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| Louna Bloom [TERMINÉ] | |
| | Auteur | Message |
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Louna Bloom Vampire
Messages : 49 Date d'inscription : 26/08/2009
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| Sujet: Louna Bloom [TERMINÉ] Mer 26 Aoû - 22:54 | |
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les Papiers d'Identité « Vos papiers s'il vous plaît. Simple contrôle de routine avant de prendre la mer! »
Rapport du docteur Mayer de l'institution de recherches du Massachusetts sur la patiente #810344721 datant du 21 octobre 1969.
| prénom(s). Louna. Elle ne veut toute fois pas reveler l'origine de son prénom.
nom(s). Bloom âge. Elle semble s'être figer dans la vingtaine mais elle nous dit avoir dans les 300 ans. date et lieu de naissance.D'après nos calculs, Louna Bloom serait née en 1669. Elle nous a dit qu'elle était née dans la ville de Salem. Mais elle refuse de nous en dire plus. race. Nos expériences scientifiques nous ont démontrées qu'elle faisait bel et bien partie de l'espèce vampirique. Intolérance au soleil, besoin presque quotidien de sang dans les premiers jours, peau plus pâle que la moyenne, seconde pair de canines. Nous n'avons pas trouvé d'antidote malgré nos nombreux tests. métier. Elle n'est répertoriée dans aucun registre. Refuse de dire quoi que se soit. |
Ne vous fiez pas aux apparences « Alors comme ça vous êtes nouveau? Ne vous inquiétez pas, nous ne mordons sur ce navire que ceux qui n'ont pas votre chic. »
apparence physique.
Couleur des yeux : Vert Kaki
Couleur des cheveux : Bruns foncés
Grandeur : 5''10
Poids : 62 Kilos
À première vue, elle ne ressemble pas à un vampire. Mais la blancheur de sa peau et la dureté de cette dernière ne s'apparente pas à celle des humains. Sa peau peut supporter de nombreux coups sans se laisser couler de sang. Les coups de poings et les lames ne laissent aucunes marques. Nous avons pousser les expériences plus loins et les résultats sont stupéfiants d'un point de vue scientifique. Ses canines ressemblent plus à celles d'un prédateur qu'à un individu normal. Nosu avons également remarqué que Ses blessures se referment deux fois plus vite que la moyenne. Ses muscles sont plus développé et sa force est grandiose. Son sens du toucher et sa capacité à percevoir des sons sont extrêmement supérieur à ce que nous avions pensés. Bref, la patiente #810344721 est supérieur en tous points à l'humain.
Étude comportemental _
Agressive et très cruelle, elle était une femme très déplaisante lorsqu'elle est venue parmis nous. C'est pourtant elle même qui est venue nous voir dans l'institution pour nous demander de l'aide. Nous l'avons alors mise seule pour nous occuper d'elle de manière convenable. Nous prennions bien soin d'elle en prennant compte de ses desirs et des goûts pour qu'elle se sente le plus à l'aise possible. Mais elle n'a pas voulu suivre nos conseils et elle s'est mise à se rebeller contre nous sans raison. Elle traversait souvent des crises de folie et s'amusais à faire peur au personnel par de nombreuses tentatives de morsures et des propos sanglants. Nous avons alors pensé qu'il s'agissait de troubles mentaux tel que la paranoïa ou le dédoublement de personnalité. Malgré tous nos moyens pacifiques pour l'adoucir et lui faire comprendre que nous ne voulions que son bien, elle restais toujours froide et méchante. Nous donc eu d'autres choix que de lui donner de petits médicaments pour la calmer.
Il ne faut pas croire ce qu'ils disent. Ils mentent toujours. Ils ne savent faire que ça. Je ne suis jamais aller les voir de mon plein gré. Ils m'ont capturé et amener alors que je ne voulais rien de plus qu'ils me laissent tranquille. Ils m'ont fait subir des expériences tellement affreuses. Dans le genre cruelle, ont ne peux pas faire mieux que toute cette bande d'imbéciles. Mais maintenant, ils sont tous morts. Quelqu'uns pas ma faute. Une grande partie en fait n'est plus de ce monde par ma faute. Je les aient tous cherché jusqu'à ce que les trouvent et ils sont morts juste sous mes yeux. Mais ils le méritaient bien. Qu'est-ce que j'aurais du faire ? Les laisser en vie et attendre qu'ils s'en prennent à d'autres innocents ? Pas question. Et leurs soit disant moyens pour me rendre à l'aise. Ce ne sont que des salades. J'étais la patiente la moin bien respecté de toute cette putin d'hôpital. Quand je pense à tous ce qu'ils ont écrit de faux à mon sujet. Je suis loin d'être une personne agressive et méchante. Je suis encore farouche et craintive. Mais je suis une femme souriante et qui aime la vie en général. Certaine phase de ma vie n'ont été qu'une belle emmerde mais je ne peux rien y faire. Je suis une personne nouvelle mais avec un petit côté de l'ancienne Louna.
particularités.
- Canines proéminentes
- Peau blanche et dur
- Aucun changement physique au fil des ans
- Force et agilité supérieur à la moyenne
- Télépathie
- Ne peut suporter le soleil
- Incapacité à entrer dans une demeure sans invitation
- Capacité à entendre le moindre bruit
la Fin du Voyage « Nous sommes bientôt arrivés. Quel dommage, j'aurais aimé encore longtemps vous parler. Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin... »
prénom ou pseudo. Moi ? Personne .. pays et région. Québec, Canada ! âge. 14 ans célébrité sur l'avatar. Camilla Belleposte vacant. Nonfréquence de passage. ( 5/7 ) commentaire personnel. J'adore le fofo !
Dernière édition par Louna Bloom le Dim 27 Sep - 21:22, édité 17 fois | |
| | | Louna Bloom Vampire
Messages : 49 Date d'inscription : 26/08/2009
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| Sujet: Re: Louna Bloom [TERMINÉ] Jeu 27 Aoû - 11:47 | |
| Racontez-nous une belle histoire « Je veux tout savoir de vous, j'aime connaître les histoires, les rencontres sont ainsi toujours plus alléchantes. »
histoire. Refuse totalement de parler de son passé et de sa famille. Se renferme sur elle même aussitôt le sujet aborder. Aucune façon de la faire parler. Et nous n'avons aucune source pour nous parler d'elle. Dans la ville de Salem, la chasse aux vampires avait déjà commencé. Nous étions dans les années 1692. Des rumeurs circulaient dans la ville. On parlait de sorcières, de monstres, de buveurs de sang. Les moindres suspects étaient enfermés ou envoyés au bucher. Les enfants ne sortaient pas tard et devaient être rentrés avant le coucher du soleil. Les parents s'inquiétaient pour l'avenir de leurs progénitures. Plus le temps avancait, moins les gens sortaient dehors, craignant le noir et cherchant la lumière. Plusieurs accrochaient de l'ail sur la porte ou dormaient avec une croix. Salem avait tout l'air d'une ville fantôme et déserté. Qui aurait cru que tout ça était vrai ?
~¤~ La chasse allait bon train. Tout le monde restait encore dans leurs maisons sans jamais sortir. Sauf peut-être pour aller s'acheter à manger. Mais malgré les interdictions de ma mère à sortir, je ne pouvais pas rester enfermée toute la journée à l'intérieur de la maison, de l'eau bénite à la main. J'avais 23 ans alors je me permettais de faire ce que je voulais. Mais ma mère étant vieille et en mauvaise santé, je ne sortais pas souvent. Je restais à son chevet, m'occupant d'elle du mieux que je le pouvais. J'avais appeler un docteur mais il refusait de venir, les vampires et les sorcières en étant la cause. Mais qu'est ce que tout le monde avait à craindre tout ça ? C'est que les gens du village sont tellement influencables ! Il ne s'agit probablement que d'une rumeur. Nous étions en août. Une très belle journée pour aller se promener à l'extérieur. Laissant ma mère se reposer, je quittais la pièce dans un silence presque total. Qui savait combien de temps allait durer cette chasse aux buveurs de sang.. Rester dans une maison sans rien faire, ce n'est pas une vie. C'est malsain. Je sortis de la maison, le soleil étant omniprésent, ce qui veut dire que personne n'osait mettre le nez dehors. Mais moi j'avais envie de sortir. Suivant le courant de la rivière, je marchais toute la journée, profitant du moment. Mais on aurait dit que même la fôret avait cesser de vivre, qu'elle se cachait. Les oiseaux ne chantaient plus, le bruissement des arbres ne se faisait plus entendre. Seul le craquement des branches sous mes pas comblait le silence. Le soleil se couchait de plus en plus et même si j'aurais voulu rester encore quelques heures à l'extérieur, je décidais de retourner à la maison pour ne pas que ma mère s'inquiète trop pour moi. Je ne voudrais quand même pas qu'elle se fasse du mauvais sang par ma faute. Et je revins sur mes pas, d'un pas plus rapide. J'avais beau ne pas croire à ce que tout le monde disait ces derniers temps, je n'aimais pas beaucoup rester seule dans le noir. Ça n'avait rien de particulièrement amusant. Je regardais le soleil disparaître à l'horizon. Aucun son .. J'étais seule. Moi et la nuit sombre. Je pressais le pas un peu plus, à ma propre surprise.
Crac ! Je me retournais, pas du tout confiante maintenant. Je retire toute mes paroles. Là, j'ai peur. Et vraiment beaucoup en plus. Mais je ne voyais rien puisque la nuit était tombé. Je ne voyais qu'une ombre. Et étrange coincidence, c'était la nuit. Bizarrement, je commencais à penser que tous les murmures que j'entendaient n'étaient peur-être pas des mensonges finalement. Il s'approchait de moi, tel une ombre insaisissable. Je ne pouvais percevoir que sa silhouette. Je ne voyais ni son visage, ni la couleur de ses cheveux. Mais à sa stature, il était évident que c'était un homme.
- Qui est là ? Il sortit d'entre les arbres pour se montrer aux lueurs de la lune. Il était magnifiquement beau. Mes lèvres tremblaient ainsi que mes mains. Sa peau était blanche. Mais j'étais certaine d'avoir la même couleur tellement j'avais peur.
- Je t'ai effrayé mon enfant ? Ce n'était pas dans mes intentions.. Je ne dit rien. J'avais les lèvres soudé ensemble et les mots ne dépassaient pas ma bouche, restant accrochés à ma gorge. J'avais mal au coeur et j'étais sur le point de perdre connaissance. Il s'approcha de moi à une vitesse surhumaine.
-Vous êtes un vampire ?
La question s'imposait je pense. Et il rit. Un rire fort et qui faisait presque trembler la terre. Ses lèvres formèrent un immense sourire. Sombre mais toutefois charmant. Ses yeux se plantèrent dans les miens. Il était si .. hypnotisant.
- Oui. Et je m'ennuie cruellement. Je suis un solitaire mais j'ai besoin de compagnie. Mais les humains sont si fragiles..
- Ha oui ?
Il me sourit et je vis ses canines. Mais je n'avais plus peur. Je le regardais et il me semblait illuminer de partout, comme un ange. Il avait l'air gentil ... Je ne disais rien. Plus je le regardais et plus je me disais qu'il n'avait rien de ce qu'on pouvait dire dans le village. Pourquoi les tuer alors ? Et .. Et en plus ... En plus il était si beau. De grands yeux verts et des cheveux bruns foncés en bataille. Il s'approcha de moi et posa ses lèvres sur ma nuque, doucement. Et dans un geste brusque, ses dents fendirent l'air avant de se planter dans ma chair dans un déchirement. Je sentis le sang quitter mon corps. Et à cet instant précis, je me trouvai vraiment stupide de m'être laisser avoir. Et sur ce .. Le noir.
~¤~
C'était un cauchemar. Oui, oui, oui, oui, oui. Tout ce qui venait de se passer n'était qu'un rêve et j'allais me reveiller dans mon lit, dans ma maison. Un cauchemar. Mais en ouvrant les yeux, tous mes espoirs s'étaient envolés. J'étais assise sur le sol, ma peau salie par la terre et mes vêtements en mauvais état. J'étais un vampire ? Non ! Mais en regardant ma peau, je vis bien qu'elle était aussi blanche que la neige. Je devais partir .. Partir loin d'ici et ne jamais revenir. Je savais ce qu'on allait faire de moi. On allait me tuer. Je ne pouvais plus rentrer chez moi. Ma mère ne voudra plus me voir. Elle me chassera et je n'avais pas envie de vivre ça. Je me relevai et marchai dans une direction quelconque tout en titubant. Où aller ? Je ne sais pas mais une chose était sûr, je ne pourrais plus jamais revoir ceux que j'aimais. J'étais seule au monde maintenant. Non, lui était là .. Et justement, il se trouvait juste devant moi. Il marchait dans ma direction. Je me mis à reculer, soudainement prise d'une peur immense. Que me voulait-il ? Je trébuchai sur une branche et tombai sur le sol, toujours aussi effrayée par lui. Il s'assit en face de moi et me regarda d'un regard désolé. Je ne voulais pas de sa pitié ! Au moment où il voulu me prendre la main, je me dérobai. Deux secondes passèrent avant que je sois de nouveau debout et que je me mette à courir comme un lapin. Je sentais le vent dans mes cheveux et mes foulés étaient si grandes que j'avais l'impression de voler. Je fis une collision avec ce que je pensai être un arbre. Mais non, il était là devant moi et il n'avait pas l'air contente que sa nouvelle compagne fasse la fugitive. Il me pris le bras. En me débattant, je me rendis vite compte que c'était un combat perdu d'avance. Il était beaucoup plus fort que moi et je n'avais pas beaucoup de volonté. Il m'invita à m'installer sur le sol et j'obéis comme un animal docile. Il s'assis en face de moi et me regarda, encore mécontent. Dans ma tête, toutes mes pensées n'étaient qu'un amas de mots incompréhensibles. Si quelqu'un aurait regardé dans ma tête, il n'aurait absolument rien compris.
- Je suis vraiment désolé de ce que j'ai fait mais je me sentais tellement seul. Et puis vous étiez la seule à vouloir sortir.
- Allez en enfer.
Je pensais ce que je venais de lui dire. Qu'il brûle et qu'il ne revienne jamais. Il avait l'air gentil comme ça mais ça n'excusait en rien ce qu'il venait de me faire. Il m'avait mordu et j'étais maintenant un vampire. J'avais envie de lui cracher au visage et de m'enfuir de nouveau. Mais comme il était plus rapide que moi et plus fort en plus, ce n'était pas une bonne idée. J'étais arrogante et insolante. Je n'avais jamais utilisé ce ton avec quelqu'un mais je pense que c'était une assez bonne raison. Je le détestais. Je ne voulais plus voir son beau visage qui lui donnait l'air d'être si innocent alors qu'il ne l'était même pas.
- Il faut que vous me fassiez confiance. Si vous partez, vous allez mourir. Vous ne pouvez pas commencez cette vie seule.
Mourir ? Pourquoi ? J'était déjà morte ! Je ne voulais pas lui faire confiance. Qui savait ce qu'il pouvait me faire. Mais il fallait avouer que j'avais besoin de lui. Il avait probablement raison en disant que je ne pouvais pas vivre toute seule durant mes premiers jours. Bien que ce n'était pas ce que je voulais vraiment, je fis un signe de tête affirmatif. Il me sourit. Il se mit à m'expliquer les règles de vampires. Parce qu'il y avait des règles quand on était un vampire ? Apparement oui. Il faisait noir et il prit presque toute la nuit à me parler de ce que je pouvais ou ne pas faire. Le monde dans lequel on venait de me projeter était digne d'un film d'horreur. Et tellement différent. Mais pas aussi effrayant que je l'aurais penser. Pas enjoué non plus mais seulement ... Pas pareil. J'étais complêtement captivé parce qu'il me disait. Il s'appelait Simon. C'était quelque chose de bien à savoir quand même. La nuit était sur le point de se terminer et de laisser place au soleil, chose qui allait me manquer énormément. J'adorais tellement le jour. Il y avait quelques inconvénients à être de la race vampirique mais aussi des avantages. Si vous saviez la force que j'avais ! C'était ridicule. Mais j'aimais bien ça. Et voilà que je commencais une vie dont je ne connaissais que les grandes lignes.
Dernière édition par Louna Bloom le Dim 20 Sep - 22:03, édité 11 fois | |
| | | Louna Bloom Vampire
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| Sujet: Re: Louna Bloom [TERMINÉ] Jeu 27 Aoû - 11:48 | |
| Voilà presque 300 que j'avais complêtement changé de vie. Et nous étions toujours dans la ville de Salem, aujourd'hui appelée Denvers. En fait, ça faisait exactement 277 ans que je n'étais plus humaine. Nous étions donc en 1969. Pour un humain, c'est énorme. Mais il y a des vampires qui sont beaucoup plus âgé que moi et Simon réunis. Dans les début, ça avait été difficile pour moi de suivre le rythme de Simon. Il était beaucoup plus expérimenté que moi. Mais il faisait de son mieux pour se mettre à mon rythme, chose qu'il ne faisait pas toujours très bien. Il ne devait pas être habitué d'avoir une jeune vampire dans les pattes. Mais c'était son problème alors je n'avais pas à prendre la faute sur mon dos. Mais je me plaisais bien avec lui. Il était gentil et attentif et plus le temps avancait, moins je lui en voulait. En fait, je lui avais pardonné aujourd'hui. La rancune ne faisait pas partie de mes défauts.
Nous étions dehors alors que c'était la nuit. Comment pourait-t-il en être autrement ? Nous ne sommes pas du genre à vouloir mourir tout de suite. Et puis, c'est super marrant d'être un vampire. Mais pour l'instant, nous n'étions pas à la recherche de nourriture. On marchais, rien de plus. Comme un couple mais nous n'en étions pas un. Seulement comme deux bons amis qui prennent une marche, quoi. Une odeur de sang frais et affreusement alléchant traversa mes douces narines. Mmmm ! Simon eu la même réaction que moi. Malgré le fait que nous n'avions pas particulièrement faim, une si bonne odeur ne pouvait pas être oublié. Nous suivîmes l'éfluve, lentement mais sûrement. Pas à pas, nous nous raprochâmes de la cible. Mais une fois sur place, il n'y avait personne. Ni un animal, ni un humain. Rien ni personne. Nous étions seuls dans cette grande fôret. C'était quoi cette blague ? Notre nez nous avait trompé ? Impossible. Mais l'arôme se trouvait encore dans l'air, me donnant l'eau à la bouche.
Sans prevenir, une énorme douleur s'abattit sur l'ensemble de mon corps. De l'argent ! Mais merde, c'était quoi cette blague ? Simon était à mes côtés, criant comme un cochon sentant la mort qui approchait. Je ne voyais plus rien. Je criait comme une folle en délire. Je sentis qu'on nous transportait mais je n'avais aucune idée d'où on allait nous mettre. Ils ne disaient rien qui puisse nous mettre sur une piste. Mais n'importe qui avec un peu d'intelligence pouvait deviner qu'ils n'avaient pas d'intentions positives. Quand je pense qu'on s'était fait avoir par une ruse aussi stupide et facile. Quelle idiote j'étais !
« Laissez nous tranquille espèces d'ordures ! »
Ils se mirent à rire. Je reçu un coup sur la tête, mais il ne m'assoma pas assez pour que je perde connaissance. Ils voulaient me tuer ou quoi ? Bande de sauvages ! J'essayais de me défaire mais j'avais beaucoup trop mal pour me sauver. J'avais la peau qui brûlait et il n'était pas question que je m'agite trop. Je restais donc tranquille, pensant que j'aurais peut-être une petite chance de m'en sortir si je faisais la petite fille sage. On ne sait jamais ! Et puis je n'avais pas envie de recevoir un autre coup sur la tête. Ça fait mal ! Je sentis alors qu'on me déposais sur un lit, ou quelque chose qui devait ressembler à un lit. Qu'est-ce qui se passait ? On était arrivé ? Ils enlevèrent l'argent qui recouvrait mes jambes et mes bras. Ça y est ! Il allait me relacher ! Ils allaient le regretter. Au moment où j'allais bondir sur eux, ils m'attachèrent. Mais pas avec de l'argent. Ils enlevèrent finalement le masque qu'ils avaient eu le culot de me mettre sur la tête. Et ils partirent sans rien ajouter. Tant mieux !
Sur le coup, j'aurais pensé être dans un hôpital. Mais je n'étais pas malade et je ne voyais personne de souffrant autour de moi. En fait, j'étais seule dans une grande pièce. Les murs de ma chambre étaient d'un blanc aveuglant et qui faisait mal aux yeux. Autour de moi, il n'y avait que des tas de cables qui sortaient de tas de machines. Il y avait aussi un petit plateau avec un scalpel et des ciseaux. Et alors là, je compris. Je me mit à me revolter. Je me débattis, essayant de toutes mes forces de me défaire de cette prison. Pas question qu'on se serve de moi comme cobaye ! Je suis une personne et j'ai des droits !
« Lâcher moi ! Laissez moi partir ! »
Une infirmière arriva en courant dans la pièce. Elle pris une seringue dans ses mains et au moment où elle allait me piquer, je lui montrais mes dents en sifflant. Elle recula, apeurée. Elle avait peur. Je n'avais aucunement besoin de lire dans sa tête pour le savoir. Ça se lisait sur son visage. J'essayais tant bien que mal de me défaire des chaines qui me retenaient sous le regard de la jeune femme qui était paralysée par la peur. Une des chaines qui retenait mes mains céda. J'arachai d'un seul coup l'autre fer. Une alarme se mit à crier et un homme entra dans la pièce et pris la seringue dans ses mains. La même aiguille que la jeune infirmière de tout à l'heure avait essayer de me mettre dans le bras. Il s'approcha de moi et je le frappais de toute mes forces. Il alla s'écraser contre le mur avant de s'écrouler sur le sol. Je liberai mes jambes. Enfin, j'allais prendre Simon au passage et m'en aller loin d'ici ! Mais je sentis une aiguille percer la chair de mon cou.
Je me retournais, regardant dans les yeux celui qui avait osé me planter une substance dans les veines. Je lui pris la seringue et la cassait dans ma main. Il recula. Tu regrette ton geste mon petit ? Tu a peur ? Tu veux peut-être que dieu te vienne en aide. Dieu n'existe pas ! Les anges ne sont qu'une blague, une plaisanterie. Le monde n'est que ténèbres et ombres. La guerre fait rage dans le monde entier, des gens meurt de la famine et des maladies. Et tu pense que dieu te sauveras parce que tu fait pitié ? Pries autant que tu le veux mais moi je te répond : Meurt. Un seul coup suffit pour qu'il ne soit qu'un cadavre sur le plancher de la pièce.
« Pauvre petit.. »
Je n'aimais pas tuer des gens quand ce n'était pas pour manger. Mais là, il l'avait chercher. Comme le garçon de tout à l'heure. Je sentis alors l'effet de la piqure. Mais pourquoi est-ce que ça arrivait maintenant. Un pas après l'autre, je me dirigeai dans les couloirs de cet immeuble blanc et qui me faisait très peur. Ils me cherchaient. Je tombais à genoux, prise d'une soudaine fatigue. Mes yeux se faisaient lourds. Je marchais à quatre pattes dans une destination inconnue. Il ne fallait pas que je m'endorme. Je devais rester debout. Mais plus j'avançais, plus je me sentais lourde et faible. J'entendis les gens courir dans le couloir derrière moi.
« Ne la laissez pas partir ! Et faites attention, elle est dangereuse. »
Dangereuse ? Je ne fait que me défendre. Je sentis des tas de mains se poser dans mon dos et me relever. J'essayais de me débattre mais je n'avais plus asser de force. Et je m'endormis sur cette pensée.
~¤~
Mes yeux s'ouvrirent. J'étais de retour dans cette affreuse chambre sans couleur et tellement froide. Mes efforts n'avaient servis à rien. Mais je n'en avais pas fini avec eux. Ils ne pourraient pas me retenir pour toujours avec eux. Je trouverai bien un moyen de m'en sortir. Je levai la tête. Personne. J'essayai d'enlever les chaines qui me retenaient. Mais elles étaient plus solide. Même en usant de toute ma force, il n'y avait rien à faire.
Un homme entra au même moment, le sourire aux lèvres. Il était grand et joli. Pour un humain .. Ils devaient probablement attirer l'attention des femmes qui se trouvaient sur son chemin. Moi, je ne voyais qu'un espèce d'imbécile qui pensait vraiment que je le laisserai se servir de moi. Il se mettait le doigt dans l'oeil cet idiot. Il s'aretta devant mon lit, un calepin et un crayon à la main.
« Alors, comment est-ce que tu t'appelle ? »
« J'ai pas à te le dire. »
Il rit. Il prit le scalpel sur la table à ma droite et s'approcha de moi.
« Je repose la question. Quel est ton nom ? »
Je ne répondit pas. Pourquoi il voulait savoir mon prénom ? Ça n'allait probalement pas changer quelque chose dans sa vie qu'il ne sache pas mon nom, mon âge ou tout autre informations à mon sujet. Je ne lui devais rien du tout à ce gars là. Sauf peut-être un coup de poing au visage ou quelque chose du genre. Quand il vit que je n'avais aucunement l'intention de parler, il déposa la lame sur mon bras. Il me regarda droit dans les yeux. Il n'avait pas l'air certain de vouloir m'enfoncer cette lame dans le bras. Il pensait probablement que j'allais ceder sous ses menaces et il n'attendait que ce moment. Mais non, j'allais le laisser faire.
Il appuya un peu mais ma peau était plus solide que celle d'un simple humain. Il y alla plus et il n'en fallu pas plus pour que le sang se mette à couler le long de mon bras. Je souffrai, je ne pouvais pas le nier mais je ne le laissai pas paraître. Ce monsieur allait apprendre que je ne cédais pas sous les menaces. Allez, coupe mois les veines tant que tu veux, je ne dirai pas un mot. Mais il ne continua pas plus loin. Il déposa la petite lame sur le plateau. Et bien quoi ? Tu n'a plus envie de me faire souffrir ?
« Tu sais ce qu'on fait avec les patientes qui ne veulent pas parler ? On les envoye à la chambre 118. Tu veux savoir qu'est ce qu'on fait dans la chambre 118 ? On donne des électrochocs jusqu'à ce que la personne parle. Et si tu a de la chance, tu garde tout ton cerveau. »
« Qu'est ce vous attendez alors ? Allons-y ! »
Je lui fit un sourire diabolique. Il grogna et tapa du poing sur la table. Tous les instruments partirent dans tous les sens. Il prit ma civière et me transporta hors de ma chambre, dans les couloirs. Le pauvre ne suportait pas que quelqu'un lui tienne tête. Mais le pauvre petit n'était pas au bout de ses peines. Je ne suis pas une fille facile. Je ne suis plus la jeune femme qui obéissais sans contredire qui que se soit. Tu pourras bien me faire tout ce que tu veux, tu va quand même te prendre un sacré coup dans la gueule à la fin de cette histoire.
Il était rouge de rage et il n'entendait rien de se que je disais. La patience est une vertue importante dans la vie mon petit. Du devrait peut-être apprendre à t'en servir. Nous entrâmes dans une pièce aussi blanche que celle dans laquelle on m'avais mise. Mais il n'y avait qu'une table sur laquelle était posé une toute petite boîte. Probablement le joujou qui allait me faire souffrir. Des infirmières entrèrent dans la pièce qui était petite et cette dernière se remplit rapidement. Ils déposèrent un morceau de caoutchouc dans la bouche et posèrent des écouteurs sur mes tempes. Une des infirmières alluma la boîte qui se trouvai sur la petite table de chevet. Et elle mit l'instrument en marche.
Je sentis toutes les fibres de mon être en train de brûler. Je sentais que mon cerveau était en train de se décomposer. Mais la douleur continuait. Je serais les poings tellement fort que mes ongles taillaient ma peau et que le sang coulait sur mes poignets. Après quelques secondes, la douleur cessa. Je pleurais comme une enfant. L'homme me reposa la même question que tout à l'heure mais je ne répondit rien. Plus par fièrté et par orgeuil que par peur. Le manège recommenca et je ne répondit toujours pas. Frustré par mon manque de colaboration, les scéances de torture prennaient plus de temps et les pauses entre chaque scéances se faisaient plus courtes. Je ne comptais plus le nombres de gouttes de sang qui coulait sur le plancher.
« Ton nom !! »
« Allez vous faire foutre .. »
« Allez, envoyez une autre charge plus forte. »
« Vous allez la tuer ! »
Il alla lui même appuyer sur le bouton et une nouvelle charge me traversa la corps. Mais alors que la douleur devait s'aretter, il continua. Un humain normal serait déjà mort.
« Monsieur ! »
Mais il ne fit rien. L'infirmière se précipita sur la machine et l'aretta elle même. La douleur cessa enfin. J'avais le visage en sueur et j'avais le visage plein de larmes. Une autre charge et c'était certain, j'allais avoir des séquelles permanentes. La dame qui m'avait aidé était assez jeune. Ses cheveux était d'un beau brun chocolat et ses yeux aussi. Elle avait probablement le même âge que moi au moment où j'étais devenue un vampire. Mais pourquoi quelqu'un de si jeune travaillait dans un trou perdu comme ici ? Y avait-t-il quelque chose de particulier qui attirait toutes ses jeunes personnes dans un endroit comme celui-ci ? J'en doute. De toutes façon, je n'en avait rien à faire. Ils étaient tous des moins que rien qui se faisaient un malin plaisir à faire souffrir n'importe qui. La brunette pris ma civière et me transporta hors de la chambre 118.
Dans le couloir, une autre dame qui transportait quelqu'un d'autre sur une civière passa à mes côtés. Au début, je n'avais pas remarquer qu'il s'agissait de Simon. Il avait le teint encore plus pâle que d'habitude et ses yeux lui donnait un air piteux. Le déclic se fit comme ça, alors que j'aurais du m'en rendre compte beaucoup plus tôt. On avait passé 277 années ensemble ! Et là, j'explosais de nouveau. Surtout parce qu'il se dirigeait vers la chambre 118.
« Simon ! SIMON !! Qu'est-ce que vous lui avez fait ?! Pourquoi il est aussi mal en point ? Laissez le ! Je vais tous vous tuer ! Si vous lui faite du mal, vous allez tous mourir ! »
J'essayais de me défaire mais il n'y avait rien à faire, les chaines étais beaucoup plus solide que la dernière fois. Je n'avais aucune chance. La dame me laissa seule dans ma chambre et sortit le plus vite possible. Je continuais de gigoter sur mon lit. Je forcais tellement que j'avais les chevilles et les poignets en sang. Le grand bonhomme que je détestais entra dans la pièce, avec son éternel calepin à la main ainsi que son crayon. Il ne semblait avoir aucun regrets. Espèce de sans coeur.
« Espèce de lâche. Tu n'es qu'un salopard. »
Il ne pris même pas la peine de me regarder. Non mais il pouvait au moin me regarder dans les yeux quand je lui lancais des insultes.
« Qu'est-ce que vous voulez de moi ? »
« Moi ? Je veux seulement t'aider ma petite. »
M'aider ? En me donnant des électrochocs et en me coupant avec un scalpel ? Non mais c'est une blague ? Et il pensait vraiment que j'allais croire ça ? Je ne suis pas une imbécile tout de même. Je sais très bien à quoi sert tout ça. Si il pense que je suis assez naïve pour croire cette explication bidon, il se trompe. Je ne suis pas folle tout de même. Je vois clair dans leur manège. Tout ce qu'ils vont me faire, parce que ce n'est probablement pas terminer, c'est seulement pour assouvir leur petit côté curieux. Rien de scientifique la dedans. Ils se disent être des medecins et qu'ils savent très bien ce qu'ils font mais personnes ne les croient. Enfin pas moi en tout cas.
Il écrit quelque chose dans son petit calepin. Les minutes passaient et le silence restait là, plannant dans la pièce. Ni lui ni moi n'osait dire quelque chose. J'entendais tout ce qui se passait dans ''l'hôpital''. Les pas du personnel, les civières qui roulaient dans les couloirs. Tous ses bruits me rendaient nerveuse. Jusqu'où serait-t-il prêt à aller pour me soutirer des informations ? Je n'avais même pas envie de le savoir. C'était tous des malades mentals. C'était eux qui devraient se trouver couchés sur des civières et pas moi.
« Votre nom. »
Encore cette question là ? Si je n'avais pas répondu jusqu'à maintenant, c'était peut-être parce que je n'en avais pas envie. Et je n'étais pas prête de lui répondre à ce clown.
« Et le tien ? C'est quoi ? »
« Maxime. Maxime Mayer. »
Maxime. Tu es maintenant sur ma liste noir. Et il y a d'autres qui allaient s'y ajouter d'ici quelques jours. Parce que tout le monde dans cet édifice a un côté méchant. Et tout ceux qui seront sur ma liste auront un traîtement digne de ceux qu'ils font aux patients. Et je repensai à Simon. L'image que j'avais de lui tout à l'heure m'avait traumatisé. Il faisait tellement pitié. Il avait un air de malade et il semblait être en transe. J'allais mener ma petite enquête pour savoir ce qu'il lui avait fait. Mon seul et unique but maintenant, c'était de le sauver. Et de nous échapper aussi. Et est-ce qu'il avait parlé lui ? Non. Probablement pas. Ce n'est pas son genre de parler sous la pression. Il ne dira jamais rien, j'en était certaine.
« Alors, tu veux me dire qu'est-ce que tu es ? »
Comment ça, qu'est-ce que j'étais ? Je n'étais pas une chose, mais quelqu'un ! Il se prennait pour qui lui pour me traiter comme si je n'étais qu'un vulgaire objet ? J'eu un rictus mauvais dont il ne prit même pas la peine de regarder. Il se leva et pris ma civière et me transporta dans le couloir. Quoi ?! Encore la chambre 118 ? Non mais je n'avais rien dit ! Il est fou ! Il allait me tuer si il continuait comme ça. Et ça ferait probablement son affaire. Mais au lieu d'entrer dans la pièce comme je le pensais, il nous amena dans une pièce qui ne se trouvait pas très loin de la chambre 118. Nous entrâmes dans la pièce. Elle était beaucoup plus grande que celles que j'avais vu jusqu'à maintenant. Mais elle était aussi blanche et sans vie que les autres. Des fenêtres se trouvaient sur tous les murs mais elle étaient couvertes de draps qui empêchaient la lumière d'entrer. Il me laissa seule dans l'immense pièce et une fois à l'extérieur, les chaines qui me retenaient se détachèrent toutes seules. J'étais oû là ? Mais tout ça m'intriguait. Pourquoi me laisser seule dans une pièce ? Il voulait que je leur fasse une danse ? Mais je n'avais rien compris du tout. D'un seul coup, les draps qui cachaient les fenêtres tombèrent et les rayons du soleil entrèrent de tous les côtés dans la pièce. Ma peau se mit tout de suite à brûler et après seulement quelques secondes, je m'éffondrais sur le sol. Ma peau me donnait l'impression de fondre et vous ne pouvez pas imaginez la douleur que ça faisait. C'est comme se mêttre la main au dessus du feu en permanance.
« Arettez .. Arettez je vous en suplie. »
Je parlais tellement bas que personne ne m'entendait. Je pleurais. Je rampais jusqu'à la porte le plus rapidement possible. Les larmes coulaient sur mon visage tandis que j'avançait vers la porte. J'aimais mieux mourir que d'avoir à subir toute cette torture. Je cognais à la porte en gemissant. Mais personne ne m'ouvrit. Je cognais encore, certaine que quelqu'un aurait assez de coeur pour m'ouvrir la porte. Peut-être par pitié mais peut importe. Tout ce qui comptais c'était qu'on me laisse sortir de cette pièce. Je ne voulais pas mourir .. Mon poing cessa de s'abattre sur la porte. Personne ne viendrait m'ouvrir. J'allais mourir grillé ici même et personne n'allait s'en rendre compte. J'espérais seulement que Simon n'ai pas à subit ça. Je m'assis en boule, accotée sur la porte. Je ne veux pas mourir, je ne veux pas mourir, je ne veux pas mourir.
Et finalement, le soleil se tût. Non mais qu'est-ce qu'ils voulaient de moi ? Me faire souffrir et arettez au moment où j'allais mourir ? Je les déteste. Et bien sûr, une équipe de personnes arriva en courant et m'installa sur ma civière avant de me remettre les chaines. Si seulement je pouvais enlever ses stupides liens et sortir de cette prison. Mais non, j'étais ici pour un sacré bout de temps.
« Allez tous vous faire foutre. Vous n'êtes qu'une bande d'imbéciles sans coeur. »
~¤~
« Louna Bloom, c'est l'heure de l'examen. »
Examen. Ce n'était qu'un autre mot pour ne pas dire torture. Quand je pense qu'en seulement deux ans, j'avais perdu toute force et toute détermination. Nous étions donc déja en 1971. Deux ans qui avaient passé tellement rapidement. Ils réussissaient maitenant à me sortir les vers du nez sans trop de difficulté. J'en avais honte mais je n'avais plus la force de me battre contre eux. Ils trouvaient toujours une meilleure façon de me faire payer. Je restais donc sage, sans pour autant me départir de mon ton arrogant et de mon plaisir à effrayer le personnel. Mais maintenant, plus personne ne prêtait attention à ce que je faisais. C'était comme si je n'étais qu'une ombre, un fantôme. J'avais l'impression de n'être personne. J'étais tellement seule. Je n'avais pas revu Simon depuis deux ans. Depuis la première journée où nous étions entré ici, je n'avais pas eu la chance de revoir son visage. J'avais du mal à me souvenir des traits de son visage. Mais il était encore vivant. Je le savais parce qu'un lien indescriptible nous unissait lui et moi. Mais je ne pense pas que je vais avoir la chance de le revoir un jour. Malheureusement, j'étais ici pour un bon bout de temps. Pour toujours peut-être. Je n'avais aucune idée de ce qu'ils pouvaient me faire. Ni le temps qu'ils allaient me laisser dans cette prison.
« C'est lequel aujourd'hui ? »
Je n'en avais rien à faire. Je posai la question par instinct et non par curiosité. Parce que c'était un test différent pour chaque jours. Mais l'évantail n'était pas très grand alors les même souffrances revenaient toujours au moins deux fois dans le même mois. J'en avais vu des vertes et des pas mûrs.
« Sans importance. »
Je soupirai. J'en avais tellement assez de toute cette souffrance et de tout ce qu'ils me faisaient endurer jours après jours. Mais je ne pouvais rien faire. J'étais faible et épuisé. Avec un peu de chance, je serais liberée pour bonne conduite. Ils m'assirent sur une chaise, sans chaines. Depuis quelques temps, ils ne trouvaient pas nécessaire de me les mettre. Mais ça n'avait rien de dangereux puisque je n'avais même plus la force de me battre. J'étais vraiment pathétique.
Comme à tous les jours, la madame me transporta dans les couloirs de l'immeuble, sans pour autant me dire où nous allions. Plus personne ici n'avait envie de me parler. J'étais vraiment seule. Les pièces défilaiemt à ma droite et à ma gauche sans que je leur prêtent attention. Après un long couloir et un virage dans une autre section, nous entrâmes dans une salle grande comme une chambre à coucher normal. Mais je n'aimais pas vraiment ce que je voyais. En fait, j'aurais pensé être dans une scène de film d'horreur. Il y avait des lames de différentes grosseur et des instruments dignes des plus grands psychopathes de la planête. Habituellement, c'était Maxime qui s'occupait des expériences qu'il me faisait subir. Mais aujourd'hui, c'était quelqu'un d'autre qui était à sa place. Mais elle n'avait rien d'un médecin ou d'un scientifique. En fait, c'était une petite fille au cheveux noirs et tout frêle qui se tenait dans la pièce. Elle n'avait pas plus de 8 ans. Ce n'était quand même pas cette petit fille qui allait utiliser toutes ses lames et ses intruments dangereux ? J'avais alors un peu de pitié pour cette petite fille. Elle était là, avec son air fragile et elle me fixait avec des yeux piteux. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien faire ici ? La dame me laissa seule devant cette petite fille.
Elle avanca vers moi en trottinant. Elle était toute mignone avec sa petite robe rouge. Mais pourquoi était-elle ici ? Elle s'aretta juste devant ma chaise et me dit « Ne t'inquiète pas, tout le monde sort d'ici un jour ou l'autre. » Et elle sortis. Au même moment, Maxime entra. Encore lui ? Il entra et me mit les chaines. Déjà, ça n'allait pas bien pour moi. Il entrait avec son petit calepin et notait je ne sais quoi à chaque fois que j'ouvrais la bouche, ce qui était vraiment frustrant. Il ne dit rien et pris tout de suite une lame dans sa main. C'était plus gros et plus épais qu'un simple scalpel. Mais le pire c'était que la lame était recourbé et denté. Houla ...
« Alors aujourd'hui, j'étudie la vitesse à laquelle ton corps referme tes plaies et repare les os cassés. »
Les plaies et les os cassés ? Mauvais signe. Il pris la lame et l'appuya dans la paume de ma main. Il ne me jeta même pas un regard et donna un petit coup et ma peau céda sous le poids de la lame. Ma main en sang ne pris pas beaucoup de temps avant de se refermer. Bien sûr, il nota ça sur sa petite feuille. Et comme ça, dans son humeur du moment, il plia mon doigts dans le mauvais sens jusqu'à ce que j'entende le bruit d'une fracture. Je poussai un petit cris étranglé.
« Espèce de malade ! »
« C'est tout pour aujourd'hui. »
Première bonne nouvelle de la journée ! Je n'avais même pas envie de savoir pour quelle raison il reportait le reste de l'expérience à plus tard. Tout ce qui comptait pour moi, c'était de retourner toute seule dans ma chambre. Il ne fallu que quelques minutes avant que je puisse fermer les yeux en toute quiétude. Mais je me sentais observé et j'ouvris les yeux instinctivement. La petite fille était devant moi et me regardait avec ses petits yeux verts. J'avais complêtement oublié sa présence. Mais il y avait quelques chose chez elle qui m'échappait.
« Comment tu t'appelle ? »me demanda-t-elle.
« Louna Bloom. Et toi ? Qu'est-ce que tu fait ici ? Ce n'est pas un endroit pour des petites filles comme toi. »
« Je m'appelle Aude. Ma maman vit ici. Elle est très malade. »
« Mouais .. »
Pas question que je croit des conneries pareils. Moi aussi je suis apparement malade et ce n'est pas le cas. Je n'avais même pas envie de savoir pourquoi sa mère était ici. Et dire que cette pauvre petite ne savait rien de tout ce qui se passait dans cet édifice.
« Ma maman, elle m'a dit de venir te voir. »
« Ha oui ? Pourquoi ? »
« Ma maman connait ton ami, Simon. »
Tout de suite, je me mis sur la défensive. Simon ? Qu'est-ce qu'elle connaissait de lui cette madame ?
« Et alors ? »
« Elle a entendu quelqu'un dire que ton ami était parti dans le ciel. »
Parti dans le ciel ? Ça veut dire quoi se language d'enfant ? Elle pourrait quand même être plus clair dans ses explications cette petite. Parti dans le ciel ... Attendez une minute. Non, non, non, non, non. Parti dans le ciel ça peut probablement avoir des tas d'autres sens que la mort.
« Aude. Il faut que tu me dise exactement ce que ta mère t'a dit. »
J'avais tellement peur que je tremblais de tout mon corps. Si jamais elle me disait que Simon était vraiment mort, c'était certain que j'allais rendre une petite visite à Maxime. Mais pas question que je m'emporte tout de suite alors que je ne sais pas réellement ce qui se passe.
« Maman m'a dit : « L'ami de de Louna est mort. » Mais je ne voulais pas te le dire comme ça parce que je trouvais ça trop triste. »
Et là, ce fut la panique. Je sautais de mon lit alors que la fatigue se faisait encore sentir dans tout mon corps. Je ne fis même pas attention à Aude qui était encore dans la pièce et courai dans les couloirs comme une folle à la recherche de cet espèce de salaud qui avait osé enlever la vie à mon ami. Mais je vis alors la chose que je ne tenais pas à voir. Lui .. Dans sa civière, les yeux fermés et la peau encore plus pâle qu'à son habitude. Il était là, comme un ange partis en paix. J'entrais dans la chambre, le regard fixé sur le visage de Simon.
« Qu'est ce qu'ils t'ont fait ? »
Et une colère encore plus grande que celle que j'avais déjà s'empara de moi. Je quittai la pièce à grand pas, un rictus mauvais sur les lèvres. Maxime n'avais qu'à bien se tenir parce qu'il allait avoir la peur de sa vie quand il allait me voir. J'ouvris toutes les portes, pièces pas pièces et couloirs pas couloirs, ne cherchant qu'une seule chose : celui qui avait tué mon meilleur ami. Et enfin, je le trouvai. Il était seul dans une chambre quelconque.
« Vous avez assasiné Simon ! Vous allez le payez de votre peau ! »
Mayer se leva d'un bond et alla se mettre contre le mur. Il tendit les mains vers moi, comme si il voulait me calmer. Mais plus rien ne serait en mesure de refroidir la colère qui bouillait en moi. Il tremblait de tout son corps et je pouvais sentir la peur en lui. Je voyais dans ses yeux toute la crainte qu'il avait envers moi.
« Ayez pitié. »
De la pitié ? Tu est drôle mon petit, très drôle. Il n'y a pas de pitié pour les hommes de ton espèce. La pitié n'existe pas dans le monde où je vis. Tout n'est que justice. Et tu va apprendre que dans la vie, c'est oeil pour oeil, dent pour dent. Il se mit à genoux et fit une prière. Quelle perte de temps !
« Aidez moi . »
« Qui implore-tu ? Dieu ? Moi ? »
Peu important à qui il demandait pitié. Il n'en aura pas. Il ne méritait que tout ce qu'il m'avait fait subir. Il ne méritait rien de mieux que la mort. Et si il pensait que j'allais le laisser partir sans rien dire, il se trompait.
« Louna, je peux tout vous expliquer. »
Je peux tout vous expliquer. Ils disent tous ça. Mais qu'y avait-t-il à comprendre de si compliquer ? Il y avait quelque chose qui m'échappait dans tous ça ? Que voulait-t-il me dire que je ne savais pas déjà et qui vallait la peine d'entendre. Pourquoi ils l'avaient tué ? Comment est-ce qu'ils l'avaient fait ? Je n'en avais rien à faire de tous ses petits détails. Ils avaient tué mon meilleur ami et ça n'en restera pas là, c'était certain. Je ne pris même pas la peine de le laisser continuer que je lui coupais le souffle en le frappant dans le ventre. Il tomba sur le sol comme une chiffe molle. Tant mieux pour lui. Je le regardai, ainsi couché sur le sol. Il ne faisait nullement pitié. Il le méritait. Mais je n'avais pas envie de le tuer. Il n'en vallait même pas la peine. L'alarme cria dans tout l'édifice, alarmant tous ceux qui se trouvait à l'intérieur. J'entendait tout ce qui se passait. Ce que j'entendais se résumaient à *Vite, attrapez la !* Je couru dans les couloirs, cherchant la sortie du regard. Mais je n'avais aucune idée de où elle se trouvait. J'étais ici depuis deux ans et je n'étais jamais sortie. Alors aucune chance que je sache où elle se trouve. Couloir après couloir, je cherchait du mieux que je pouvais. Une demi-douzaine d'hommes arrivèrent devant moi, shockers à la main. Des shockers ? Se sont des fusils à électrochocs. Je m'accroupis, prête à bondir sur eux si il le fallait. Pas question que je me laisse avoir cette fois ci. Une femme me pris pas surprise et me donna un charge directement dans le cou. Je tombai à genoux, prise d'une douleur beaucoup trop familière. Je me relevai en montrant les dents et en sifflant comme un chat en colère. La femme recula d'un geste instinctif. Les jeunes hommes se précipitèrent alors sur moi comme un seul homme, armes au poing. Il ne me fallu que quelques secondes pour les vider de leur sang. Ils n'étaient plus que des cadavres sur le plancher de céramique blanc.
Je continuai à courir, cherchant fébrilement la porte de sortie. Je ne pourrais pas continuer à courir ainsi indéfiniment. Je n'avais plus de force et j'allais probablement m'écraser d'épuisement. Mais une porte au loin attira mon attention. Je poussai dessu sans même savoir où elle menait. Mais avec chance, elle donnait sur l'extérieur et c'était la nuit. Je couru en direction des bois dans lequel ils m'avaient attrapé il y a de ça deux années. Mais je ne pouvais pas arettez de courir. Il fallait que je trouve un trou et me cacher à l'intérieur parce qu'ils me chercheront tant et aussi longtemps qu'ils ne me trouveront pas. Je vis alors une maison. Ma maison. Mon ancienne demeure. Elle était en ruine et probablement sans vie à l'intérieur. J'entrais dans ce qui était avant une demeure et me précipitai directement vers une trape dans le plancher. Étrangement, il y avait encore le petit tapis qui le recrouvrait. Peut-être que la maison n'était plus habité que depuis quelque temps. Je sautais dans le sous sol et m'assis dans le coin le plus sombre de la pièce.
Quelques minutes passèrent avant que j'entendent des pas de courses dehors. Ils étaient encore loin de la maison dans laquelle je me trouvait mais je tremblais comme une feuille. Si vous saviez tout ce qu'ils m'ont fait. Vous auriez mal juste à l'entendre. Il était donc normal que j'avais un peu peur d'eux. J'étais assise dans le noir, les jambes repliées sur moi même, me ballotant sur mes fesses.
« Ne t'inquiète pas Louna, ils ne te trouveront pas. »
Mais j'avais beau me réconforter moi même, je n'étais pas en total confiance. Rien ne les empêchera de me chercher, fouillant toutes les maisons du village et des alentours si il le fallait. Ils sont coriaces. Ils vont vouloir me retrouver le plus vite possible. Les heures passèrent, mais personne n'entra dans ma maison. C'était probalement le jour maintenant et ils étaient sûrement en train de redoubler d'efforts puisqu'il y avait beaucoup plus de chance de me trouver le jour que la nuit. C'était certain. Je ne pris aucune seconde de repos. J'étais beaucoup trop agité. Lorsque la nuit tomba de nouveau, je décidai qu'il était temps de sortir. Ça ne faisait que 24 heures qu'ils étaient à mes trousses mais je ne pouvais pas rester dans cet édifice pour toujours. Je devais m'enfuir loin d'ici et ne plus jamais revenir. C'était probablement la meilleure solution.
Je montai les marches, aussi silencieusement que mes pieds me le permettaient. Je tendis l'oreille à chaque fois que l'escalier craquait. Mais il n'y avait aucun bruit à l'extérieur. Et si c'était un piège ? Ils étaient peut-être juste devant la porte à attendre que je sorte pour me sauter dessus. Mais il fallait bien que je tente ma chance. J'ouvris la porte, jetant un coup d'oeil furtif dehors. Personne. L'endroit était tout simplement désert. C'était maintenant ou jamais. Je sortis, toujours attentive aux bruits des alentours. Mais je n'entendais que les ronflements humains, les pas dans les maisons. Aucune menace en vue. Je détalai le plus vite possible en direction du sud. Je n'avais aucune idée de l'endroit où j'allais mais ça ne m'importais pas. Je me sentais lâche de fuir mais il n'y avait pas d'autre moyen.
~¤~
Je ne m'arettais que le jour, pour me cacher dans les endroits qui me le permettaient. Je me cachais du mieux que je le pouvais, ne me reposant que très rarement. Je me nourrissais des humains qui trainaient la nuit et qui ne semblaient pas trop coriaces. Mon état s'améliorait de plus en plus mais j'avais toujours cette peur au ventre. Comme un pincement à l'estomac. Je passais mes journées à me demander où aller. Je n'avais pas de famille, pas d'amis. Bref, je n'avais personne pour m'aider. Les jours passaient et je ne faisais rien d'autre que marcher, me reposer et manger. J'avais l'air d'une âme en peine, d'un fantôme. J'essayais de passer le moins près possible des villages nombreux et des endroits où il y avait beaucoup de population. Les vampires étaient probablement très mal vu du reste du monde. Salem, n'était probablement pas la seule ville dans le monde à avoir des problèmes de vampires. Alors je restais loin de toute civilisation.
Ça devait faire au moins une dizaine de jours que je marchait. D'après mes calculs, nous étions en 1971. Et je ne devais pas être très loin de la réalité. J'avais une sacré bonne mémoire. Bref, j'arrivai en Louisiane. C'était la nuit et il restait des heures avant que le soleil ne se lève. Mais j'étais tellement épuisé par cette fuite qu'il fallait absolument que j'arette quelques temps pour me reposer. Je ne m'étais pas rendu compte avant aujourd'hui que j'avais autant de cicatrices. J'en avais à la grandeur du corps, sur toutes les parties de mon être. Je faisais vraiment pitié. Je vit alors un petit hôtel. Rien de très dispendieux probablement. J'entrais dans l'édifice, craintive mais déterminée. Un homme se tenait au comptoir à l'intérieur. Quand il me vit, il sembla surpris d'avoir un clien aussi tard.
« Excusez moi monsieur mais il me faut une chambre pour la nuit. Je suis sur le point de m'évanouir mais je n'ai pas d'argent. »
Il me regarda dans les yeux, pas certain du tout de me faire confiance. Ce n'est pas comme si je lui demandais de me donner de l'argent ou de m'offrir son hôtel. Je voulais juste me reposer un peu. J'allais repartir tout de suite après.
« Je peut vous aider en échange. »
« Ouais , ouais. Ça va. La chambre 118. »
Quelle ironie. Je montais les escaliers, et une fois dans la chambre, me laissai tomber sur le lit. Je n'avais pas envie de dormir. Seulement de ne pas courir, de ne pas me sauver. J'ouvris la télévision et ferma les rideaux de la fenêtre. J'étais particulièrement confortable ici. Je pense que je vais y rester.
~¤~
Voilà maintenant quelques années que je suis en Lousianne. 38 ans exactement. Ça faisait un sacré bail quand même. Le temps passe et plus je vieillis, mieux je me sens ici.
Dernière édition par Louna Bloom le Dim 11 Oct - 15:45, édité 12 fois | |
| | | Louna Bloom Vampire
Messages : 49 Date d'inscription : 26/08/2009
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| Sujet: Re: Louna Bloom [TERMINÉ] Mer 9 Sep - 18:45 | |
| J'AI FINI !! Désolé pour le petit retard .. | |
| | | Eurydice O. Kirsikkanen Fondatrice.
Messages : 191 Date d'inscription : 23/06/2009 © Credits : cristalline. Emploi : encore lycéenne
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| Sujet: Re: Louna Bloom [TERMINÉ] Dim 20 Sep - 14:31 | |
| Bienvenue (=
« C'est ici Eurydice, votre hôtesse de l'air et nous vous souhaitons un très agréable voyage à bord de notre compagnie. »
Pour commencer de la meilleure des façons ce voyage, je te souhaite -ainsi que toute l'administration- chaleureusement la bienvenue sur True Blood! Tu as terminé ta fiche et je vais donc maintenant pouvoir la modérer. Oh, mais ne t'inquiètes pas, je suis sûre que ce ne sera ni long, ni difficile.
Il faut absolument que je m'excuse de t'avoir laissé languir au fin-fond du forum pendant si longtemps. Sincèrement, nous en sommes désolés. J'avance d'abord le fait que la mise à jour du forum a accaparé une partie de notre temps, mais il n'y a pas que ça. Nous nous interrogeons en fait beaucoup sur ta fiche. Ne crois pas qu'elle soit mauvaise, loin de là, mais il a un problème de taille : le don de télépathie. En effet nous ne sommes pas sur un forum Twilight ou les vampires ont des dons. Dans True Blood les vampires ont déjà beaucoup de dons qu'ils peuvent utiliser de la façon qu'ils veulent, et leur dons psychiques sont uniquement dans le sens de la manipulation. Néanmoins, nous hésitons encore sur ton cas. Étant donné que tu as vraiment basé toute ta fiche sur ce don, il te serai vraiment fastidieux de devoir modifier en profondeur ton personnage. Car même minimiser ce don à une simple empathie ne satisferait ni ton personnage ni tout à fait les aptitudes de nos vampires. Qu'en penses-tu? Serais-tu prête à tout changer? Et les débats dans le staff continuent.
| |
| | | Louna Bloom Vampire
Messages : 49 Date d'inscription : 26/08/2009
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| Sujet: Re: Louna Bloom [TERMINÉ] Dim 20 Sep - 21:23 | |
| Je suis vraiment trop désolé. O_o''
Mais non ça ne me dérange pas du tout de changer ma présentation. C'est de ma faute ^_^ | |
| | | Louna Bloom Vampire
Messages : 49 Date d'inscription : 26/08/2009
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| Sujet: Re: Louna Bloom [TERMINÉ] Lun 21 Sep - 0:06 | |
| J'ai terminé les tranformations ^_^ Je m'excuse pour le malentendu. Et vous n'avez qu'à me le dire si vous trouvez des parties que j'aurais oublié de modifier. | |
| | | Eurydice O. Kirsikkanen Fondatrice.
Messages : 191 Date d'inscription : 23/06/2009 © Credits : cristalline. Emploi : encore lycéenne
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| Sujet: Re: Louna Bloom [TERMINÉ] Mar 22 Sep - 16:40 | |
| Si cela ne t'as pas posé plus de problèmes que ça, c'est tant mieux. encore désolé d'avoir tant trainé =S Je me suis souvenue aussi (c'est tardif vraiment ><) que dans la série, les vampires peuvent scanner les humains, mais on ne sait pas tout à fait en quoi cela consiste, mais c'est surement moins que de la télépathie. Tu pourras donc finalement utiliser cette idée un peu à ta sauce, dans une petite mesure. Il reste quelques mentions de la télépathie dans ta fiche, et la fatigue ayant eu raison de toute mon attention, je n'ai peut-être pas non plus tout vu. Il y a aussi des fautes, notamment dans les temps. Mais c'est mon jour de bonté aujourd'hui alors je ne ferais pas de zèle.
et puis après tout ce temps, et ta fidélité, je ne peux que t'éviter une attente supplémentaire en te validant ici et maintenant
| Ta fiche est maintenant validée! Yeah! Bravo, je te félicite! |
Tu peux maintenant entrer dans le jeu et accéder à toutes les fonctionnalités du forum, mais nous ne te lâchons pas si sèchement dans le roleplay. De nombreux outils sont à ta disposition pour ton intégration, et si tu as la moindre question (à poser dans la partie spectateurs), moi ainsi que toute l'administration se feront une joie d'y répondre. Je vais tout de suite après ce message te mettre ton groupe, ton rang, réserver ton avatar, ta profession et ton poste vacant s'il y a lieu, afin que tu puisses entrer très vite dans le forum. Je te conseille, afin de pouvoir jouer le plus vite possible, de te créer une fiche de relations, et de créer des liens avec les membres déjà présents, puis une feuille de roleplay, où l'on pourra te demander en roleplay, et où pour commencer ton aventure, tu peux toi aussi bien sûr proposer un sujet à quelqu'un. Tu peux aussi faire une demande de création de logement, proposer des emplois à l'ANPE. N'oublie pas d'aller visiter la partie informations complémentaires où nous avons précisé beaucoup d'éléments utiles au jeu. Si tu as des soucis, ou des doutes du coté de tes écrits, n'hésite pas à visiter le plumier. Et si un jour l'inspiration te manque, tu pourras toujours demander aux Muses de te concocter de nouvelles aventures. Nous avons mis en place un système de points : les Gouttes de Sang. Ces gouttes que ta participation à la vie du forum te fera vite gagner, te permettront d'acquérir des biens qui mettrons du piment dans le jeu. Bien sûr, tu as tout intérêt a t'impliquer en jeu et en hors jeu, que ce soit en faisant connaitre le forum ou en devenant Journaliste, Animateur ou Muse. Enfin, notre forum a besoin d'être peuplé pour pouvoir bien vivre, alors n'hésite pas à proposer à d'autres gens de venir, ou même à faire une demande de partenariat. oh et, juste avant de te laisser, ne te prive pas de la partie défis, ni du flood bien sûr!
Voila tu sais tout! Et je te souhaite un très bon jeu sur True Blood! | |
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