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 « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'

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Ezéckièl L. Nièdziàl
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Ezéckièl L. Nièdziàl


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MessageSujet: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeJeu 22 Oct - 17:38


les Papiers d'Identité
« Vos papiers s'il vous plaît. Simple contrôle de routine avant de prendre la mer! »


« She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' Photo010


prénom(s). Ezéckièl Lìlihà

Assez impressionnants au premier abord comme prénoms c'est vrai. Mais c'est ainsi qu'on l'a nommée. Fille de pures Polonais, il ne fallait pas s'attendre à voir naître une Melody ou une Sarah, quoi qu'on pourrait voir dans son prénom des racines italienne, si on changeait l'orthographe. Quoi qu'il en soit, ça ne l'a jamais empêcher de vivre. On peut même dire qu'elle a toujours aimé avoir un prénom différent. Mais bon, vu qu'en général ça gène un peu, on a finit par l'appeler : Echo. Et quand on connait son deuxième prénom, c'est Lily, histoire d'américaniser un peu la chose. Du moins, quand les camarades d'école ne l'appelait pas « La Polàk »

nom(s). Nièdziàl

C'est surtout dans son nom qu'on reconnait la racine scandinave, n'est-ce pas ? D'après ce qu'on lui a dit, « Nièdziàl » est en fait un diminutif d'un autre nom purement polonais, qui n'est autre que « Niedzialkowsky ». On a sûrement simplifier au fil des années, pour les premiers immigrants. A moins que ce ne soit voulu. On n'en sait rien, et il semblerait qu'on n'en sache jamais plus

âge. 27 ans

27 longues années qui ne cesseront de se multiplier au fil du temps, jusqu'à finir par être un tas de cendre ... Mais c'est ça qui est cool justement.

date et lieu de naissance. Boston, 7 janvier 1982

Elle aurait pu naître dans un hôpital près de Varsovie, mais voilà, elle est issue d'une famille de migrant. Alors c'est dans un hôpital de Boston qu'elle vit le jour tandis que les infirmières ne comprenaient pas un traitre mot de ce que leur racontaient les heureux parents.

race. Humaine

Jusqu'à aujourd'hui, c'est l'idée de n'avoir qu'une vie pour profiter un maximum qui l'a fait vivre, et qui la rend si ... Ezéckièl. Alors à moins qu'elle ne trouve dans l'éternité quelque chose de plus excitant que la vie de mortelle qu'elle embrasse chaque jour, elle reste humaine, et pure humaine.

métier. Vous voulez dire avant, ou après l'épisode désintox' ?

Au départ, elle était Photographe et dessinatrice pour divers clients. Du moins, quand elle ne trainait pas dans la boîte de son pote Tony avec qui elle faisait les 400 coups. Et puis ... Les choses ont tournées, elle s'est retrouvée en désintox' pour des raisons bien plus compliquées qu'on pourrait croire. Depuis elle est ... chercheuse d'emplois ça marche ?




l'Existence est fragile
« Le voyage est court, alors essayons de le faire en première classe. Que dites vous d'un petit cocktail? »



« Un Roleplay ? Et si je vous disais d'aller voir ailleurs, vous le prendriez comment ? »





la Fin du Voyage
« Nous sommes bientôt arrivés. Quel dommage, j'aurais aimé encore longtemps vous parler. Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin... »



prénom ou pseudo. Amel - Cheerios
pays et région. France - Île-de-france
âge. 16 petites années qui vont vers leur 17e
célébrité sur l'avatar. Marion Cotillard <3
poste vacant. Nop !
fréquence de passage. Honnêtement, ça dépendra du boulot que j'ai à fournir pour les cours. Pendant les vacances, tous les jours sans problèmes. En période de cours, principalement le mercredi, et week end. Et dans la semaine si je ne suis pas en période de contrôle ;)
commentaire personnel. J'aurais préféré demander une goutte de jus de vampire, mais puisque ce n'est pas dans vos stocks hum ... je vais demander une bouteille de True Blood : AB ;)


Dernière édition par Ezéckièl L. Nièdziàl le Lun 26 Oct - 18:29, édité 15 fois
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Ezéckièl L. Nièdziàl
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeJeu 22 Oct - 17:38


l'Existence est fragile
« Le voyage est court, alors essayons de le faire en première classe. Que dites vous d'un petit cocktail? »



Citation :
Attention :

Les informations qui suivent son strictement privées. Elles appartiennent exclusivement et à durée déterminée au Walter Skoll Center, Orlando. Ce dossier est confidentiel et sujet à la loi du secret médical. Quiconque prendrait connaissance de ces documents serait soumis à la justice.

D'après la loi 101, Walter Skoll Center


...


Walter Skoll Center



    Dossier : 19837465
    Supervisé par : Mme Foreman



Ezéckièl Lìlihà Nièdziàl



Admise le : 28.11.2008


...


      « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' Photo011






      Nom : Nièdziàl
      Prénom(s) : Ezéckièl Lìlihà

      Lieu et date de naissance : Boston, 07.01.1982
      Lieu de résidence : Jacksonville

      Pathologie(s) : Dépendance aux drogues hallucinogènes
      Information(s) complémentaire(s) : Suspect dans une affaire judiciaire tenue sous surveillance médicale






Note du superviseur :

« La patiente paraît lucide. Elle ne présente aucun signe de dépendance extrême, et semble supporter la non-consommation avec facilité. Le sujet présente cependant un excès d'agressivité, en particulier lors des séances de psychothérapie. Elle ne coopère pas, et ne semble pas disposer à contribuer avec les forces de l'ordre. Elle nie toute participation dans l'affaire impliquant Xander Tonazzi. Il est difficile de communiquer avec elle : toutes éventuelles questions portant sur elle-même semblent donner lieu à un blocage caractérisé par une attitude sur la défensive. »

...





« Il y eut un bruit mécanique. Il y avait quelque chose dans cet engin antédiluvien qui travaillait dur pour faire apparaître sur l'écran les images qu'elle avait impatiemment attendu. Un magnétoscope. Ça faisait longtemps qu'elle n'en avait pas utilisé. Avec toutes ces avancés technologiques, on s'était tous mit aux lecteurs DVD et autres. Utiliser une cassette vidéo accompagnée du lecteur approprié relevait d'un effort colossale pour la jeune femme. Elle avait, certes, mit un temps fou avant de se remettre dans le bain, mais elle avait réussit. C'était le principale.
Elle s'était installée peut confortablement devant l'écran qui ne tarda pas à afficher une image un peu sinistre avec peu de couleurs, mais ça avait le mérite de dépasser le noir et blanc. Sur le boitier - le seul qu'elle avait pu récupéré - était indiqué « Séance n°27 du 02.03.2009 ». Sous ses yeux se déroulait le dernier dialogue qui s'était déroulé entre la psychiatre et sa patiente. L'évènement avait pour scène une simple salle, apparemment blanche. Sur le côté gauche, derrière celle qui poserait prochainement les questions, un miroir - certainement pour faire un minimum de décoration et prétendre à un espace conviviale. Pour seuls accessoires, les protagonistes n'avait que deux chaises autour d'une table. Tandis que l'une était habiller d'un vêtement blanchâtre, l'autre, d'un tailleur foncés vêtue portait à sa main un stylo prêt à heurter sa mine contre les feuilles de papier qui seraient les supports principales de cet interrogatoire. Une atmosphère froide régnait dans la pièce, non pas parce qu'elle disposait dans un lieu en endurantes froidure, mais parce qu'il parvenait aux yeux du spectateur une once glaciale dans les yeux de la patiente.
Le visage aussi dur que la jeune femme sur la cassette, Echo ne bougeait plus. Elle (re)vivait la scène au fur et à mesure que les répliques tantôt douces, tantôt claquantes sortaient de la bouche des deux personnes présentes là, de l'autre côté de l'écran :


    _V i o l e t : « Bonjour Ezéckièl, car c'est votre nom m'a-t-on dit ? »
    _E c h o : « Mais c'est que vous avez de grande oreille Mère-Grand. Vous avez assez bien entendue. Dites moi, vous êtes nouvelle hein ? J'vous ai encore jamais vu »
    _V i o l e t : « C'est le cas. Mais je ne suis pas là pour parler de moi. Mais plutôt de vous »
    _E c h o : « Comme si vous ne saviez pas déjà tout. Ezéckièl, droguée, internée contre son gré, totalement ridicule dans cette blouse hideuse ... Voilà, vous savez tout »
    _V i o l e t : « Allons Echo, car c'est comme qu'on vous appelle n'est-ce pas ? Je ne suis pas là pour vous juger, mais pour vous comprendre. Je suis de votre côté »
    _E c h o : « Alors là vous venez de faire deux erreurs. La première, vous avez très mal entendus, il n'y a que mes proches qui peuvent m'appeler ainsi. La deuxième, si vous étiez de mon côté, vous m'auriez fait sortir de c'te conne d'institution de mes deux depuis belle lurette »


Un ange passa, et fut témoin de l'univers muet qui venait de s'installer dans la salle. Seul le grésillement des néons au dessus de leurs têtes faisait office d'ambiance. Pas vraiment cool comme musique. Ezéckièl aurait bien aimé entendre un « Don't speak » chanté par Gwen Stefanie sur un instrumental magnifique plutôt que ce vacarme incessant qu'était le silence. Les deux personnes sur la vidéo se faisaient face. De la chambre d'hôtel où était Echo en ce moment même, on ne pu voir le sourire de Violet - la psychiatre - mais la jeune femme, elle, s'en souvient parfaitement.

    _V i o l e t : « Vous n'aimez pas vraiment les gens hein ? »
    _E c h o : « Erreur. J'aime les gens. Ce sont les toubibs et ceux comme vous qui m'enfermez sans raison que je n'aime pas »


Il y eut de nouveau ce blanc. Sur la vidéo, Ezéckièl reste de marbre. Elle ne bronche pas, n'est pas décidé à se laisser distraire. La psychiatre quand à elle se rend compte qu'elle touche quelque chose et décide de continuer :

    _V i o l e t : « Vous êtes très attachée à la famille si j'ai bien compris ... Parlez m'en un peu plus »
    _E c h o : « Mon père, ma mère et moi ... Voilà vous savez tout »
    _V i o l e t : « Et il n'y a que ça ? »
    _E c h o : « Si vous considérez les cons qui n'accepte pas les polonais comme de la famille, j'peux les rajouter aussi si vous voulez »
    _V i o l e t : « Ce n'est pas si moi je veux. C'est ce que vous, vous voulez. Vous devez bien avoir votre propre conception de la famille »
    _E c h o : « Vous essayez de me faire dire que j'appartiens à une mafia là ... Allez vous faire foutre ! »
    _V i o l e t : « Non, j'essaye juste de comprendre ceux à quoi vous vous êtes accroché pour vous permettre de survivre aux moqueries injustes des autres »


Chapitre 1 : « C'est quand on la voit qu'on sait que les anges existent » ;

...




« C'était une très jolie petite fille. Pour la rentrée, Casey l'avait habillée d'une magnifique robe bleu et avait coiffé ses cheveux un peu comme on l'aurait fait en 1930. Elle était magnifique. Mais pourtant, elle avait malheureuse mine. Sa nounou, âgée seulement d'un vingtaine d'années, toujours là pour elle, ne comprenait pas ce manque d'enthousiasme à l'idée de faire sa rentrée des classes. Elle avait 11 ans, était belle comme un cœur, avec des yeux d'un gris-bleu à en faire plus d'un jaloux, et était intelligente. Ce jour ne devait pas être une corvée pour une petite fille comme Ezéckièl.

    _C a s e y : « Je ne te comprends pas Lily » Car c'était comme ça qu'elle l'appelait, ça lui allait tellement bien disait-elle. « Qu'est-ce-qui ne va pas avec l'idée de la rentrée des classes ? »
    _E c h o : « Ils sont méchants les autres élèves »
    _C a s e y : « Mais non ... »
    _E c h o : « Si ! Ils rigolent parce que papa et maman ne parlent pas anglais, et ils m'appellent la Polàk. Ils font tombé mes cahiers, c'est comme ça chaque année ! »


Casey Goodwin comprit alors pourquoi la petite fille était ainsi depuis qu'elle avait eut la charge de s'en occuper. Elle ne lui avait jamais connut de camarades jusqu'ici. Mais elle avait simplement pensé qu'elle ne les voyait qu'à l'école ... Furieuse contre elle de ne pas avoir comprit tout de suite ce qui se tramait, elle eut cependant l'envie de se rattraper.

    _C a s e y : « Écoutes ma chérie, tu sais ce qu'on va faire ? J'irais voir le directeur et ... »
    _E c h o : « Non pas ça ! Après les autres vont dire que je suis une chiffe molle ! »


En tant qu'adulte, elle se devait d'agir en tant que tel. Mais elle-même savait ce que c'était d'être martyrisé et de ne pouvoir rien faire. Parce que résoudre les affaires comme les adultes le faisait menait toujours à un peu plus de honte pour l'enfant. Alors, la nounou eut une idée. Elle se pencha avec grâce près de sa petite protégée. Sa voix cristalline qui s'opposait tellement à la voix légèrement cassée d'Echo vint heurter ses tympans dans une douce mélodie. En quelques phrases, elle lui proposa le plan d'attaque qui lui permettrait de faire une dernière année dans le primaire tranquille.

    _C a s e y : « Et tu verras, on te laissera tranquille ! Après ça, tu pourras tranquillement étudier, sans qu'on t'emmerde. Il ne te restera plus qu'à faire de superbes études et tu deviendras officiellement la meilleure de tous ! Mais avant ça, il faut que tu me promettes une chose ... veux-tu ? »
    _E c h o : « Qu'est-ce-que je dois promettre ? »
    _C a s e y : « Tu es une petite fille merveilleuse, et tu deviendras sans conteste une femme merveilleuse ! Mais promet moi une chose ... De toujours avoir confiance en toi. C'est toi la meilleure. C'est toi qui décide de ta vie, et non les autres. Ne les laisse jamais te marcher sur les pieds ! Je ne te demande pas d'être une délinquante attention. Juste de ne pas être trop gentille, de t'imposer. Il n'y a que toi qui dicte les règles ! Et si tu as des doutes à l'avenir, n'hésite pas. Surtout pas. Je serais toujours la pour toi ! Je te le promets ! A la vie - à la mort ! »
    _E c h o : « A la vie - à la mort ! »


La petite Polàk ne serait plus. Elle serait dès à présent, Echo, et personne d'autre. De simples paroles de son ange gardien, et elle fut remise sur pied. Ses yeux s'illuminèrent aux moindres mots de la belle blonde, et bientôt un merveilleux sourire éclaira son visage. Elle essuya les débuts de larmes qui avaient faillit couler le long de sa joues, et sauta au coup de sa super-nounou. « Tati Casey » comme elle aimait l'appeler.

Il avait plu sur Boston, les rues étaient parsemées de flaques d'eau dans lesquelles ses cahiers ne se retrouveraient pas cette année. Casey la laissa à l'entrée du portail de l'école élémentaire, elle lui fit un dernier clin d'œil. Une petite boule au ventre tout de même, la jeune polonaise d'origine se dirigea nonchalamment vers l'emplacement où elle devait se trouver pour savoir quelle serait sa classe cette année. Sur le chemin, on entendait « Ouh la Polak ! Ouh la Polak ! ». Echo eut bien envie de pleurer, comme chaque fois. Mais elle n'en fit rien. Elle les ignora. Au même moment, un peu plus loin derrière le grillage, Casey se serait bien lever de son banc pour en foutre une à tous ces salles mioches. Mais à l'instar de la belle polonaise, elle n'en fit rien. Elle se contenta de regarder, la mâchoire serrée, confiante en sa petite protégée. Lorsqu'un petit rouquin vint le lui dire sous le nez, elle se retourna, le fusilla du regard. Jamais ses yeux gris-bleu ne parurent aussi noir. Il s'arrêta trente seconde, puis rigola en reprenant sa comptine ridicule. Un « Et toi « Poil de Carotte » Je t'ai demander quelque chose ? Coupe ta tignasse de chacal et tu pourra venir critiquer mes origines ». L'agresseur verbale s'arrêta net. Surpris du tact dont faisait preuve la petite brunette, il se contenta de faire demi tour. Casey en fut ravit, et se frotta les mains rien qu'à l'idée d'en voir d'autre se faire rembarrer. Ezéckièl ne méritait pas d'être maltraitée par des imbéciles dans son genre. Il était temps que le sort se retourne contre eux un peu. Le marche d'Echo repris. Elle se surpris elle-même d'avoir répondu aussi rapidement, sans peur. C'était surement l'adrénaline. Mais qu'importe ! Elle ne s'était jamais autant sentit en confiance qu'aujourd'hui. Quelques instant plus tard, « Joe la terreur » fit surface. C'était lui le plus méchant de tous avec elle. Et c'était cette énergumène qui s'amusait à faire tomber ses cahiers à chaque fois. Elle le sentait venir avec sa tronche de rongeur. Il s'approcha, d'un pas déterminé, son sourire mesquin aux lèvres, et tout naturellement tenta de prendre des mains d'Ezéckièl le petit cartable qu'elle avait. Mais contrairement à toutes les autres fois, la petit brune résista. Elle est là, à lui dire non du regard, à mettre toute la force de ses petits bras pour l'empêcher de prendre son sac. Elle force, encore ... encore. Le petit garçon finit par lâcher. Battue au départ, il voit finalement la victoire au bout de ses doigts quand il se rend compte que sa victime a les fesses par terre à cause de l'effet secondaire de la force. Tout le monde se met à rire. Echo, qui se pensait forte, retombe au fin fond de sa détresse. Tout n'est plus que silence, horrible ! Ses yeux commencent à s'embuer de larmes. Elle s'apprête à se relever quand Joe prend son sac pour le vider dans la flac d'eau la plus proche. Et dire que dans tous ça, les maîtresses d'école ne font rien ... Un jour elle quitterait ce coins rempli de malfrats, et elle s'installerait dans un coin tranquille ... Loin de tous les grabuges et toutes les précarités du quartier de Boston dans lequel elle vivait ! Elle jette un dernier regard en direction de Casey, celle-ci qui intérieurement brûlait d'envie d'attraper par le col ce petit salop, lui fit un signe ... Deux mouvements de bras, un clin d'œil plus tard, et Echo finit par sourire. Elle se releva, prit des mains le sacs de Joe et sa voix de tigresse se fit entendre :

    _E c h o : « Hey toi ! »


Comme le lui avait indiqué son ange gardien, elle s'empara du bras droit de son agresseur, le tira vers l'arrière tandis qu'avec sa main gauche elle portait son corps gras vers l'avant. Une fois immobilisé par une clef de bras, Joe se contenta de gémir. Avant de le faire tomber à terre, Ezéckièl prononça fièrement d'une voix pleine d'assurance :

    _E c h o : « Que celui qui vous à mue vous remue et vous emporte ! »
    _J o e : « Quoi ?! » Prononça le gros lard une fois à terre telle un cafard répugnant
    _E c h o : « C'est du Shakespeare, banane ! Il faudrait peut être un jour que tu arrêtes de t'empiffrer et que tu te cultives autrement qu'avec tes bêtises ! »


D'un pas déterminé, elle le poussa de ses pieds, le laissant rouler à terre. Une larve n'aurait pas fait mieux ! Il était magistral ainsi dans cette position !

    _E c h o : « Mais bon, de toute façon, j'avais bien vu tout d'abord à ta tronche d'hamster que tu étais un meuble ! »


Cette fois-ci ce ne fut pas la mégère qui fut apprivoisée, mais bel et bien « Joe la terreur » a présent plus victime que jamais ! Un nouveau silence se fit sentir dans la cours. Mais pour une fois, il ne donnait pas envie de pleurer. Au contraire. Elle se sentait tel le héros qui gagne à la fin des films et que personne n'attendait comme vainqueur. Forte, et sûr d'elle, elle sourit et repris ses affaires pour se rediriger tranquillement vers le rang. A l'autre bout de la petite cours, Casey se réjouissait ! Son petit poulain était le meilleur ! Mais ça, ça n'était pas du même gout que la maîtresse qui avait vu la scène. Elle s'était avancé telle une furie pour engueuler la petite brune pourtant première victime. Les rares fois où elle avait disputé les méchants qui embêtait la petite polonaise, ça n'avait servit à rien. Echo ne faisait qu'une bêtise, et elle était punit ... c'était injuste ! Mais ça l'a rendait tellement fière ! Au loin, Casey se leva de son banc pour se précipiter à la rescousse de sa protégée, et remettre à sa place cette conne d'institutrice qui avait de la merde dans les yeux plus qu'autre chose. Mais elle fut arrêtée par sa petite Lily à elle. Elle lui avait fait signe qu'il n'y avait pas mort d'homme et qu'elle gérait. Après tout, elle était maître de son destin, et ne se laissait pas marcher sur les pieds. Elle gèrerait parfaitement la situation ! Une fois de plus fière de la petite fille qu'elle avait vu grandir au fur et à mesure de sa courte vie de mortelle, elle se rassit sur son banc et regarda la scène. « Vous savez madame, vous devriez être un peu plus impartiale ! C'est lui qui a commencé. C'était de la légitime défense » avait dit la petite brunette. En plus d'être à présent forte aussi bien mentalement que physiquement, elle était intelligente, et savait s'en servir ! Elle devait le reconnaitre, Casey était impressionné par cette petite fille qui bientôt deviendrait une adolescente et plus tard une femme. Le coup de Shakespeare resterait gravé dans sa tête ! Les cours de théâtre lui avait drôlement servit à quelque chose !

Un peu plus tard, lorsque la majorité des enfants étaient entrés dans leur classe, Joe la victime se décida enfin à faire face à tous les autres élèves. Honteux qu'il était, il avait préféré marcher en retrait des autres. Casey, qui ne pu s'empêcher d'intervenir ne serait-ce qu'une fois dans la vie d'Echo, se leva de son banc et s'approcha du petit con qu'était cet enfant, laid comme un poux en plus de ça. Elle l'attrapa par le col, comme elle avait si bien eut envie de le faire depuis le début et lui dit d'une voix dure et claire :

    _C a s e y : « Je te déconseillerais de t'en prendre à nouveau à Ezéckièl mon petit. Ou je te jure que ce n'est plus à elle que tu auras à faire, mais à moi ! Je suis claire ?! »


Parfaitement claire ... Après cet épisode, Ezéckièl n'eut plus vraiment d'ennuis. Du moins, avec les autres élèves. Parce qu'avec les professeurs c'était légèrement différent. Mais elle était devenue celle que Casey avait prédit. Une personne forte, qui ne se laisse pas faire et qui tiens les reines. Plus tard, une fois adolescente, quand elle parlerait de ses amours avec sa Tati Casey, la nounou entendrait : « Faut savoir se faire désiré Cas' . C'est pas lui qui va m'attirer dans ses filets, mais moi ! Tu vas voir qui c'est qui va avoir le dernier mot. Je veux ce mec là, et je l'aurais. Quand on veut, on peut. Or là, je le veux. Tu verras, bientôt il me suppliera d'avoir le droit, ne serait-ce que d'aller au cinéma avec lui. Tu m'as dis un jour qu'il ne fallait pas se laisser marcher sur les pieds, et s'imposer ... Et ben ça marche aussi en amour ». James sera l'une de ses conquêtes dont elle aura été fière, et signera le début d'une ère Ezéckièl parfaite ! »

...


« Violet avait lâcher son stylo depuis le début du récit d'Echo. Elle n'avait pas l'air de vouloir prendre des notes. C'est surement ce qui contribua à l'impression de ne pas être épier pour une fois ...

    _V i o l e t : « Donc si j'ai bien compris c'est pour ça que vous êtes agressive envers moi ... parce que votre nounou vous à appris à ne pas vous laissez marcher sur les pieds »
    _E c h o : « J'ai jamais dis qu'elle m'avait apprit à être violente. J'ai dis qu'elle m'avait donner confiance en moi c'est tout. Et je ne suis pas agressive. Je me méfie juste des gens comme vous ! »
    _V i o l e t : « Et pourquoi dont ? Je suis de votre côté Ezéckièl, je ne suis pas là pour vous enfoncer »
    _E c h o : « Woua ! Mais c'est que vous avez bien appris votre scène ! Mais bon, c'est un peu répétitif je trouve. Je ne sais pas qui est l'auteur, mais en tout cas, il est très mauvais ... Et pardonnez-moi si c'est de vous qu'on parle mais ... Je ne fais qu'être honnête, car après tout, c'est ce qu'on me demande dans cet entretien, non ? »


Violet s'arrêta pour regarder fixement Ezéckièl. Elle avait cet air à la fois déçut et compréhensif, la Echo devant l'écran s'en rappelait parfaitement. C'était ça qui l'avait déstabilisée. Pour une fois qu'elle avait eut à faire avec une psychiatre un minimum humaine. C'était surement paradoxale mais jusqu'à lors, tous n'avaient cessé de prendre leur patiente comme un animal de laboratoire, tous l'avait prit pour une conne en pensant lui faire avouer des choses sans l'alerter du traquenard. Que des bouffons ! Mais ce jour là, tout avait été différent. Il n'y avait pas que violet ... il y avait aussi Echo. Ce jour là, tout avait été autrement.

    _V i o l e t : « Ce n'est pas faux ... Vous avez raisons, après tout, on vous demande d'être vous-même, d'être honnête aussi bien avec nous qu'avec vous. »
    _E c h o : « Vous apprendrez que j'ai toujours raisons de toute façon ... »
    _V i o l e t : « Soit ... Vous avez l'air de vouloir rester sur votre position, alors dites moi un peu ce que vous nous reprocher. »
    _E c h o : « Mais je vous reproche d'être simplement vous »
    _V i o l e t : « Et que sommes nous donc dans ce cas ? »
    _E c h o : « ... Des guêpes »
    _V i o l e t : « Des guêpes ? Pourquoi nous comparer à ça ? »
    _E c h o : « Parce que c'est moche et que je n'aime pas ça »
    _V i o l e t : « Et pourquoi n'aimez-vous pas ça ? »
    _E c h o : « Avec tous vos « Pourquoi ? » J'ai bien envie de vous répondre « Parce que » vous voyez le genre ? »


Une nouvelle fois, Violet s'arrêta. Surement pour réfléchir. Mais Echo se rappelle de ce moment précisément. La psychiatre avait eut un moment d'arrêt. Elle avait remit une mèche de cheveux en place, tandis que de l'autre côté de la table, Ezéckièl changeait de position. Elle croisa les jambes, s'appuya contre le dossier de sa chaise et imita de ses bras le mouvement fait avec ses jambes. Elle venait de poser une colle à son adversaire pour cette joute verbale et elle le savait. Maintenant que la petite Lily voyait la scène de l'extérieur - de l'autre côté de l'écran - elle pouvait analyser leur dialogue. Elle restait là, calme, se contentait de regarder.

    _V i o l e t : « C'est trop simple de répondre par « Parce que ». Je croyais pourtant que vous étiez le genre de personne a aimer prendre des risques et aller dans la complexité »
    _E c h o : « Et c'est trop simple de se contenter de dire « Pourquoi » ... Je ne fais que m'adapter à votre façon d'être. Parfois pour vaincre un ennemie, il faut savoir le prendre à son propre jeu, et agir de la même manière que lui »
    _V i o l e t : « Je suis donc un ennemie à abattre ? »
    _E c h o : « Vous êtes une guêpe vous vous rappelez ? Avec son dard caché pour mieux attaquer »
    _V i o l e t : « C'est seulement quand on l'attaque que la guêpe pique, ne savez-vous pas ? »
    _E c h o : « C'est bien pour ça que je n'attaque pas. J'attends, tout en me méfiant de son aiguillon »
    _V i o l e t : « Et qui ne sait où est son aiguillon ? Vous êtes en mesure de l'éviter n'est-ce pas ? »
    _E c h o : « Le problème est que vous êtes une race assez coriace de guêpes, et ce n'est pas à la queue que vous le portez, mais à la langue. C'est bien plus dangereux »
    _V i o l e t : « Donc vous avez peur c'est pour cela que vous êtes sur la défensive »
    _E c h o : « Je ne suis pas sur la défensive. Juste préventive »


Une nouvelle fois, Violet eut ce temps d'arrêt auquel Echo avait finit par s'habituer. Encore une fois en discutions intérieur avec elle-même, la psychiatre se contenta de regarder cette belle brune au visage à la fois si naturelle et pourtant magnifique. La plus part du temps, beauté signifiait superficialité, et démesuré. Ezéckièl était différente. Elle avait ce visage simple, naturelle, et c'est ce qui l'a rendait belle. Certains ne l'a trouveront pas à leur gout ... Mais on ne pouvait pas nier que ce visage doux et fort à la fois, orné d'un regard gris-bleu dansant tantôt avec une endurante froidure, tantôt avec une réconfortante chaleur, soit beau. Et cette jeune femme avait quelque chose à cacher. Cependant, la psychiatre eut du mal à croire que ce soit quelque chose qui vaille la peine de la laisser enfermer dans un institut.

    _V i o l e t : « Vous avez dit que votre nounou vous avait prédit un brillant avenir ... a-t-elle eut raison ? »
    _E c h o : « Je rêve ou vous battez en retraite ? »
    _V i o l e t : « Je suis une guêpe non ? Je ne pique qu'en raison d'une attaque, or, si je me rappelle bien, vous n'attaquez pas. N'est-ce pas ce que vous avez dit ? »
    _E c h o : « En quoi ma vie professionnel ait à voir avec le fait que j'suis, aujourd'hui dans un centre de désintox' qui n'est qu'un prétexte pour me garder à porter de main des flics ? »
    _V i o l e t : « Je ne suis pas là pour vous enfoncez Echo ... Juste là pour vous comprendre. Savoir qui est cette personne en face de moi. N'est-ce pas par la carrière professionnel qu'on apprend à connaitre une personne ? »
    _E c h o : « C'est Ezéckièl ici, pas Echo ... au départ, j'étais partie pour être responsable marketing. Avec mon expérience du théâtre, j'avais le profil pour entuber les gens et leur faire croire que mon idée était la meilleure. Mais j'ai préférer avoir une vie plus mouvementée, avec moins de stresse et plus de liberté. Alors je suis devenue Disigner. Ou tout du moins, photographe et dessinatrice à mon compte »
    _V i o l e t : « Et Casey a été fière de vous ? »
    _E c h o : « Au départ, elle a juger que c'était trop risqué ... Et puis un soir, je lui ai donner rendez-vous sur la terrasse d'un café et elle a vu ma première création, accroché, là au mur d'un bâtiment ... Elle était émerveillée ! Ce n'était qu'une photo pour promouvoir l'ouverture d'un nouveau cinéma. Mais c'était mon premier contrat, et c'est ce qui m'a valus par la suite plusieurs contrat »
    _V i o l e t : « C'est ce genre de contrat qui vous à mener à Mr. Tonazzi »


Echo avait baisser sa garde. Après tout, jusqu'ici, cette femme avait été sympa. C'était l'une d'entre eux, mais elle restait différente des autres. Elle s'était mise à parler d'elle-même, et tout ce qu'elle avait récolter, c'était tomber dans le piège que lui tendait cette Violet. Cette dernière avait jouer la carte de la gentillesse pour mieux lui faire à l'envers. Voilà pourquoi elle était agressive !

    _E c h o : « Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais sûr que vous en viendriez là ... Non enfait je sais exactement pourquoi ! Parce que vous êtes le genre de guêpe qu'il faut exterminer ! Pire ! Vous êtes un frelon »
    _V i o l e t : « Pourquoi vous énervez vous ainsi Ezéckièl ? Le sujet Tonazzi serait-il quelque chose de tabou ? »
    _E c h o : « Ca ne l'était pas avant que vous et les autres cons vous amusiez à m'enfermer pour quelque chose dont je ne sais rien ! »
    _V i o l e t : « Je ne cherche en aucun cas à vous accusez de quoi que ce soit. Je vous le promets. Je cherche juste à vous connaître. Ce qui vous à pousser à quitter Boston pour venir à Jacksonville. Ce n'est pas la porte à côté après tout ... »
    _E c h o : « Vous apprendrez que je suis quelqu'un qui aime jouer avec le feu Violet, car c'est votre nom n'est-ce pas ? On a qu'une vie, et je suis du genre à lui donner un minimum de mouvement. Je n'aime pas la facilité, c'est vous même qui l'avez dit »
    _V i o l e t : « C'est donc pour ça que vous avez quitter le Massachusetts et vous installer en Floride ? »
    _E c h o : « En partie, oui. J'avais le choix entre adhérer à une galerie d'art dans Boston, ou ouvrir la mienne à Jacksonville. Un gars m'avait contacter pour me proposer d'acheter quelques clichés pour la maquette d'une groupe de rock. Il était intéresser par mon travail, et ma proposer un local pour que j'ouvre ma galerie dans le but de faire un partenariat. J'ai tenter ma chance c'est tout »
    _V i o l e t : « Et c'est comme ça que vous en êtes venus à être la photographe pour divers groupe de musique, ou pour certains jeunes label ? Et travailler par la suite pour Mr. Tonazzi. J'ai lu dans plusieurs article que son pub produisait beaucoup de jeune groupe et que son label avait lancé plusieurs groupe locaux »
    _E c h o : « Vous ne lâcherez rien en ce qui concerte Xander hein ? »
    _V i o l e t : « Si c'est comme ça que vous le percevez. Je ne suis pas là pour parler de Tonazzi, mais de vous. Je veux vous connaitre, c'est tout. Et j'ai cru comprendre que cet homme là faisait partie intégrante de votre vie. Je juge seulement bon d'en savoir plus sur vous et lui »
    _E c h o : « Vous êtes une piètre menteuse. Ça fait peine à voir »
    _V i o l e t : « Et vous, vous faites une piètre muraille de chine. Je vois très bien que vous avez envie de parler. Ca fait des mois et des mois que vous êtes là, sans contacte, sans personne à qui parler. Et aujourd'hui, vous êtes face à une personne en qui vous pouvez avoir confiance, et ça vous tente. N'hésitez pas, lancer vous »
    _E c h o : « Vous manquez humilité dit donc ... j'vous croyais plus humble que ça »
    _V i o l e t : « Et moi je croyais que vous aimez jouer avec le feu ... Qu'est-ce-que vous attendez ? »


Ezéckièl hésita. La petite Lily avait apprit à ne pas se laisser marcher sur les pieds, et surtout être celle qui dirige. Entre elle et violet, c'était fifty-fifty ... ni l'une ni l'autre ne dominait plus ou moins. L'envie de prendre l'ascendant une bonne fois pour toute et de ne pas lui donner ce qu'elle cherchait depuis le début - elle le savait - était trop grande. Mais bizarrement, elle s'était laisser aller. Derrière l'écran de son téléviseur, enfermée dans sa chambre d'hôtel, Echo connaissait déjà ce qui se passerait. Depuis le début, elle regardait cette vidéo comme elle aurait regarder un film qu'elle avait déjà vu 27 fois. Elle savait que sa personne du passé allait craqué et commencer un second récit :

    _E c h o : « C'est un ami à moi qui a parler à tonazzi de mon travail. Du coup, un soir, il m'a donner rendez-vous dans son pub. C'est là qu'à eut lieu la rencontre »


Dernière édition par Ezéckièl L. Nièdziàl le Lun 26 Oct - 18:54, édité 77 fois
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeJeu 22 Oct - 17:39



Chapitre 2 : « Il y a des rencontres qui font une vie » ;

...




« C'était assez bruyant rien qu'à l'entrée du Pub. A en voir l'enseigne, les vigiles, et surtout le monde à l'entrée, on pouvait dire que ce Tonazzi gagnait bien sa vie. Pourtant, d'après ce qu'avait entendue Echo, il ne tenait qu'un petit Label, et n'était même pas connut à l'échelle nationale. Même si l'enceinte qu'il dirigeait paraissait marché du tonnerre, ça n'égalait pas le moindre du monde les clubs d'Orlando ou Miami. Elle était curieuse de rencontrer le fameux Xander qui voulait de ses services. Sully - qui avait parler d'elle à Tonazzi - lui avait dit que c'était un mec qui savait y faire avec les gens, et qui était un vrai business man, de quoi la faire décoller dans sa carrière si elle arrivait à se le foutre dans la poche. Ce soir, elle était donc venu dans l'esprit de faire tomber l'italo-américain dans ses filets. Elle avait en plus de ça refuser plusieurs offre pour s'occuper du cas Tonazzi. Un coup de pocker, mais elle dirigeai sa vie comme ça depuis qu'elle avait l'âge de ses premières baises, alors autant continuer. Echo, c'était une femme sûr d'elle qui, en général, en mettait plein la vue grâce à son franc parlé, et sa vision des choses. Ce n'était pas le genre de pouliche superficiel. En réalité, c'était pas son naturel et son attitude un peu rétro qui faisait d'elle quelqu'un de convoitée.
Elle n'eut aucun mal à rentrer. Son nom était sur la liste, et d'après la réaction du vigile, elle était attendue avec impatiente. Ca lui donnait déjà des cartes à jouer. Elle savait dors et déjà que si elle voulait lui en mettre plein la vue, il fallait qu'elle se laisse désiré. Une fois à l'intérieur, elle fut agréablement surprise de l'ambiance dans les tons grenat. C'était vraiment magnifique. Ce Tonazzi marquait déjà un bon point : l'espace était à son gout. La musique était jouer assez forte. Un groupe, apparemment peut connut, se produisait sur scène. C'était un groupe un peu dans le genre « Waiting For Chelsea ». Ezéckièl était déjà dans une atmosphère agréable, en plus de ça, il y avait un bon groupe sur scène, quoi de mieux pour commencer une bonne affaire ? C'est dans cet état d'esprit qu'elle s'enfonçait à travers la foul quand elle vit, à l'étage, son pote Sully. Elle lui fit signe, et se dirigea alors dans sa direction. Ce n'est qu'une fois à côté de lui qu'elle fit la rencontre du fameux Xander Tonazzi dont on lui avait tant parler.

    _T o n a z z i : « Ezéckièl Nièdziàl je suppose ? »
    _E c h o : « C'est ça, vous avez l'honneur de me rencontrer, j'espère ne pas vous avoir fait trop attendre »
    _T o n a z z i : « Plein d'humilité à ce que je vois. Ça me plait, ça me plait ! »
    _E c h o : « Vous n'êtes pas compliquer à satisfaire à ce que je vois »


L'italo-américain se mit à rire. Il l'a fixa du regard. Un regard d'un vert étonnant s'affrontant contre le gris-bleu d'une brunette qui promettait d'aller à la hauteur de ses attentes :

    _T o n a z z i : « Allons donc nous assoir autour de quelque coktail, ce sera mieux pour parler »


Il avait eut cette façon de le dire qui ne laissait en réalité aucun choix. Ça plaisait également à notre photographe. Ezéckièl ne le connaissait que depuis quelque seconde, pourtant elle savait dors et déjà qu'ils allaient faire une bonne équipe. Il avait cette même façon de penser et d'agir. Une attitude qui l'énervait tout comme la fascinait. Ils étaient sur la même longueur d'onde, et c'est ce qui promettait un belle avenir ensemble. Ils avaient parler tout d'abord de leur carrière respective. Ainsi, Echo avait raconter comment elle avait choisit la photographie plutôt que la filière marketing et comment elle s'était retrouver à être assez reconnue à Boston avant de tenter sa chance à Jacksonville :

    _T o n a z z i : « Vous avez l'air de savoir ce que vous voulez ... Vous êtes joueuses n'est-ce pas ? C'est ce que j'aime chez mes partenaires »
    _E c h o : « Vous pouvez me tutoyer, maintenant. Je crois que nous sommes suffisamment sur la même longueur d'onde pour entrevoir un de passer à l'échelon supérieur »
    _T o n a z z i : « Tu as vu tout à fait juste. Je crois avoir trouver le photographe que je cherchais »
    _E c h o : « Et tu n'as pas encore vu mon travail. Réserve toi un peu d'émerveillement pour après »


De nouveau, ils s'échangèrent ce regard à la fois complice et concurrent. Plus tard dans la conversation, ils en vinrent à l'histoire de Xander. Echo apprit que ce dernier était issu d'une famille de migrant italien. Son père était charpentier et sa mère femme de ménage. Lorsqu'il avait choisit de miser toute ses économies dans le vieux pub qu'il a racheter, il avait perdu le soutiens de son paternel. Pourtant, il n'avait pas baisser les bras, et s'était battue. Pas assez bon musicien pour se faire remarquer malgré sa voix soul enivrante, il s'était lancer dans la composition pour certain amis artiste, et avait finit par se faire un petit nom à l'échelle locale. Finalement, avec la marge de bénéfice qu'il faisait avec son pub, il a tenter un second coup de pocker et a monter son propre label. Musicien, bon vivant et business man à la fois ... C'était à la fois flippant et kiffant. Il y avait de quoi se laisser tenter. Ce mec là allait propulser sa carrière c'était certain. Mais il pouvait tout aussi bien l'entuber et faire du fric dans son dos. Elle connaissait ce genre de mec pour agir de la même manière elle même.

    _E c h o : « T'aurais pu simplement investir dans ton pub. T'as miser vraiment gros avec ton label »
    _T o n a z z i : « C'est vrai. Mais n'est-ce pas ce qui est fascinant dans la vie ? Jouer avec le feu et ... »
    _E c h o : « Et savoir que l'on peut tout perdre à n'importe quel moment ? C'est un peu comme acheter des actions et jouer à la bourse. La roue tourne ... Mais c'est ce qui me plait dans la vie. La condition de mortel est ce qui a de plus enivrant ! »
    _T o n a z z i : « Puisqu'il faut mourir, autant vivre à en crever »
    _E c h o : « C'est clair ! Je préfère mourir en me disant que je me suis éclater, plutôt que vivre une existence fait de monotonie du à la peur et la prudence »


Tous deux cessèrent de parler un instant, se focalisant sur le groupe qui se produisait sur scène. Entre eux le courant passait comme une lettre à la poste. Sully les avait abandonner à leur discutions depuis un baille, profitant de quelques gonzesses près de la scène. Cependant, il jetait quelque coup d'œil en direction de son amie, histoire de prendre des nouvelles. Celle-ci profita de ce moment de flottement dans la conversation pour lancer un clin d'œil révélateur à son acolyte. Celui-ci comprit rapidement que tout se passait bien. Quelques instant plus tard, un serveur passa par là avec quelques boissons sur son plateau. Tonazzi en prit deux, et en donna une à son interlocutrice. Il brandit son verre en sa direction et prononça simplement :

    _T o n a z z i : « Je propose qu'on trinque ! »
    _E c h o : « Et à quoi trinquons nous ? Mes beaux yeux ? »
    _T o n a z z i : « A notre colaboration »


Il fut formel. Sa manière de la prononcer fut tellement naturelle ... Echo se demanda en premier lieu si ce n'était pas un traquenard ou quelque chose dans le genre :

    _E c h o : « Tu n'as même pas vu mon travail »
    _T o n a z z i : « Je sais, mais le travail d'un être est toujours le reflet de sa personnalité. J'aime la Ezéckièl devant moi ... Alors j'aimerais son travail »
    _E c h o : « Je pensais que le grand Tonazzi était plus compliqué à séduire. J'avoue être un peu déçue tout de même »
    _T o n a z z i : « Et moi je pensais que la grande Nièdziàl serait plus facile à convaincre »
    _E c h o : « Et bien la grande Nièdziàl te l'a mit dans le cul, parce qu'elle n'est pas n'importe qui »
    _T o n a z z i : « Et a-t-elle déjà une idée de sa réponse ? »
    _E c h o : « Regarde la bien ... Dans le plus profond de son regard que tu peux ... Est-ce-qu'elle a une tête à vouloir accepter ? »
    _T o n a z z i : « A vrai dire, la beauté de ses yeux m'empêche de réfléchir, mais je me dis que si elle est toujours là à discuter avec moi, c'est qu'elle est intéresser »
    _E c h o : « Alors il se pourrait bien qu'elle accepte »


Le sourire qu'ils s'échangèrent sella leur accord. Ils se serrèrent par la suite la main, burent ensemble encore un moment, et seulement après, les yeux gris-vert de l'italien se posèrent sur les clichés d'Ezéckièl. Il en fut ravit, et confirma ses impressions. Les œuvres étaient bel et bien le reflet de son auteur. En l'occurrence, les clichés et croquis d'Echo était bel et bien le miroir qui reflétait l'image de cette étonnante femme. Il continuèrent alors à parler, encore et encore. Ils se découvrirent des points communs, comme des différences. Ils prirent le bec amicalement quand à la question de la politique monétaire, l'un préférence la théorie monétariste, l'autre keynésienne. Mais rien de tout ça ne les empêchèrent de bien s'entendre. De temps en temps ils se quittaient pour s'occuper de leur propre personne, mais pour mieux se retrouver et continuer de parler. La soirée passa assez vite, et elle ne s'arrêta pas de si tôt. Alors que le jeune groupe finissait sa prestation, c'est quatre jeunes hommes et leur acolyte féminin qui firent leur entrée sur la scène pour un concert acoustique qui en fit hurler plus d'un. Curieuse de voir qui étaient ces gens qui suscitaient autant d'enthousiasme dans la petite foule amasser devant la scène, Echo se retourner. Ce fut finalement elle qui fut émerveiller. Ils étaient là, tous les cinq, sur la scène. Elle n'en croyait pas ses yeux. Elle ne pu s'empêcher de les acclamer elle aussi. Après tout, ils étaient l'un de ses groupes préférés ! La musique retentit et la belle rouquine commença à chantonner de sa superbe voix « No sire, No I don't wanna be the blame, Not any more » . Hayley Williams était là, à quelque mettre d'elle.

    _T o n a z z i : « Tu aimes à ce que je vois »
    _E c h o : « Dire que j'aime serait un euphémisme, c'est bien plus que ça ! J'adore ! »
    _T o n a z z i : « Ils sont pas mal, très en vogue surtout. Ca rapporte beaucoup, alors j'ai tenter ma chance »
    _E c h o : « Attends ... Explique moi comment t'as fait pour les faire venir. Ils doivent être blindés ! Avec tous le grabuge autour de leur prochain album, et puis les problèmes internes du groupe, et aussi la notoriété qu'ils ont avec leur nouveau single ... Comment ? »
    _T o n a z z i : « Dans se monde il faut savoir attirer les proies dans ses filets ma jolie. Tu apprendras que quand je veux quelque chose, je l'ai. C'est aussi simple que ça »


Le regard qu'il lui lança lui indiqua qu'il ne parlait pas que de l'excellent groupe sur scène : mais aussi d'elle-même. Elle tira la tronche quelque seconde, puis le dévisagea :

    _E c h o : « Tu insinue que j'ai été ta proie ce soir ? »
    _T o n a z z i : « Peut être bien que oui, peut être bien que non. Te considèrerais-tu comme une proie ? »
    _E c h o : « Si quelqu'un est la proie ce soir, ce n'est certainement pas moi, mais plutôt celui qui va débourser de belles sommes d'argent pour mes services »
    _T o n a z z i : « Mademoiselle marchanderait-elle ? »
    _E c h o : « Monsieur aurait-il peur de perdre sa cliente ? »


Une nouvelle fois, ils se toisèrent du regard. Un sourire s'afficha sur les lèvres du beau brun, et la polonaise l'imita dans les secondes qui suivirent. Tout au long de l'apparition sur scène du groupe, Echo fit quelque cliché, en noir et blanc parce que c'était ce qui lui plaisait le plus, à la fois de la scène que de la foule. L'ambiance présence ce soir là se ressentirait sur les clichés, elle en était certaine, et ce ferait de très belles photos promotionnelles pour le pub dans lequel elle serait amener à venir de plus en plus souvent. La soirée se termina en même temps que la rouquine disait bonne nuit aux personnes encore présente. Echo et Tonazzi eurent droit à quelques échangent avec les membres du groupe, et tout fut emballés. Quand il fut l'heure de rentrer, Xander raccompagna Ezéckièl à sa voiture. Avant qu'elle ne s'en aille dans la bouche de l'obscurité qui avait prit en otage la rue, il lui dit :

    _T o n a z z i : « Tu m'as dis que tu aimais prendre des risques dans la vie. Que tu l'as croquait à pleine dents et que tu étais du style à profiter quitte à tout perdre »
    _E c h o : « C'est exact ... pourquoi ? »
    _T o n a z z i : « J'crois qu'on sera amener à se revoir Ezéckièl »
    _E c h o : « Dans le sens où je suis ta publicitaire, on est sûr de se revoir abruti »
    _T o n a z z i : « Autrement ... On se reverra autrement. J'en suis certains. Aller rentre bien. On se voit plus tard »
    _E c h o : « Au fait ... Moi c'est Echo. Ezéckièl c'est pour les proies ... Appelle moi Echo »
    _T o n a z z i : « Et moi c'est Tony »


Et ils se quittèrent. Par la suite, ils furent inséparable. C'est pas compliqué, quand on voulait trouver Echo, on demandait à Tony, et inversement. Toujours fourrés ensemble à faire aussi bien des conneries que du boulot. L'italien et la Polonaise. Le musicien et la photographe. Le dealer et la droguée ... »


...





« Violet eut un temps d'arrêt - encore un - lorsqu'Echo eut finit son histoire. A présent, elle en savait plus sur le polonaise. Elle aimait le danger, et l'imprévue. Elle aimait jouer avec le feu, et quand elle avait rencontrer Tony, elle avait trouver la flamme dont elle avait besoin pour se brûler un peu les doigts. C'était légitime, et ça expliquer pourquoi elle ne tenait pas à en parler. Mine de rien, quelque soit la relation qu'elle entretenait avec Tony, il était son support. Pas étonnant que la police garde à porter de main la belle brune. Elle était sans doute la seule à être en mesure d'aider à l'enquête.
Aussi bien dans l'écran qu'à l'extérieur de celui-ci, Ezéckièl savait qu'elle s'était livrer désormais. Qu'elle avait plus ou moins craquer. Mais ce n'était pas la fin de l'histoire.

    _V i o l e t : « Si j'ai bien comprit Tony a été pour vous ... »
    _E c h o : « Xander, ou Tonazzi ... Mais pas Tony »
    _V i o l e t : « Xander ... C'était pour vous le tremplin pour votre carrière »
    _E c h o : « On peut dire ça comme ça »
    _V i o l e t : « C'était votre mentor aussi »
    _E c h o : « Aussi »
    _V i o l e t : « Il était en contacte avec des fournisseurs n'est-ce pas ? »
    _E c h o : « Où voulez-vous en venir ? »
    _V i o l e t : « Je me demandais s'il vous a initier aux drogues ... »
    _E c h o : « Attendez, si je comprends bien, vous êtes entrain de l'accuser de m'avoir fait descendre ? »
    _V i o l e t : « Je n'accuse personne, je me demande juste ... »
    _E c h o : « Non, non, non, vous ne demander rien, vous accusez ! Ah ! J'en reviens pas. Les flics n'ont rien trouvé, et n'ont rien contre lui alors ils cherchent à lui trouver des prétextes pour l'incriminer ?! C'est dégueulasse ! »
    _V i o l e t : « On incrimine personne ici Ezéckièl ! Je vous rappelle que de toute les manières, Tonazzi a disparut et qu'on ne sait où il se trouve. On est pas là pour l'accuser de quoi que ce soit, mais pour le retrouver »


Violet venait de toucher le point faible. Elle le savait. Echo elle même, de l'intérieur de sa chambre d'hôtel le voyait. C'était gros comme une maison. La Ezéckièl de la vidéo avait réagit beaucoup trop sur la défensive, et s'était livrée elle même. Pourtant, le point faible n'était pas dans la drogue. Il était autre part :

    _E c h o : « Et vous croyez que je vais dire où il est ? »
    _V i o l e t : « Non. Je crois que vous allez m'aider à comprendre »
    _E c h o : « Comprendre quoi ? Il n'y a pas grand chose à comprendre »
    _V i o l e t : « Je vous écoute parler depuis tout à l'heure ... Vous êtes une femmes intelligente, et vous avez un caractère si particulier que vous pourriez faire de grande chose. Je me demande comment quelqu'un comme vous a pu tomber dans la drogue »
    _E c h o : « Vous voulez dire, comment quelqu'un comme moi a pu être aussi con pour tomber dedans »
    _V i o l e t : « C'est une autre façon de le dire »
    _E c h o : « Je vais vous dire une chose : Le con n'est pas celui qui se drogue, mais celui qui en fait une overdose »
    _V i o l e t : « Parce qu'il y a une différence ? »
    _E c h o : « Est-ce-que j'ai l'air d'être au bord de la dépression ? Suis-je en manque ? Non ! On m'a foutu dans un centre de désintox' alors que je ne suis pas dépendante. Il y a une différence entre les cons et moi. Les cons sont les passagers du vol, moi je suis le pilote »
    _V i o l e t : « Au moins vous avouez que vous être une droguée »
    _E c h o : « J'avoue avoir consommé quelques substances, rien de plus »
    _V i o l e t : « Vous avez parlé au présent ... Ca signifie beaucoup »


Echo ne répondit rien. Cette psychiatre redevenait comme tous les autres connes de guêpes. Elle ne pouvait en plus de ça, en dire d'avantages. Elle en avait déjà dévoiler trop. Son regard bleu ne croisa pas celui de Violet qui posait ses yeux marrons sur la photographe. Aucun jeu de regard ne commença. C'est pourquoi, on du revenir à la parole. De l'autre côté de l'écran, Ezéckièl restait muette. Assise toujours devant le téléviseur sur un simple oreiller, elle n'avait cesser d'écouter la conversation entre les deux jeunes femmes. Sans commentaire, elle observait.

    _V i o l e t : « Vous n'êtes pas décider à en dire plus »
    _E c h o : « Nop »
    _V i o l e t : « Puis-je au moins savoir pourquoi ? »


Pas un mot de plus ne sortit de la bouche d'Echo. La jeune femme décida de rester muette. Violet, apparemment déçue baissa enfin le regard qui, jusqu'à lors, était fixé sur sa patiente. Un long blanc s'installa comme au tout début de la conversation. Puis finalement, Ezéckièl pu avoir le droit à un regard de sa propre personne. En effet, la patiente à l'écran regardait dans sa direction. Permettant de faire comprendre à Violet le pourquoi du comment elle décidait de rester muette :

    _V i o l e t : « Je vous l'ai dit, je ne suis pas contre vous Echo. Il n'y a personne de l'autre côté de la vidéo. Toutes pièces jointes à votre dossier est strictement confidentiel et placer sous secret médical. Personne ne peut le consulter sans mon accord »
    _E c h o : « Personne n'est, en ce moment, entrain d'écouter ma vie depuis le début vous allez me dire »
    _V i o l e t : « Personne ... Je vous le promet. Il y a seulement vous, et moi. Réfléchissez un peu. S'il y avait eut quelqu'un derrière un écran de contrôle, pensez vous vraiment que vous auriez dit tout ce que vous m'avez raconter depuis le début ? »


Ezéckièl regarda à nouveau la petite caméra dans le coin de la pièce. Hésita un moment puis se lança :

    _E c h o : « J'ai commencer à fumer quelques herbes bien avant que je ne rencontre Tony. Au lycée déjà je fumais du Shit. En travaillant dans le monde de l'art, c'est devenus plus quotidien. C'est là que j'ai commencer à me drogués avec des substances hallucinogènes. Quand j'ai rencontrer Tony, ça s'est juste généralisé »
    _V i o l e t : « Vous avez trouver un compagnon si j'ai bien compris »
    _E c h o : « Quand on s'est rencontrer, le premier soir, il m'a dit qu'on se reverrait dans d'autre circonstance. C'était de la drogue qu'il parlait. Il avait comprit que j'étais dans le même tripe que lui, ça c'est fait naturellement »
    _V i o l e t : « Vous avez dit que vous étiez dans le même tripe. Cela indique-t-il que vous n'y êtes plus ? »
    _E c h o : « Là n'est pas le sujet Violet ... »




Chapitre 3 : « Le danger, c'est toujours mieux à deux » ;

...




« Il pleuvait sur Jacksonville. C'était très rare. Alors, quand c'était le cas, c'était soit jour de fête, soit jour de grosse déprime. Pour Ezéckièl, c'était un peu jour de fête. Elle aimait marcher sous la pluie pendant des heures. Elle avait mit de simple bottine, un colan sous un shirt en jean sur lequel retombait un pullo fin accompagné d'une ceinture. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, quand il pleuvait, son regard ne se fonçait pas. Au contraire, il devenait plus envoûtant. Les cheveux trempés, elle s'émerveillait devant chaque évènement naturelle. Son appareil photo à la main, elle profitait de n'importe qu'elle opportunité pour prendre des dizaines de clichés sous des angles différent. Cela ferait de magnifiques photos, elle le savait déjà. En plus de son émerveillement naturelle, les « Space Cake » qu'elle s'était concocté commençaient à faire effet. Du coup rire était mêlé à l'Euphorie. Les rares passant dans la rues le prenaient sans doute pour une folle, en particulier quand elle prononçait des phrases en polonais. Mais elle s'en contre fichait royalement. Elle était tellement bien dans cet état. Et c'était généralement ses meilleurs photos qu'elle produisait, quand elle venait de se droguer. Tel un Baudelaire face à son papier, Echo avait parfois besoin de se stimuler un peu pour faire un travail parfait. Tandis que l'écrivain choisissait l'Opium, le photographe, elle, choisissait le Cannabis.
Elle resta ainsi pendant plusieurs heures. Puis finalement, quand la pluie s'estompa, elle décida d'aller voir ailleurs. Petit à petit, l'effet de son super cookie s'estompait aussi, et finalement, lorsqu'elle entra dans le pub de Tony, elle était totalement sobre. Elle salua les quelques personnes qui était là, et passa son temps avec son amie de toujours. Tous deux passèrent l'après midi ensemble. Ils développèrent les photos, et plus tard, ils allèrent au label pour parler musique. S'amusant et composant en même temps - du moins, Tony composant et Echo critiquant - ils s'échangèrent de fous rire entre amis, et programmèrent ensemble les prochaines soirées importante au pub.

    _E c h o : « Pourquoi tu n'essayerais pas de faire venir « The Gossip » ? Ils pourraient rapporter gros »
    _T o n y : « Ce serait dure ... trop dur même. Ces gens là, on ne les fait pas venir comme ça, d'un claquement de doigt »
    _E c h o : « Pardon ?! Tu peux répéter ? C'est bien à Tony que je parle là ? Où il est le bel italien qui se met tout le monde dans sa poche ? »
    _T o n y : « Il est en grève le bel italien »
    _E c h o : « Si tu as réussit à prendre Ezéckièl Nièdziàl dans ton équipe, tu peux t'offrir les services de ce groupe ! »
    _T o n y : « J'ai peut être épuiser toutes mes forces pour te faire venir ma jolie »
    _E c h o : « C'est très flatteur mon Tony, mais c'est ringard. Remets toi sur pied, et vite, sinon j'vais devoir t'en foutre une »
    _T o n y : « Tu sais parler aux hommes dis donc »
    _E c h o : « Pourquoi tu crois que j'ai réussit à t'amadouer pour que tu m'embauches il y a quelques années ? »
    _T o n y : « Ca c'est ta version des faits »
    _E c h o : « Qu'importe ! J'ai peut être une idée ! »
    _T o n y : « Vas-y dis »
    _E c h o : « Pourquoi tu ne te produirais pas sur scène toi ? »
    _T o n y : « J'ai une gueule à me produire sur scène ? »
    _E c h o : « Ben oui »
    _T o n y : « T'as déjà vu Napoléon sur un champ de bataille ? Non, lui il dirigeait de l'arrière. Moi je suis le Napoléon de ce pub. Hors de question que je monde sur scène »
    _E c h o : « Ouais ben regarde où ça l'a mener ton Napoléon ... Exilé sur un île, tout seul comme un con. Il avait même une gonzesse à sauter le pauvre »
    _T o n y : « Ouais ben on verra hein ? »


Il passèrent la fin d'après midi à se chamailler pour un oui ou pour un non puis finalement à se marrer comme de bon vieux potes. Une fois 19h30 passé, ils eurent faim. Ce n'est qu'après avoir été manger dans un petit resto' pas loin du pub qu'ils retournèrent dans le label toujours aussi désère. Aujourd'hui, pas de maquette à enregistrer, pas de contrat à faire signer, et pourtant, les affaires de Tony n'avait jamais aussi bien marché. La faute à quoi ? A un publicitaire de choque qui faisait de magnifiques photos, ainsi qu'à un business illégale de plus en plus en vogue. Depuis quelques temps, Tony s'était mit à ventre aussi, histoire de rapporter un peu plus. Il avait sa plantation de Cannabis, et en faisait sa petite affaire dans le milieu dans lequel il travaillait. C'était un petit réseaux, mais il avait des clients fidèle et qui achetait régulièrement. Du coup, cette nouvelle source de revenus n'était plus à prendre à la légère. Ce soir, il venait mettre à disposition quelques sachets. Il avait de la marijuana de prête, et comptait bien se détendre après cette journée de travail intensif. Mine de rien, s'occuper du futur de sa boîte et travailler sur de nouvelles compositions, c'était stressant. Du coup, il trouva judicieux de fumer un peu :

    _T o n y : « Dis, t'as du feu ? »
    _E c h o : « Hum ... t'as de la nouveauté ? »
    _T o n y : « Ouais, j'ai mis un peu de Marie Jeanne de côté. J'te fais une roulée ? »
    _E c h o : « Certainement ! Bouge pas, j'vais chercher de quoi les allumer »


Echo ne fut pas longue. Elle revint bien vite avec un briquet à la main. Tony avait déjà préparer les deux cigarettes pleine de substances tiré du Cannabis. Il s'en mit une dans le bec, tandis que la photographe venait s'assoir sur lui à Califourchon. En prenant une entre ses deux lèvres, Echo porta finalement le briquet à hauteur de sa bouche, et s'alluma sa joint. Tirant une profonde latte, elle finit par jeter le briquet derrière son épaule, et coller le bout de sa roulée à celui de Tony pour qu'il puisse l'allumer à son tour, tandis que la jeune Niédziàl enroulait ses bras autours du coups de son amie. Ensemble, il se fumèrent leur pétard bien chargé, laissant euphorie et fous rires s'emparer de leur corps jusqu'à en avoir des spasmes, et des hoquets. Tout ça arrosé d'un peu de vodka orange, ou de whisky coca. Un peu plus tard, alors qu'ils planaient à deux, Tony reçut un texto. Après lecture de ce dernier, il déclara dans un étirement qui fit s'allonger le brunette le long de son corps :

    _T o n y : « D'ici quelque jour, j'aurais de la nouvelle cam. D'après ce qu'on m'a dit, on va planer un truc de fou ! »
    _E c h o : « Ah ouais ? Et c'est quoi »
    _T o n y : « Ca tu sauras en tant et en heure, tout ce que je peux te dire c'est que : En boire, ne serait-ce qu'une goutte prendre un vol direct pour les Cieux. S’imprégner de toute la force et la magnificence de la nature. Découvrir les sons inconnus, goûter les saveurs sauvages, voir les merveilles imperceptibles… Atteindre le sommet des plaisirs défendus, guérir de tous ses maux... Et bien plus encore »
    _E c h o : « Mais c'est que tu es entrain de me tenter là »
    _T o n y : « J'veux qu'on soit les premier à tester avant que je commence le distribution dans notre réseaux, j'te tiendrais au courant dès que j'en aurais en stock »
    _E c h o : « Tu ne veux pas m'en dire plus ? »
    _T o n y : « T'en sais déjà trop ! Tu sais ce que tu pourrais faire par contre ? »
    _E c h o : « Non, mais tu vas me le dire mon chou »
    _T o n y : « Tu devrais aller piquer la nouvelle toile de ce con de Travis. Ca le calmera un peu, et puis ça le décidera à me payer ce qu'il me doit »
    _E c h o : « Et en échange, j'aurais quoi ? »
    _T o n y : « Mais tout ce que tu voudras ma belle »
    _E c h o : « Parfait ! »


Ces derniers temps, Echo s'exerçait aussi au vol de bien. Ou prenait quelques clichés malencontreux pour faire du chantage à telle ou telle personnalité dans le but de rapporter gros à l'affaire de Tony. En échange de quoi, elle était payer comme un directeur marketing, et avait en plus de ça droit à quelques promotions qui lui plaisait bien, qu'elle soit physique ou moral. Décidément, c'était la belle vie pour nos deux acolytes »



Dernière édition par Ezéckièl L. Nièdziàl le Dim 25 Oct - 21:39, édité 28 fois
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeJeu 22 Oct - 17:39

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    _V i o l e t : « Vous et Tonazzi étiez proche n'est-ce pas ? Quand je dis proche, je veux dire plus que de simples amis »
    _E c h o : « Vous voulez dire, si c'était mon petit ami ? »
    _V i o l e t : « Oui, c'est ce que je veux dire »
    _E c h o : « Qu'est-ce qui vous fait penser ça ? »
    _V i o l e t : « Tout d'abord votre réticence à vouloir parler de lui ... Et puis, votre tabou quant à sa disparition »
    _E c h o : « Vous ne devez pas avoir beaucoup d'amis Violet »
    _V i o l e t : « Pardon ? »
    _E c h o : « Ça crève les yeux ! Ça vous parait si insensé de tenir énormément à son meilleur ami ? »
    _V i o l e t : « Ça vous gène tellement de parler de ce que vous ressentez ? »
    _E c h o : « Et ça ne vous gênerait par d'arrêter de faire des allusions débiles ? »
    _V i o l e t : « Vous êtes encore sur la défensive. Ça veut dire que je marque un point ! »
    _E c h o : « Ça veut surtout dire que vous m'agacez avec vos conneries »


Ezéckièl était directe et cash dans ses réponses. Mais elle n'était pas aussi méchante qu'en début de conversation. Elle s'était laisser aller à la douceur dont faisait Violet, même quand elle était censé s'énerver. Dans sa chambre d'Hôtel, la photographe savait pertinemment ce qui allait se passer prochainement. Elle savait qu'on viendrait bientôt à l'ultime aveux, qu'on en viendrait à la fin de l'histoire. Le déclenchement selon elle de tout ce grabuge qui n'avait, pour le moment aucune solution. Elle était dans le noir complet ... Et ce à cause de l'évènement que la elle de l'autre côté du téléviseur s'apprêterait bientôt à raconter

    _E c h o : « Tony et moi on était très proche, c'est vrai. Mais ça n'était pas mon petit ami »
    _V i o l e t : « Qu'était-il pour vous dans ce cas là ? »
    _E c h o : « C'était bien plus compliqué. On avait chacun nos histoires de cœur - pas très sérieuse d'ailleurs - de notre côté. Mais on avait une relation bien à nous à côté de ça »
    _V i o l e t : « Vous pouvez aller au plus claire ? J'ai peur de ne pas comprendre »
    _E c h o : « Ça vous arrive de sortir Violet ? J'ai l'impression que vous ne connaissez rien à la vie de nos jours »
    _V i o l e t : « A vrai dire, je suis trop occupé à écouter des gens comme toi qui sont tellement têtus qu'ils ne continuent pas leur histoire ! »
    _E c h o : « C'est bon, c'est bon mamie, calme toi, je vais t'expliquer ! »
    _V i o l e t : « Vous étiez proche, et vous aviez une relation spécial. Et ? Allez-y continue »
    _E c h o : « En fait, lui et moi ... Attends ! C'est moi ou t'es fan de ma vie ?! »
    _V i o l e t : « Pardon ?! »
    _E c h o : « Avoues-le, tu veux tout savoir ! T'es accro à mon histoire ! Regardes-toi, t'es là comme un gamin attend sa barbe à papa, que je te raconte la suite du récit »
    _V i o l e t : « Tu dis que des bêtises ! »
    _E c h o : « Ça c'est toi qui le dis ! »
    _V i o l e t : « Je rêve ou vous venez de me tutoyer ?! »


Ezéckièl parti dans un fou rire si communicateur que la brunette qui regardait l'écran depuis sa chambre se surprit à rire elle aussi malgré son silence de mort depuis le début de la cassette.

    _E c h o : « Je t'ai tellement découvert que t'essayes de changer de sujet en plus de ça ! Et c'est moi qui est sur la défensive ? »
    _V i o l e t : « Bon tu voudrais peut être pas finir ton histoire ? »
    _E c h o : « Je rêve ou tu viens de me tutoyer ? »


Echo reparti dans un autre éclat de rire. Ce n'est que quelques minutes plus tard qu'elle se reprit, essuyant les quelques larmes qui avait surgit entre deux crampes aux abdos tellement elle avait rit. Ça faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas laisser sa voix s'étirer de cette manière là, qu'aujourd'hui, elle y avait prit un plaisir fou !

    _E c h o : « Donc, je disais que Tony et moi étions proche. Nous sommes tous les deux très libertins, par conséquent, en même tant que l'on a une relation en cours, on s'amuse, et on se laisse aller »
    _V i o l e t : « Donc vous étiez plus que proche »
    _E c h o : « On couchait assez souvent ensemble, c'est vrai. Mais on ne sortait pas ensemble Jamais personne ne nous a traiter en couple, et nous même ne nous considérions pas ainsi. Il était simplement ce que je désirais, et j'étais ce qu'il désirait. Rien de plus. Alors quand on était bourrés, ou défoncés, et qu'on avait terriblement envie de prendre notre pied, c'était ensemble qu'on s'envolait »
    _V i o l e t : « C'était donc votre plan cul enfait »
    _E c h o : « Ben dit donc, c'est que vous vous dévergondé ! »
    _V i o l e t : « Non, sérieusement Echo »
    _E c h o : « Ça vous intéresse autant que ça mes parties de jambes en l'air ? »
    _V i o l e t : « Je m'en fou de ça, ce qui m'intéresse, c'est vous ! Vous et votre état émotionnelle »
    _E c h o : « C'était en quelque sorte mon plan cul. Mais c'était plus fort que ça ! C'était un compagnon, un ami, et oui je prenais mon pied avec ... Mais ce n'était pas que ça. C'était mon Tony quoi »
    _V i o l e t : « Êtes-vous amoureuse ? »
    _E c h o : « Pardon ? »
    _V i o l e t : « Êtes-vous amoureuse ? »
    _E c h o : « Oui merci, j'ai compris ... Non ... C'est Tony voyons ! »
    _V i o l e t : « J'ai cru comprendre que vous aviez assez mal supporter la disparition de votre ami ... On indique même des pleures dans les premiers rapport psychiatrique »


Cette fois-ci, ce ne fut en aucun cas Violet qui s'arrêta net, mais Echo. Surprise par la tournure de la conversation, elle se stoppa dans sa lancer, se laissant vaquer à ses songes le temps de quelques instants. Tony ... C'est fou comme il lui manquait. Et pire encore, c'est fou comme elle détestait ne pas savoir où il était. Ca faisait des mois qu'il avait disparut, et qu'on ne l'avait pas retrouver. Elle avait du mal à croire qu'il l'avait abandonner. Ce serait trop dur à accepter. Voilà pourquoi elle ne s'en remettait pas.

    _E c h o : « Je suis une droguée vous vous rappelez ? Je suis en manque. Alors je suis énervée, sur les nefs, et je pleure. C'est normal »


Violet l'a toisa du regard. Mais ne dit rien. Elle changea de sujet, ce qui mit plus à l'aise la jeune photographe.

    _V i o l e t : « Vous avez parler d'une nouvelle drogue tout à l'heure. Quelle était-elle ? »
    _E c h o : « Ah oui ! Vous êtes au courant de l'existence des vampires »
    _V i o l e t : « Qui ne le serais pas ? »
    _E c h o : « Leur sang on des vertus comme qui dirait ... Aphrodisiaque, et légèrement hallucinogène. Du moins, il nous fait prendre conscience de tout ce qu'on a pas l'habitude de voir, de sentir, de toucher, de ressentir. Bref, c'est le Nirvana »
    _V i o l e t : « C'était ça, ça nouvelle drogue ? »
    _E c h o : « Parfaitement, et je peux vous dire que ça fait son effet »


Chapitre 4 : « Jamais on ne s'est senti aussi bien » ;

...




« Dans le pub, tout était bruillant. « The Gossip » avait fait l'honneur à Tony de venir se produire sur sa scène. Du coup, ce soir là, c'était l'Euphorie dans le club de l'italo-américain. Mais pourtant, il ne fut pas de la partie. En effet, à l'étage, au dessus, dans ses appartements, il vaquait à une tout autre occupation. Pleins de fougues, lui et Echo s'embrassaient à pleine bouche, heurtant leurs langues de manière sensuelle, mais néanmoins assez brutalement. Prit en otage par une libido à vous en couper le souffle, les deux jeunes gens avait finit par se jeter dessus, pour finalement se laisser aller loin de la foule et du vacarme d'en bas. Plaquant le bel italien contre l'un des murs de son appartement, Ezéckièl se dépêcha d'ôter ses bottes pour mieux s'agripper aux hanches de son compagnon. Alors qu'il en était venu à débouter le chemisier de la belle brune pour mieux embrasser sa poitrine, Tony plaça entre deux coups de langues :

    _T o n y : « T'as couché avec Sully l'autre soir »
    _E c h o : « Ça pause un problème ? »
    _T o n y : « Non, non pas du tout »
    _E c h o : « Et toi, t'as couché avec Lauren »
    _T o n y : « Ce pause un problème ? »
    _E c h o : « Non, pas du tout. Mais prépare toi à l'oublier bien vite, parce que ce soir j'te fais grimper plus haut que jamais »
    _T o n y : « Tu crois pas si bien dire bébé »


Beaucoup trop essouffler pour pouvoir échanger quelques autres paroles, ils s'enlevèrent bien vite de la tête toutes les jalousies qu'ils pourraient avoir à propos d'une quelconques conquêtes. Ezéckièl frémissait déjà rien qu'en sentait les doigts de son bel italien glisser le long de sa cuisse. Elle avait envie de lui, là, maintenant, tout de suite, sans plus attendre. Sa bouche qui ne se détachait plus de celle de Tony voulait chercher autre chose. Du coup, ses mains cherchèrent sous les t-shirt de l'homme plus maigrichon qu'on ne pourrait le penser, mais qui l'a faisait vibrer comme n'importe qu'elle autre. Elle lui enleva le haut qu'il portait juste avant de le balancer à l'autre bout du couloir. De suite, elle se précipita sur son torse pourtant bien former malgré l'absence de tablette de chocolat excessive - c'était si bon d'embrasser ce qu'on désire, et ce qui n'est pas superficiel. Allant de droite à gauche, et de bas en haut, elle finit par atterrir juste au dessus de son bas ventre. Son souffle saccadé rien qu'avec l'effet de l'envie se coupa le temps qu'elle ne défasse la ceinture de celui qui était, ce soir, son homme. Mais elle se releva juste après pour retourner sur ses lèvres. Au même moment, prit d'un besoin pressant de lui ôter ses vêtements, Tony se chargea de la déshabiller a une vitesse grand V ! Presque nue, il ne cessait de balader ses mains sur les moindres port de sa peau tandis qu'elle s'était agripper de nouveau autour de sa taille. Il s'apprêtait à se diriger vers la chambre quand il se rappela d'une chose. Tout en ne lâchant pas les lèvres de la belle polonaise, il chercha quelque chose dans la poche de son jean qui n'était pas encore tomber. Il en sortie un petit flacon remplit d'un liquide rouge :

    _T o n y : « Bébé, j'espère que tu es prêtes, parce que ce soir, tu vas planer comme jamais »
    _E c h o : « Alors, c'est quoi ? »
    _T o n y : « Du jus de vampire ma belle, du jus de vampire »
    _E c h o : « C'est pas toxique ? »
    _T o n y : « Tu rigole ? C'est vivifiant ! C'est magistral ! Tu verras, à côté de ça, le Cannabis c'est rien »


Il s'empressa alors vers sa chambre, le flacon, et la gonzesse avec lui. Une fois sur le lit, ils s'empressèrent de se débarrasser des derniers vêtements qui pouvait entraver le chemin naturelle de la partie génitale de Tony qui viendrait faire une multitude de vas et bien en Echo qui gémirait alors de plaisir à l'unissons de son partenaire. Ils étaient là, nue, et pendant que le bel italien préparer les deux doses, Ezéckièl était derrière, à le caresser un peu partout, en attendant l'instant fatal ! Les gouttes une fois prête, ils se les distribuèrent enfin. Et puis tout s'enchaina. Ils attendirent quelques instant avant que l'effet de commence à se faire entendre. Tout fut alors différent. Perception, odorat, ouï ... touché. Leur étreinte se fit plus naturellement que le naturelle. Ensemble, ils ne firent plus qu'un dans un bonheur absolue, comme ils ne l'avaient jamais fait. Cette première fois avec le V-Juice restera sans doute à jamais graver en Ezéckièl. Encore aujourd'hui, elle se souvient de la moindre sensation, du moindre gémissement, et de la moindre nouveauté qui l'avait parcourut.

Ils se réveillèrent plus tard. Le soleil commençait à se lever, ils étaient encore nue comme des vers sur le lit. Légèrement courbaturé vu la folle nuit qu'ils avaient passé, ils s'échangèrent un regard aussitôt rejoint pas un sourire. Echo laissa ses membres s'étendre, puis alla finalement s'allonger sur l'homme avec qui elle ne s'était jamais aussi bien sentit depuis des lustres. L'embrassa tendrement elle rajouta au geste la parole :

    _E c h o : « C'était si bon ... »
    _T o n y : « C'est claire ! Il faudra qu'on remette ça ... »
    _E c h o : « C'te jus de Vampire c'est une merveille ! »
    _T o n y : « Et ce n'est que le début bébé, ce n'est que le début »


La vie continua de plus belle par la suite. Régulièrement ils se voyaient et s'envolait ensemble. La plus part de leur travaux artistiques se firent, par la suite, sous l'influence du V. Les plus beaux clichés qu'eut prit Ezéckièl ces derniers mois furent ceux prit alors qu'elle ne faisait plus qu'un avec la nature, après d'être envoler avec le V-Juice, devenant ainsi, l'un et l'autre, accro au jus de vampire »

...





    _V i o l e t : « Donc, si j'ai bien compris, vous êtes devenus accros au jus de vampire »
    _E c h o : « Voilà. Toutes nos actions se faisaient sous l'influence du jus de vampire. La Cannabis, c'était finis, on en fumait encore, bien sur, mais tout ne tournait qu'autour du V »
    _V i o l e t : « Aujourd'hui encore vous êtes accro à cette substance ? »
    _E c h o : « Je ne sais pas si c'est a même chose pour les autres, mais Tony et moi n'en étions pas accro physiquement. On ne ressent pas de manque ... c'est volontaire. C'est notre choix de nous envoler. Le monde est tellement plus beau une fois qu'on en a consommé ! »
    _V i o l e t : « Et vous n'avez aucun regret quant à votre addiction ? »
    _E c h o : « Je ne vois pas pourquoi je devrais en avoir »
    _V i o l e t : « Soyez honnête avec moi ... Si vous sortez de cet institut, vous en consommerez de nouveau ? »
    _E c h o : « A vous entendre parler, j'ai comme l'impression que je ne suis pas prête de sortir »
    _V i o l e t : « Je n'ai pas dis ça »
    _E c h o : « C'est ce que vous avez dit ! « Si vous sortez de cet institut » . Ne me mentez pas ! Depuis le début, vous me faites chanter avec vos belles phrases tout ça pour que je dise ce que je sais ! »
    _V i o l e t : « Ce n'est pas ce que je voulais dire, Echo »
    _E c h o : « Ne m'appelez pas Echo ! Je vous l'ai déjà dit ! »
    _V i o l e t : « D'accord Ezéckièl ... Ne vous énervez pas. On va continuer la séance tranquillement »
    _E c h o : « Un séance ? Vous appelez ça une séance ? Moi j'appelle ça une mascarade ! Vous m'avez prit pour une conne, voilà tout ! »


La tension remontait dans l'atmosphère. C'est pourquoi, ni Violet, ni Echo ne parlèrent pendant un petit moment. Ce n'est qu'après que la jeune psychiatre se décida à briser la glace. Elle aurait pu s'énerver, mais elle n'en fit rien. De l'autre côté, Ezéckièl - aussi bien celle dans l'écran, et que celle à l'extérieur - s'apprêtait à ressentir un trou béant dans le coeur :

    _V i o l e t : « Après ça, qu'est-ce-qu'il en ait advenu ? »
    _E c h o : « Les affaires de Tony n'ont jamais aussi bien marché, quant à mes toiles, elles ne se sont jamais aussi bien vendues ... C'était le bonheur parfait »
    _V i o l e t : « Et ce bonheur, il a continuez ? »
    _E c h o : « Vous savez très bien ce qu'il s'est passé par la suite »
    _V i o l e t : « Alors ? »
    _E c h o : « C'est après nos trente glorieuses à nous que tout s'est écroulé. Tony a disparut, du coup son affaire s'est écrouler, et quant à moi, j'ai été arrêtée injustement et enfermer dans un centre de désintox' pour être sûr de rester à porter de main des flics, c'est pas bien compliqué »
    _V i o l e t : « Et vous ne savez pas où il est allez ? »
    _E c h o : « Je vous ai déjà dit que non ! Ce n'est pas suffisant comme réponse ?! »
    _V i o l e t : « Vous en souffrez plus que vous ne le laissez paraître n'est-ce pas ? »
    _E c h o : « Oh fermez là avec vos leçons à deux balles ! »
    _V i o l e t : « Pourquoi vous vous retenez sans arrêt de laisser cours à vos sentiments, vos émotions ? »
    _E c h o : « Mais je vous ai demandé quelque chose à vous ?! »
    _V i o l e t : « Tu serais donc capable de te taire pendant dix ans, de rire quand tu es malheureuse Echo ? »
    _E c h o : « Ezéckièl ! »
    _V i o l e t : « Je sais que tu aimes le danger, et t'aventurer dans des situations dangereuse, mais tu es vraiment prête à te lancer dans une souffrance comme celle là ? Dis moi Echo, tu en es capable ? »
    _E c h o : « Fermez là ! C'est bon l'interrogatoire est finit, vous savez tout ! »
    _V i o l e t : « Je ne suis pas là dans le cadre d'un interrogatoire Echo, mais je suis là pour que vous alliez mieux ! »
    _E c h o : « Je vais très bien merci »
    _V i o l e t : « Non vous n'allez pas très bien Echo ! Vous souffrez, et vous préférez ne pas évacuer cette souffrance parce que vous êtes trop fière pour ça. Parce que vous voulez vous persuader que vous êtes trop fortes pour vous laissez aller ! »


Les yeux d'un gris-bleu déstabilisant finirent par s'embuer bientôt, ils lâchèrent de silencieuses larmes le long de sa joue. La jeune photographe, les essuya toute les unes après les autres, tandis que de l'autre côté de l'écran, la Ezéckièl dans sa chambre d'hôtel se laissait aller pour la première fois depuis longtemps, pleurant à chaude larme. Son meilleur amie, son compagnon, son partenaire, avait disparut, et elle ne savait où il était. On lui demandait d'avouer où il était alors qu'elle n'en savait rien, et ça ne faisait qu'accroître sa souffrance. Elle aurait tellement aimé pouvoir s'isoler et se défoncer un bon coup pour oublier la douleur que l'absence de Tony laissait derrière lui. Mais parce qu'elle était coincé au beau milieu du Walter Skoll Center, elle ne le pouvait. Quoi de plus douloureux que de se retrouver dans le seul endroit dans lequel tu ne peux avoir accès à la seule chose qui te sortirait de ton enfer ? Quoi de plus douloureux de savoir que l'un des êtres qui lui était le plus chère n'était plus là, et qu'elle ne pouvait plus rien y faire ? »


Chapitre 5 : « Ce fut comme lui arracher les ailes » ;

...




« C'était un vendredi soir. Un fin de journée plutôt calme. Echo l'avait passer dans un studio de photo pour photographier quelques mennequins pour une marque de cosmétique. Le ciel était dégagé, et il y avait peut de monde dans les rues. Ezéckièl avait prévu de passer voir Tony, une fois sa journée achevé, et comme prévu, il était au bar de son pub, à préparer les derniers choses avant l'ouverture du club ce soir. La nuit était pratiquement tombée, mais les deux jeunes s'en foutaient. Il n'avait pas tarder à rigoler ensemble comme les deux amis qu'ils étaient. Un peu plus tard, Echo se retrouva assise à califourchon sur lui, et leurs langues repartir dans une danse magistrale. Le désir monta rapidement, et vite, le V vint dans leur tête. Les sensations étaient trop bonnes pour laisser passer l'occasion de passer une folle soirée après une dure journée de labeur.

    _T o n y : « Tu sais quoi ? J'vais chercher un peu de V. Tu me rejoins là haut ? Ça évitera que Sully ou un autre con prenne son pied en nous matant »
    _E c h o : « Il n'y a pas de soucis. Je passe sur le comptoir pour donner les directives, au cas où on arriverait un peu tard, je te rejoins tout de suite »


Et ils partirent dans leur direction. Du moins après un dernier baiser fougueux que réclama Echo de la part de son partenaire. Elle fit au plus vite, puis finalement, monta à la hâte les escaliers manant à la demeure de celui qui le ferait frémir. Quand elle arriva dans la chambre. Elle n'entendit rien. Ce fut assez bizarre d'ailleurs. Elle chercha un peu partout dans l'appartement. Le temps d'un instant, elle pensa à une blague. Bientôt il lui sauterait dessus et l'emmènerait dans un autre monde. Mais plus la jeune photographe attendait, moins celui-ci n'arrivait. Commençant à s'inquiéter, elle finit par prononcer :

    _E c h o : « Tony ? Tony t'es où ? Aller c'est pas drôle. Montre toi bordel »


Mais rien ne fut. C'est quand elle atterrie dans la chambre de ce dernier qu'elle comprit enfin. La chambre était en bazar, et le silence pesant, ajouté à la non présence de son amie commença à la faire flipper. Ce n'est que quand elle découvrit la fiole éclater par terre qu'elle eut enfin l'élément de réponse ... Tony n'était ni caché, ni partie. Il avait disparut. Avait été enlever.

Prit de panique, elle mit un temps fou à réalisé ce qui se passait. Elle pensa à nettoyer ce que la fiole avait tâché, et puis s'en alla. Elle comptait appeler les flics quand ceux-ci arrivèrent à elle. Ou tout du moins, dans le pub. Ils firent une perquisition. Quand on demanda ce qu'il se passait, on répondit que Xander Tonazzi était en état d'arrestation pour vente et consommation de stupéfiant. Mais bien malgré eux, l'accusé n'était ni dans son pub, ni dans son appartement. Une fois chez elle, Echo tenta de faire le vide. Avait-il fuit, sans elle, en apprenant qu'il allait se faire arrêté ? L'aurait-il fait sans la prévenir ? Elle avait tellement de mal à le croire ! Jamais il n'aurait fait ça. Ils n'étaient pas en couple, c'est vrai, mais tout de même, ils étaient meilleurs amis, et partageait un lien spécial. Jamais il ne l'aurait laisser sans un mot, ou sans un signe. Plus tard, quand on l'arrêta pour complicité probable, elle pensa au fait qu'il n'avait pas voulu la prévenir puisqu'il savait qu'elle serait arrêter et qu'elle aurait finit par avoué ce qu'elle savait ... Mais elle s'empêcha de penser à cette hypothèse. S'il avait su qu'elle était dans l'affaire, il l'aurait emmener avec elle, c'était certains ! Tony et Echo, c'était eux deux ou rien. C'était impossible.

Jamais elle n'eut subis pareil souffrance. Pas même à l'époque où elle était maltraité par ses camarades sous prétexte qu'elle était polonaise. Jamais elle n'avait sentit dans son cœur une aussi grande détresse. Tony était son équilibre, et à présent il n'était plus là. Tout ce qui lui restait, c'était d'être forte, et de se sortir de ce merdier ... Mais seule, ce serait une tout autre histoire. Beaucoup trop dur. Pour la première fois, Ezéckièl Nièdziàl n'eut pas la force d'attraper sa proie ... »

...


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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeJeu 22 Oct - 17:39

...





    _V i o l e t : « Je comprends que ça puisse vous être douloureux ... Mais c'est ainsi que vous allez vous en sortir Echo. En combattant votre peine »
    _E c h o : « Vous êtes donc si sadique que ça ? »
    _V i o l e t : « Je ne veux que votre bien Echo »
    _E c h o : « Mais ça fait trop mal ! »
    _V i o l e t : « On soigne le mal par le mal, n'est-ce pas ce qu'on dit ? »
    _E c h o : « Je préfèrerais me faire amputer ! »
    _V i o l e t : « Regardez-vous, regardez le chemin que vous avez fait. Il y a à peine une heure, vous étiez sur la défensive et ne vouliez parler de rien, personne. En ce moment, vous êtes entrain de pleurer votre peine, et de vous livrer. C'est un travail grandiose que vous venez de faire ! »
    _E c h o : « A quoi bon souffrir quand il n'y rien au bout qui peut vous rattraper ? »
    _V i o l e t : « Puisqu'il faut mourir, autant vivre à en crever. N'est-ce pas ce que vous a dit Tony ? »
    _E c h o : « Si »
    _V i o l e t : « vous êtes justement entrain de vivre à en crever, Echo. C'est parce que vous vivez pleinement que vous souffrez. C'est douloureux, mais ça passe. Vous vous en sortirez vous verrez, avec le temps, ça ira mieux et vous reviendrez plus forte »
    _E c h o : « La vie est un terrain de jeu auquel je m'adapte. Qu'importe si je tombe, après tout, c'était le risque, et c'est ce qui fait que la vie est si enivrante, si excitante. Et de toute les manières, le meilleur moyen de se relever, c'est de tomber avant ... »
    _V i o l e t : « Voilà ! Vous avez compris ! Vous voyez que vous vous relevez ! Après tout à quoi bon lire un livre s'il n'y a pas de péripéties ? »


La conversation aurait pu continuer ainsi encore longtemps. Mais il en fut autrement. Un long bip sonore se fit entendre, et quelques secondes plus tard, deux hommes en blouse blanche arrivèrent. « C'est la fin de la séance » dit l'un. « Aller on rentre au bercail ma jolie » prononça l'autre. Sur la vidéo, on peut encore voir Ezéckièl essuyer ses larmes, remettre ses cheveux en place, et se lever de sa chaise. Violet s'était déplacer pour passer sa main sur son épaule en signe de soutient moral. Et puis, dès lors où Echo ne fut plus dans le viseur de la petite caméra, celle-ci s'éteint. On pu juste apercevoir la psychiatre adresser un dernier regard à la petite boule qui avait filmer du début à la fin cet entretien »


...


« De l'autre côté de l'écran, Ezéckièl essuyait elle aussi ses larmes. Elle retira la cassette du magnétoscope, la rangea dans son boitier avant de la remettre en position près du dossier marquer en son nom. S'allumant une cigarette histoire de décompresser un peu, elle se laissa aller à regarder la pleine lune. Elle songea encore quelques minutes, puis, une fois la cigarette totalement consumée, la jeune photographe s'empara de son outil de travail pour prendre quelques clichés de ce paysage. Les décors du Mississippi sous le claire de Lune était magnifique. Pour la première fois depuis longtemps, elle prenait de magnifique photos sans être sous l'influence de V-Juice. Mais elle ne comptait pas se passer de ce trésor. Il était jusqu'à aujourd'hui, le seul moyen qu'elle avait de se raccrocher à Tony. Car oui, en parlant de Tony, elle savait à présent qu'il ne s'était pas enfuit, et encore moins qu'il l'avait abandonné. Il avait été enlever, aussi bizarre que cela puisse paraître. Quant à elle, il ne lui restait plus qu'à fuir. Elle s'était échappé de Walter Skoll Center, en volant au passage, son dossier, afin d'être sûr que personne n'en sache plus sur elle, qu'elle n'en savait elle-même. Elle su très vite que si la porte avait été malencontreusement oublier d'être fermé, et que le dossier Nièdziàl était bizarrement mit en en évidence sur le bureau, ce n'était pas un hasard. Elle savait à qui elle le devait, et l'en remercierait sans doute à jamais.

Elle quitta la chambre d'Hôtel tard dans la nuit, emportant avec elle le peu d'affaire qu'elle avait, et s'avançant petit à petit, par le biais de conducteur généreux, vers le Nouvelle-Orléans. Là bas, elle pourrait être à l'abris, c'était certain. Avec la mort de ce Jensen Mason, et tout le grabuge qu'il y avait autour, elle était certaine que personne ne viendrait l'embêter ici. Qui se soucierait d'une jeune femme échapper de désintox' quand le meurtre du célèbre opposant à l'American Vampire League fait couler l'encre un peu partout.

C'est à Bontemps qu'elle débarqua, avec le minimum d'affaire qu'elle avait. Trouvant la ville sympathique, elle décida d'y faire un halte pendant un petit moment. Loin d'une trop grande attraction, mais cependant, suffisamment près de la zone médiatique pour ne pas être repérer, c'était l'endroit idéal. Le premier jour où elle s'installa, elle posta deux lettres à la poste. Toutes deux à l'intention d'une jeune femme différente. Toutes deux contenaient une photographie. Violet, aussi bien que Casey comprendrait sans l'ombre d'un doute que la belle Ezéckièl allait bien, et qu'il n'y avait aucun soucis à se faire »



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Au cas où :S
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Ezéckièl... Un nom à consonance masculine qui va à ravir au personnage, malgré tout.

Bienvenue sur True Blood !
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeJeu 22 Oct - 19:53

C'est en effet un prénom masculin, italien quand on l'écrit Ezequiel d'ailleurs. Mais j'avais envie de le féminiser ^^

Merci de l'accueil en tout cas =D J'espère avoir le temps de finir vite ma fiche pour pouvoir commencer à jouer x)
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeJeu 22 Oct - 21:38

    8 messages pour l'histoire? J'ai déjà hâte de la lire! =D
    Bienvenue sur True Blood. 79101
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeVen 23 Oct - 16:25

Dante M. Anderson a écrit:
    8 messages pour l'histoire? J'ai déjà hâte de la lire! =D
    Bienvenue sur True Blood. 79101

Si ça se trouve j'en aurait pas besoin X) Mais la dernière présentation que j'ai faite ma prise 8 postes, donc je préfère m'y prendre à l'avance cette fois ci lol M'enfin bon, quand à moi, je suis impatiente de commencer à l'écrire ^^
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeLun 26 Oct - 0:29

Désolé du double poste, mais tout ça pour dire que je pense avoir terminé ma fiche. J'espère ne pas avoir fait trop de la merde et répondre à vos attentes. En espérant que la forme du roleplay ne gène pas trop, et qu'elle a permis de certain un minimum le personnage :S
Et puis, désolé si la fin est légèrement bâclée, mais j'étais légèrement fatiguée, et surtout, j'étais impatiente de pouvoir finir pour, peut être, être validée au bout du compte ^^

Je garde les postes réserver en plus au cas où. Je les supprimerais quand je serais sûr qu'ils ne me serviront plus ^^
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeLun 26 Oct - 13:26


Bienvenido, amigo!
« Je te présentes Dante, enfant de la nuit; il va s'occuper de ta validation. Mais ne t'inquiètes pas! Il a beau mordre, il te laissera le temps de profiter de tes premiers instants dans le jeu. »



Avant toute chose, permets moi de te souhaiter de tout coeur, de ma part ainsi que de celle de toute l'équipe, la bienvenue sur... True Blood!

Maintenant que ton terrible périple est terminé, tu a droit à un face à face privilégié avec le juge, qui va te dire si tu peux accéder au Saint-Graal, ou si tu dois faire demi-tour et te soumettre une nouvelle fois à la tâche.


Alors, alors... (commentaires positifs.) Par où commencer. Et bien, ce fut un véritable plaisir pour moi de lire cette fiche! J'ai repéré très peu de fautes, et ce qui arrive à ton personnage m'a réellement prit aux trippes. Toutes mes félicitations!

Oui, mais... Mais il y a toujours un mais. Rien de bien méchant et, j'en suis sûr, n'empêchera pas ta validation immédiate. J'ai remarqué que tu confonds parfois les terminaisons en -é, -er, et -ée. Rien de bien méchant, comme je l'ai dis. =)

Difficile est le périple qui te mène aux joies du RP, mais tu t'en es sortie avec une facilité déconcertante! Ainsi je ne vois aucune objection à ce que tu sois validée dès à présent.
Et je veux lien entre ton perso et le mien.

« She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' Ednortonvalidationtb
Ton périple fut long, mais, en cet instant, te voilà... validé(e)!
Yeah! Let's Rock, Baby!



Oups, ne pars pas si vite, mon jeune ami! Foncer tête baissée dans ce qui t'attend n'est pas la solution! Viens donc t'asseoir, et écoutes ce que je vais te dire; cela te sera utile, crois-moi. Tout d'abord, si tu n'a pas choisi la voie du personne prédéfini, tu remarquera que tu n'a pas d'amis, pas de famille, bref, que tu es seul (c'est triste, n'est-ce-pas?). Pour remédier à ce problème, va vite (mais pas maintenant) te faire une fiche de relations. Elle te sera utile pour te faire des amis, ou plus si affinités, sans avoir à faire un sujet pour chaque personne. Tu recevra sûrement des demandes, mais n'hésites pas à toi aussi demander aux autres! Maintenant que tu a plein de petits copains avec qui t'amuser, tu peux te diriger vers les feuilles de roleplay, où les autres membres pourront te demander un sujet. Mais comme pour les relations, n'hésites pas à toi aussi demander.

Je pense que tu ne souhaites pas vivre à la rue, et c'est tout à fait normal. Mais pour ne pas vivre à la rue, il te faut un domicile, et un domicile, ça ne se trouve pas comme ça. Diriges-toi donc en direction de l'agence immobilière la plus proche, et fais ta demande de logement. Hélas, tu aura un loyer à payer chaque mois, et, si tu n'a pas de travail, cela va être compliqué. Heureusement, la Nouvelle-Orleans est une ville civilisée, et tu peux y trouver une ANPE où tu pourra répondre aux offres d'emploi.

Je te vois trépigner d'impatience, et c'est tout à fait normal! Allez, plus que quelques minutes ensembles, et tu pourra t'envoler tel un buveur de Red Bull en direction de la section RP du forum. Toutefois, il se peut que tu rencontres des termes, des choses que tu ne comprends pas; n'aie crainte! Diriges-toi vers informations complémentaires et tu aura toutes les informations que tu souhaites. Oh, dernière petite chose avant que je ne te quittes; nous avons mis en place un système de points; les Gouttes de Sang. Ces points, que tu gagnera au fur et à mesure de ta participation sur le forum, te permettront de donner une seconde jeunesse à ton aventure ici-bas, en les échangeant contre des bonus divers et variés. Pour gagner ces points, tu peux aussi devenir journaliste, animateur, ou muse.
Enfin, pour vivre, le forum a besoin de membres, et pour avoir des membres, nous avons besoin de toi, et de tous tes proches qui pourraient nous rejoindre. N'oublies pas; plus on est de fous, plus on rit!



A présent, ton serviteur n'a plus rien à t'apprendre.
Maintenant, envoles-toi, petit oiseau, va vers le RP, le flood, et les défis!
Hum... Bon jeu sur
True Blood!
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitimeLun 26 Oct - 17:23

Merci bien pour cette validation =D J'avais peur que justement, l'histoire ne soit pas accrocheuse, je suis ravie de voir que c'est le contraire. J'aurais bien développer plus, mais j'étais trop impatiente de pouvoir commencer ^^

Pour ce qui est des -é et -er ... hum ... -->[] XD Quand je me relie, je me demande comment je peux faire ce genre d'erreur, et pourtant ça ne m'empêche pas de les refaire une fois que je me remet à écrire.

Enfin bref, encore une fois merci, et puis je vais supprimer les postes inutiles et aussi corriger un maximum de faute (je suis d'ailleurs surprise (agréablement faut le dire) qu'on ne me dise pas qu'il y a une tonne de faute lol)
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MessageSujet: Re: « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo'   « She lives in a Fairy Tale, Somewhere too fare for us to find » - Echo' I_icon_minitime

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