lui et Sookie s'étaient disputés et j'étais rentrée seule à la maison. Oh, ils devaient probablement être encore en train de se réconcilier. Refusant de rester seule, je décidai de me faire belle et de sortir un peu. Le seul endroit sympa que je connaissais était le Merlotte's Bar et c'est là que je me rendis. Dès mon entrée, les regards des hommes se posèrent sur moi et je ne pus m'empêcher de sourire : C'était tellement agréable d'être regardée de cette façon. Je n'avais jamais fait attention au regard des autres auparavant. Peut-être s'étaient-ils déjà posés sur moi... Après tout, j'étais loin d'être moche : De mon vivant, j'avais la peau pâle, de longs cheveux roux, des yeux d'un bleu très clair et de jolies formes pour mon âge. En devenant un Vampire, ce physique, déjà pas si mal, s'était amélioré : Mes cheveux étaient plus souples et plus brillants que jamais, ma peau était lisse, d'une pure blancheur, quant à ma façon de me tenir, elle était beaucoup plus assurée et donc, plus séduisante. Et puis, à présent, je me maquillais, chose que je ne faisais pas lorsque j'étais humaine : Cela m'était interdit, comme tout le reste. Alors que je m'avançai à l'intérieur du bar, je remarquai un homme installé seul à une table : Il était charmant. Je l'observai un moment avant de m'installer à une table : Seule, comme lui l'était. Je fis mine de regarder le menu mais j'en profitai pour jeter quelques coups d'oeil dans sa direction. Je vis qu'il me regardait aussi et lorsqu'il se leva, mon coeur aurait fait un bon dans ma poitrine s'il avait été encore en état de battre. Il s'approcha de moi et me demanda s'il pouvait s'assoir avec moi : Comment aurais-je pu refuser? Non seulement il était charmant, mais en plus, il était galant. Je dois bien avouer qu'au départ, j'avais décidé de venir dans ce bar pour essayer de trouver un humain afin de boire son sang. A présent, ça n'avait plus d'importance. Tout ce qui comptait, c'était ce garçon qui avait décidé de m'aborder et de s'assoir avec moi. Quelque chose était en train de se passer, mais j'ignorais quoi. Nous échangâmes nos prénoms et il me complimenta sur mon sourire. Encore une fois, si j'avais été humaine, le rouge me serait monté aux joues. Je ne pus m'empêcher de sourire encore plus en entendant ces compliments. Malheureusement, mon sourire s'effaça rapidement quand Hoyt me demanda ce que je voulais boire. J'hésitai un instant, ne savant pas trop quoi répondre puis, je décidai qu'il ne servait à rien de mentir et lui annonçai que je voulais bien boire un Tru:Blood. J'étais anxieuse : J'avais peur de l'effrayer et qu'il s'en aille. Il ne le fit pas... Il ne s'éloigna pas et alla même jusqu'à me demander quel type de sang je voulais boire. C'était à présent définitif : J'étais sous son charme. Nous passâmes un long moment à discuter puis, je décidai de l'inviter à la maison et il acceptai. Une fois sur place, nous ne mîmes pas longtemps avant de nous embrasser. Soudain, mes canines firent leur apparition et je fus horriblement gênée et embarassée. J'avais tellement honte... C'était quelque chose que je ne contrôlait pas : Leur apparition n'était pas reliée qu'à la faim, elle était également reliée au désir. Hoyt se montra encore une fois compréhensif et adorable : « Ne les caches pas... Tu ne dois surtout pas avoir honte de ta vraie nature... ». Voilà les mots qu'il prononça. Je fus très émue et l'embrassai à nouveau. J'eus rapidement envie de passer au stade suivant mais nous n'eumes pas le temps de faire quoi que ce soit : Bill et Sookie rentrèrent à la maison et mon créateur mit Hoyt dehors. Je dus m'expliquer, lui assurer que je n'allais pas faire de mal à Hoyt, que je n'y étais pour rien si mes canines sortaient quand j'étais excitée... Et là, je montai m'enfermer dans une chambre, plus honteuse que jamais. Le lendemain, je reparlai de Hoyt à Bill et lui expliquai que je tenais déjà beaucoup à ce garçon et que si lui était capable d'avoir une petite amie humaine, alors je pouvais avoir un petit ami humain. Ce ne fut pas sans mal, mais Bill finit par accepter. Dans la soirée, Hoyt repassa à la maison et nous retournâmes chez Merlotte's. Ce soir là, je remarquai que Sam (le patron que je connaissais un peu puisque Sookie m'en avait déjà parlé) était débordé. Aussi, je décidai de lui proposer de m'engager : Même si j'allais passer beaucoup de mon temps avec Hoyt, j'avais envie de faire quelque chose de mon temps et travailler dans ce bar me paraissait une excellente idée. Sam fut adorable et accepta de me prendre à l'essai. Plus tard, dans la soirée, je passai ma première nuit d'amour avec Hoyt et ce fut magnifique, merveilleux. Un peu douloureux certes, puisque j'étais alors vierge, mais magnifique. Le lendemain, alors que nous recommencions à faire l'amour, je ressentis encore une fois cette douleur en moi, dans mon intimité et je fus choquée. Je repoussai Hoyt et me cachai pour ne pas lui montrer mon visage couvert de larmes de sang que je versais : Je venais de comprendre... Bill avait fait de moi un Vampire alors que j'étais vierge et les Vampires ne changeaient pas, ils guérissaient de leurs blessures... J'étais donc condamnée à redevenir vierge après avoir fait l'amour. J'aurais toujours mal au début de nos ébats... J'en étais malade... Hoyt se montra très tendre et me consola comme il le put : Il pensait que c'était merveilleux car entre nous, ce serait toujours une première fois. Il me fallut un moment pour accepter cette idée...

Je me réveille : La nuit vient de tomber. Je sors de mon abri et passe la tenue habituelle des serveuses du Merlotte's : Short noir, t-shirt blanc et baskets blanches. J'attache mes cheveux, me maquille légèrement et me rends au travail. Là-bas, je retrouve Hoyt. Il va rester là et attendre que j'ai le temps de faire une pause pour passer un peu de temps avec moi avant que nous rentrions à la maison lorsque le bar sera fermé. Voilà à quoi ressemble ma vie aujourd'hui : Le travail chez Merlotte's, le moments tendres passés avec Hoyt, l'apprentissage constant en compagnie de Bill. Cela dit, j'ai un peu peur que cette vie tranquille ne finisse par basculer. Les lycans ont récemment fait leur coming out et j'ai peur que cela ne fasse qu'empirer le ressentiment que les gens avaient déjà contre les Vampires. Avec d'autres créatures surnaturelles connues de tous, la tension est encore plus palpable et c'est quand il règne ce genre de climat que des drames se produisent...

Aaaah, Jessica ! J'ai beaucoup de compassion pour ce personnage - éternelle vierge x)

bref, Welcooome !

Oui... La pauvre

Merci pour l'accueil =]

Bienvenue parmi nous (ahh... hmmm... Jessica est de nouveau parmi nous ).

Merci pour vos messages d'accueil et d'encouragements ^^

Je n'ai pas oublié ma petite Jessica d'amour mais j'ai quelques petits soucis que je dois régler. Entre autres, un dos bloqué et un ******** qui est rentré dans ma voiture il y a 2 nuits de ça et qui bien sûr s'est enfui en laissant ma voiture endommagée

Dans des moments comme ça, on rêverait d'être un Vampire pour non seulement avoir l'ouïe assez fine pour entendre l'accident et surtout pour avoir la rapidité nécessaire pour choper le conducteur


Bref, tout ça pour dire que j'ai bien l'intention de poster ma fiche. C'est juste que... GRRR...

Bonjour à tous!

Je ne vous ai pas oublié mais ça a été pas mal chargé pour moi.

Bref, j'ai bien l'intention de faire cette fiche.

Cela dit, j'ai une question : J'ai une amie qui voudrait s'incrire et jouer Pam, mais elle n'est pas dans les personnages originaux alors je me demandais si il était possible de la jouer ou non? O_o

Pour le personnage de Pam, c'est bon en fait parce qu'elle a flashé sur un autre prédef (pas dans les personnages originaux) Donc, il est fort probable qu'elle choisisse ce personnage là héhéhé!

Pour ma fiche, elle est donc commencée et j'ai posté le début. J'ai pris une petite liberté et j'ai fait de Jessica une serveuse chez Merlotte's.

Spoiler:

N'hésitez pas si des choses ne vous plaisent pas. Je vais aussi prendre certaines libertés par rapport à ses parents et sa petite soeur étant donné qu'on ne sait pas grand chose d'eux. Voilà, voilà. En espérant que ce début vous va.

Double-post parce que...

J'ai terminé

Merci

Je m'occuperai de mes fiches pour les relations et le roleplay demain, à tête reposée! Je suis contente que la fiche vous plaise, Ô Grand Ordonnateur!

Pour ce qui est de ramener des amis, no problemo : J'en ai déjà réquisitionné deux MOUAHAHAHAHA!

Encore une fois, merci pour l'accueil =D

Bienvenue parmi nous Jessica; jolie présentation de fiche soit dit en passant ;)