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 « I feel like catching you in my nets » ▬ Mr. Dante M. Anderson

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Ezéckièl L. Nièdziàl
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Ezéckièl L. Nièdziàl


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MessageSujet: « I feel like catching you in my nets » ▬ Mr. Dante M. Anderson   « I feel like catching you in my nets »  ▬  Mr. Dante M. Anderson I_icon_minitimeMar 27 Oct - 13:10


« I feel like catching you in my nets » ;

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Où Echo entre dans le plus sombre des Templiers


« Embrumée d'une fine couche grisâtre, le ciel du Central Business District de la Nouvelle-Orléans se faisait de plus en plus victime de l'obscurité au fil des minutes qui s'écoulaient les unes après les autres. Quelle heure était-il ? Dix-huit ? Dix-neuf ? A moins que l'on ne s'approche des Vingt heures passé ? Le sablier du temps n'était visible de là où était les personnes devant Ezéckièl ; devant l'entrée d'un énorme bâtiment en plein quartier des affaires. Une montre pas ici ? Non aucune. Un portable peut être ? Non. Venus - plus communément appelée « Etoile du berger » - avait fait son entrée depuis un moment et était, dès à présent, rejointe sur la piste de danse par quelques unes de ses « Compares » plus où moins proche de ce gros astre qu'était la Lune. Un croissant, plus qu'autre chose, cette grosse boule blanchâtre s'était immiscer nonchalamment dans le ciel alors que son ami et ennemie de toujours la soleil n'avait pas encore terminer sa course. La plus part des Building le cachait déjà, mais la tâche mauve, là bas, au bout, indiquait sa présence. Une aquarelle de couleur ; voilà ce qu'était le ciel en ce moment même. Entre jour et nuit. Entre lumière et obscurité. Entre vie et mort. L'entre deux qui faisait suffisamment mal aux yeux pour allumer les phares de la voiture, mais trop éclairé pour que certain ne se décide à appeler cela « Nuit ». Indécision ; tel était le mot qu'engendrait la pénombre ... le crépuscule. Journée ? Ou soirée ? Jour ? Ou nuit ? Se découvrir, ou non ? Indécision mes amis. Le crépuscule était de toutes, la partie de la journée la plus indécise qu'il soit. Entre début et fin, elle ne sait choisir entre être le point final d'une journée atroce, ou le « Il était une fois » qui marque le commencement de tout, de rien ; de la nuit. En fin de journée, ou en début de soirée, qu'importe, dira-t-on, c'était à ce moment là de l'histoire que se trouvait Echo, à l'entrée, devant les grandes portes qui vous disent « Welcome »

.


Contrairement à l'indécision qui envahissait l'espace, la brunette n'était ni hésitante, ni incertaine. Elle ne se préoccupait pas des circonstances dans lesquelles elle s'était balader dans les rues, elle ne se souciait pas une seconde des statistiques qui affirmait - à juste valeur ou non - que la plus part des agressions se faisait à cette période de la journée, elle ne souciait pas plus de l'air froid qui commençait à s'installer, ni de la brume qui en aurait donné la chaire de poule à autrui. Ezéckièl avait d'autres chats à fouetter. Pas des ... mais un plus précisément. Et celui-ci avait l'air d'en être un gros. Quand on voyait la gueule de son entre, et le sérieux dont le personnel faisait preuve, c'est qu'on avait à faire à un gros molosse. Finalement, ce ne serait pas un chat qu'elle viendrait fouetter, mais un gros dogue argentin, qu'il faudrait finalement caresser dans le sens du poil pour en faire son affaire. Entrer dans ce monument au nom si attrayant - « Le Templier » se nommait-il - la fit changer d'air. Une chose était sûr, c'est qu'il faisait bon de pénétrer dans un endroit si chaleureux - si immense. Pour tout dire, ça l'a changeait bien de sa piteuse chambre d'hôtel. Ô non ! Elle ne s'en plaignait pas. Elle était bien heureuse d'avoir un toi, et un lit où couché. Mais ça n'empêcher que de pénétrer dans un hall comme celui-ci était source de soulagement. Impressionnant ? Détrompez-vous mes chères, il en fallait beaucoup pour que notre jeune protagoniste ne soit éblouis. C'était juste bon de retrouver un semblant de classe - quoi qu'en y réfléchissant bien, elle n'avait jamais réellement frôlé le luxe à cette échelle là. Mais tout cela ne lui donnait qu'une information : le patron serait donc plus difficile à séduire. Quand elle avait reçut cette proposition d'emploi, elle avait plutôt imaginer un propriétaire de petite envergure. A en voir le nom du bâtiment, elle avait même penser à un moment qu'il s'agirait d'une boutique d'antiquité. C'est quand elle avait su l'emplacement de la chose qu'elle avait revue son plan à la hausse. En se retrouvant sur le tapi rouge, à l'entrée du bâtiment, elle n'avait pas été mécontente d'avoir prit son temps pour analyser la chose. Elle savait dés à présent que ce ne serait pas aussi simple. Tout du moins, que ce ne serait pas trop facile. Parce que le mot difficile, Ezéckièl ne le connaissait pas. Plus il y avait d'enjeu, mieux c'était. Et ce Mr. Anderson avait l'air d'être un gros poisson à pêcher. Autant vous dire qu'elle ne se présenterait pas comme une simple photographe. Non ! Ce serait à la grande Ezéckièl Nièdziàl qu'il aurait à faire

.


Ses bottines à talon claquait sur le sol, la ceinture qui maintenant la chemisette de couleur marron qui retombait sur son jean slim de couleur foncée teintait au rythme de ses pas déterminé. Son sous-pull noir laissait à la fois entre voir la décontraction dont elle ferait preuve, et la fermeté qu'elle incarnait. Sûr d'elle, et ses derniers plus beau cliché dans sa pochette d'artiste à la main, elle emprunta le flan droit de l'immensité qu'était le hall. Le comptoir ne s'ouvrit pas tout de suite à elle puisque devant elle, une petite fil d'attente s'était formée. Quelques colonnes étaient apparut, ce qui permettait une meilleure organisation. Les hôtes, et hôtesses d'accueil n'avait pas l'air trop désagréable, ce qui indiquait que ce Mr. Anderson aimait la rigueur. A moins que cela n'indique qu'il était un tyran qu'il faudrait savoir apprivoisé. Dans les deux cas, Echo mourrait d'impatiente de le faire patienter et de jouer avec pour mieux le faire tomber dans ses filets. Même si c'était elle qui était en position de demande, elle saurait tourner la situation de telle sorte à avoir les commandes en mains. Elle le savait, c'est tout. Ce qui était certain, c'était que si elle avait ce boulot - ou tout du moins quand elle aurait ce boulot - elle était sûr de toucher un bon petit pourcentage. A voir la gueule du business de ce Mr. Cresus, il ne faisait aucun doute qu'il ne la payerait pas une misère. Quand on savait les piètres - et rare - rémunérations qu'elle avait eut depuis sont arrivés à la Nouvelle-Orléans, on ne pouvait qu'en être satisfait.
Tandis que le bleu-gris de ses yeux parcourait l'ensemble du hall aux couleurs chaleureuses pour finalement se poser sur la partie spectacle de l'Hôtel, son ouï fut suscitée à quelques pas d'ici, où un client mécontent se souciait de son envie de rencontrer la grand patron de cet immeuble pour raison d'un mauvais comportement - selon lui - d'une des employées de chambre :

    _H ô t e s s e : « Je suis sincèrement désolé Monsieur, mais Mr. Anderson n'est disponible, ni pour vous, ni pour ce genre de cas là »
    _H o m m e : « Non mais je rêve ! Je crois surtout qu'il serait très intéresser de savoir comment on traite ses clients dans cet hôtel ! »
    _H ô t e s s e : « Je suis navrée pour vous, encore une fois, mais Mr. Anderson n'est pas disponible. Vous serez prié de repasser plus tard, dans la soirée. En attendant, nous vous envoyons du nouveau personnel, dans l'espoir de satisfaire votre demande »
    _H o m m e : « Savez-vous au moins qui je suis Mademoiselle ? Il me semble que ... »
    _E c h o : « Pardonnez-moi mais ... A moi, il me semble que la réel question est « Être ou ne pas être » Monsieur comment déjà ? »


S'en fut sans doute de trop pour la belle polonaise. Il y avait des gens - en l'occurrence comme ce trentenaire qui se pensait tout permis - qui venait à dépasser un point d'exaspération tel qu'elle en venait à sortir de ses gonds. Avec classe, cependant, elle s'était contenté de lui couper la parole sans un geste. Celui-ci, outré, et surtout surpris se retourna pour bégayer une réponse inaudible avant de se reprendre quelque plus intelligiblement :

    _H o m m e : « Monsieur Waklfield »
    _E c h o : « Hum ... très musical comme nom. Vous me permettez ? » Dit-elle en premier lieu avant de poser son travail sur le comptoir, et de s'y accoster avec grâce « Être, ou ne pas être ... en l'occurrence, dans votre cas, je crois même que la question serait plus un truc du genre « Être con, ou l'être un peu plus ». Je vais vous apprendre une chose, Monsieur Walkfield, quelque soit votre niveau d'influence sur ces ridicules immeuble pour la plus part inutile, ça ne vous permet pas d'être un salop, et encore moins de s'en croire permis. Jusqu'à preuve du contraire, quand un homme d'influence vous dit qu'il n'est pas disponible pour votre tronche, c'est qu'il n'y a pas à négocier. Vous devriez le savoir n'est-ce pas ? Alors maintenant qu'on vous a rabaisser dans votre fierté - totalement injustifiée - vous pourriez peut être revoir un peu votre discours d'homme terrifiant dans votre jolie suite, et revenir quand la dame si présente vous aura dit que vous pourrez »


En deux temps, trois mouvements, l'homme d'affaire s'exécuta, et ne tenta rien pour rétorquer quoi que ce soit. Ezéckièl n'eut comme réponse qu'un regard rageur suivit d'un « Face-Dos » magistral. Elle soupira d'exaspération puis finalement, se retourna vers l'hôtesse d'accueil, reprit son porte feuille aussi grand qu'une toile de peinture, à la main et adressa un sourire satisfait à cette dernière quand elle la remercia d'un « Je vous en dois une belle »

    _E c h o : « Et dites-moi, Monsieur Anderson serait-il disponible pour une belle polonaise dans mon genre ? Nous avions une entrevue au sujet d'un emploi de publicitaire »
    _H ô t e s s e : « Je vais voir ce que je peux faire, mais ça ne devrait pas poser de problème »
    _E c h o : « Ça, je n'en doute pas une seule seconde »


.


Ezéckièl était dans l'ascenseur menant au bureau de cet homme d'affaire propriétaire de ce magnifique hôtel. Il avait suffit d'un coup de fil sur sa ligne directe pour qu'on annonce à la photographe qu'il était disponible pour elle d'ici quelques minutes. Pour l'accompagner jusqu'à l'endroit désiré, c'est un homme d'étage âgée d'à peine 20 ans, si ce n'était pas moins, pour le moins plutôt mignon, qui lui servit de guide. Sur le chemin la menant à la porte d'un emploi qui s'annoncerait, elle l'espère, fructueux, elle se surpris à imaginer la tête de ce Dante Anderson. Âgé d'une cinquantaine d'année ? Avec un petit ventre du à la bibine ? Pourquoi pas. Dans ce cas là, il faudrait jouer de son professionnalisme et de son talent de persuasion. Si c'était un homme d'une jeunesse apparente, ce serait de son franc parlé, et de son fort caractère qu'elle devrait jouer. Dans tous les cas, elle se le mettrait dans la poche. Resterait plus qu'à négocier un bon prix pour espérer sortir de sa minable chambre d'hôtel, et peut être, aussi, ouvrir sa propre affaire. En tant normale, elle aurait chercher sur internet un peu d'information sur cet homme, histoire de savoir où elle mettait les pieds, et avoir une longueur d'avance. Mais la pauvreté dans laquelle elle vivait ces temps-ci ne lui avait pas permit d'avoir accès à un tel réseaux. Mais le jeu n'en devenait que plus excitant. Ezéckièl était de retour sur le terrain de chasse. Et ces longs moi passé en désintox', loin de la lumière du jour, lui permettait, aujourd'hui, d'avoir une fin de loup plus grande encore à satisfaire »
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